Translation for "cambiar de lugar" to french
Cambiar de lugar
Translation examples
Tuvimos que cambiar nuestro lugar de veraneo.
Nous avons dû changer notre lieu d'estivage.
—¿Y por qué va a ayudarla cambiar de lugar?
— Et en quoi un changement de lieu l’y aidera ?
Pero necesitaba cambiar el lugar. Cambiar sin que el otro sospechase.
Mais il fallait aussi changer le lieu du rendez-vous, le changer sans paraître suspect.
Quizá acabaran de cambiar de lugar… Entonces sería tarde para ir a Goussainville.
Ils venaient peut-être de changer de lieu… Il serait alors déjà trop tard pour aller à Goussainville.
Uno puede cambiar de lugar de residencia o de lengua, pero esa clase de problemas fundamentales no se resuelven así como así.
J’ai eu beau changer de lieu, changer de langue, rien n’y a fait, le problème est resté entier.
¿Y si había llamado a Pepper para cambiar el lugar de encuentro después de que Scott y yo hubiéramos salido de La Bolsa del Diablo?
Aurait-elle rappelé Pepper entre-temps, après notre départ du Sac du Diable, afin de changer le lieu de rendez-vous ?
El racismo cultural es tan omnipresente que recae en nosotros la carga de cambiar nuestros lugares de trabajo y nuestros círculos sociales.
La culture du racisme est tellement prégnante que nous devons nous-mêmes prendre la responsabilité de faire changer nos lieux de travail et nos cercles sociaux.
Utilizaron a Sheemie media docena de veces a lo largo de las cinco semanas de máximo ardor físico: tres de ellas fueron para concertar citas, dos para cambiar los lugares de las citas y una para cancelar una cita cuando Susan vio a unos jinetes del Rancho Piano buscando animales extraviados cerca de la choza de la Mala Hierba.
Ils utilisèrent Sheemie une demi-douzaine de fois au cours des cinq semaines où leur passion charnelle les consuma au plus haut degré – trois fois pour prendre rendez-vous, deux pour changer de lieu de rendez-vous et une pour en annuler un quand Susan repéra des cavaliers du Piano Ranch à la poursuite de bêtes égarées près de la bicoque de la Mauvaise Herbe.
En absoluto. Vamos, por el contrario, a cerrar los ojos, como si aplicáramos la técnica cinematográfica un poco anticuada, pero todavía eficaz, del fundido en negro, que permite cambiar de lugar, de tiempo e, incluso, de personajes, y vamos a abrirlos de nuevo para volver a encontrar, después de este corte ontológico, a Carlos y Anna-Lise instalados en un salón del apartamento cuyas ventanas se hallan cegadas con tablas clavadas y sacos de arena, sin duda porque dan al boulevard Saint-Germain.
Pas du tout. Nous allons au contraire fermer les yeux, comme si nous appliquions la technique cinématographique quelque peu désuète, mais encore prégnante, du fondu au noir, qui permet de changer de lieu, de temps, et même de personnages, et nous allons les rouvrir pour retrouver, après cette coupure ontologique, Carlos et Anna-Lise installés dans un salon de l’appartement aux fenêtres aveuglées par des planches clouées et des sacs de sable, sans doute parce qu’elles donnent sur le boulevard Saint-Germain.
Obedecían a algo más profundo, un estado ontológico del ánimo, porque, sin que ella fuera consciente de lo que le sucedía, cada vez que tenía que abandonar algún lugar, su propia casa, la de una amiga donde estaba de visita, el restaurante donde acababa de cenar, se apoderaba de ella un desasosiego recóndito, una inseguridad, un miedo oscuro, primitivo, a tener que irse, partir, cambiar de lugar, y se inventaba entonces toda clase de pretextos —sacar un pañuelo, cambiar de cartera, buscar las llaves, comprobar que las ventanas estaban bien cerradas, la televisión apagada, si la cocina no había quedado encendida o el teléfono descolgado—, cualquier cosa que atrasara unos minutos o segundos la pavorosa acción de partir.
Ils obéissaient à quelque chose de plus profond, un état ontologique de l’esprit, parce que, sans qu’elle soit consciente de ce qui se passait, chaque fois qu’elle devait abandonner un endroit quelconque, sa propre maison, celle d’une amie chez qui elle était en visite, le restaurant où elle venait de dîner, elle était saisie d’une secrète inquiétude, une insécurité, une peur obscure, primitive, de devoir s’en aller, partir, changer de lieu, et s’inventait alors toutes sortes de prétextes — prendre un mouchoir, changer de sac, chercher les clés, vérifier que les fenêtres étaient bien fermées, la télé éteinte, voir si la cuisine n’était pas restée éclairée ou le téléphone décroché —, n’importe quoi qui retarde de quelques minutes ou secondes le moment effrayant du départ.
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