Translation for "concurrente" to french
Concurrente
Translation examples
No somos iguales, somos concurrentes.
Nous ne sommes pas égaux, nous ne sommes pas concurrents.
Los concurrentes son ligeros como alas.
Les concurrents sont légers comme des ailes.
En fin, para alejar del combate a un concurrente formidable, me invoca usted también y yo escucho su ruego.
Enfin, pour écarter de la lice un concurrent redoutable, c’est encore moi que vous invoquez, et je vous exauce.
No creas que es vanidad de mi parte, sino simplemente una justa conciencia de mi valer comparado con el de la mayoría de los concurrentes.
Ne crois pas à de la vanité de ma part, mais simplement à une juste conscience de ma valeur comparée à celle de la foule des concurrents.
Estoy en situacion de aprovechar este beneficio de la Providencia privandoos de él, sino consentis en, pagarme el precio que os he fijado, porque no tengo concurrentes.
Je me sais en mesure d’exploiter ce bienfait de la Providence en vous en privant, si vous ne consentez à me payer une taxe, car je n’ai pas de concurrents.
Si bien siente, claro está, un poco de rencor hacia Boccara, la sensación de ligero alivio concurrente le impide ser demasiado riguroso con el joven.
S’il en veut bien sûr un peu à Boccara, le sentiment d’un léger soulagement concurrent l’empêche de tenir trop rigueur au jeune homme.
Sir Archibald Murray, el general en jefe en Egipto, de manera perfectamente natural, no quería tener a su lado competidores, ni campañas paralelas y concurrentes con la suya en el ámbito de su mando.
Bien naturellement, Sir Archibald Murray, le Général d'Égypte, ne voulait pas de concurrent, ni de campagnes rivales dans sa sphère d'influence.
Los otros soportes sufren de indigencia con relación a sus concurrentes: la acuarela, el dibujo, la foto atrapan lo real en una de sus modalidades —el color, la línea, el trazo, el dibujo, la imagen—, nunca en su integridad.
Les autres supports souffrent d’indigence à l’endroit de leurs concurrents : l’aquarelle, le dessin, la photo saisissent le réel dans l’une de ses modalités – la couleur, la ligne, le trait, le dessin, l’image – jamais dans l’intégralité.
Es curiosa, de todos modos, la reputación del coma profundo… incluso entre los espíritus más abiertos… el confort, vamos, el confort moral al menos… el lado bueno de la conciencia… el lado sueño… desprendimiento… revoloteo por el negro terciopelo del olvido… ese tipo de imagen… con el pretexto de que el cerebro ha callado… prejuicios… cerebrocentrismo… como si los sesenta mil millones de células restantes fueran una nadería… sesenta mil millones de pequeñas fábricas moleculares, sí… constituidas por un solo cuerpo… súper Babel… Babel soberbia… y quisieran que eso muriese callando… de un solo golpe, de uno solo… pero sesenta mil millones de células mueren lentamente… un reloj de arena que te da tiempo de hacer el balance del mundo… antes de convertirse en un montón de células muertas… de células muertas en un montón, como una vieja olvidada en el rincón de una ventana… es la imagen que flotaba ahora en la noche de Benjamin… esa terrible vieja con esa terrible mirada atornillada en la cumbre… pero Benjamin recordaba la cárcel de Saint-Hiver, también, y más especialmente una celda de esa cárcel tan bonita, una celda de alto techo, profunda como el saber de un monje, toda forrada de libros… ¡oh!, no había nada glorioso en aquella biblioteca, todo era utilitario: diccionarios, enciclopedias, la colección completa de los Que sais-je?, del National Geographic, el Larousse, la Britannica, el Quién es quién mundano, el Robert, el Littré, el Alpha, Quid, ni una sola novela, ni un solo diario, manuales elementales de economía, de sociología, de etología, de biología, de historia de las religiones, de las ciencias y técnicas, ni un solo sueño, solo los materiales del sueño… y, al fondo de aquel pozo de ciencia, el soñador en persona, joven y sin edad, preservada belleza, la sonrisa vacilante ante el objetivo de Clara-fotógrafo, impaciente por volver a su trabajo, por zambullirse de nuevo en sus hojas, por abandonarse a aquella pequeña caligrafía aplicada, tan tranquilizadora, tan prieta, como si se tratara menos de llenar esas páginas que de cubrirlas de palabras (por delante y por detrás, sin márgenes, con las tachaduras hechas a regla)… y la voz de Saint-Hiver que se ha quedado en la puerta entornada: «Clara, vamos, deja trabajar a Alexandre»… y los últimos clichés de Clara para la papelera del escritor, desbordante de hojas no arrugadas… y en una de las ampliaciones de Clara, la frase tan buscada, tan huidiza: «La muerte es un proceso rectilíneo», sola entre todas las frases concurrentes, cuidadosamente tachadas, la frase elegida: «La muerte es un proceso rectilíneo»… colgada en el laboratorio fotográfico de Clara.
Curieux, tout de même, la réputation du coma dépassé… même chez les esprits les plus ouverts… le confort, quoi, le confort moral au moins… le bon côté de la conscience… côté rêve… détachement… pied volant au noir velours de l’oubli… ce genre d’images… sous prétexte que la cervelle s’est tue… préjugés… cérébrocentrisme… comme si les soixante mille milliards de cellules restantes comptaient pour du beurre… soixante mille milliards de petites usines moléculaires, oui… constituées en un seul corps… super Babel… Babel superbe… et on voudrait que cela meure en se taisant… d’un seul coup d’un seul… mais cela meurt lentement, soixante mille milliards de cellules… un sablier qui vous laisse le temps de dresser le bilan du monde… avant de devenir un tas de cellules mortes… de cellules mortes en tas, comme une vieille oubliée au coin d’une fenêtre… c’est l’image qui flottait dans la nuit de Benjamin, à présent, cette terrible vieille, avec ce terrible regard, vissé à son sommet… Mais Benjamin revoyait la prison de Saint-Hiver, aussi, et plus particulièrement une cellule dans cette si jolie prison, une cellule haute de plafond, profonde comme le savoir d’un moine, toute capitonnée de livres… oh ! rien de glorieux dans cette bibliothèque-là, que de l’utilitaire : dictionnaires, encyclopédies, collection complète des « Que sais-je ? », du National Geographie, Larousse, Britannica, Bottin mondain Robert, Littré, Alpha, Quid, pas un seul roman, pas un seul journal, manuels élémentaires d’économie, de sociologie, d’éthologie, de biologie, histoire des religions, des sciences et techniques, pas un seul rêve, rien que le matériau du rêve… et, tout au fond de ce puits de science, le rêveur en personne, jeune et sans âge, beauté préservée, le sourire hésitant sous l’objectif de Clara-photographe, pressé de se remettre à son travail, de plonger à nouveau dans ses feuilles, de s’abandonner à cette petite écriture appliquée, si rassurante, tellement serrée, comme s’il s’agissait moins de remplir ces pages que de les couvrir de mots (recto verso, pas de marges, ratures tirées à la règle)… et la voix de Saint-Hiver resté dans l’entrebâillement de la porte : « Clara, allons, laisse donc Alexandre travailler »… et les derniers clichés de Clara pour la corbeille à papiers de l’écrivain, débordant de feuilles non froissées… et sur un des agrandissements de Clara, la phrase tant cherchée, si fuyante : « La mort est un processus rectiligne »… toute seule parmi les phrases concurrentes, soigneusement rayées, la phrase élue : « La mort est un processus rectiligne »… pendue dans le labo photo de Clara.
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