Translation for "cabritilla" to french
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La última vez mató algunas cabras y algunos cabritillos.
La dernière fois il a tué quelques chèvres et des enfants.
Apoyó en su brazo una manita que parecía muy delicada bajo el ajustado guante de cabritilla.
Elle posa sa petite main sur son bras, sa main si délicate dans son petit gant serré d'enfant.
Y ella, ¿qué hace mi niño, qué hace mi cabritillo?, vendrá tres veces más y después ya no volverá.
Et elle de chantonner, que fait mon enfant, que fait mon petit daim ?, encore trois petits tours et puis s’en vont.
En la serena y promiscua domesticidad de estas aldeas soleadas, gorrina y cerdito, vaca y ternero, madre y niño, gallina y polluelos, cabra y cabritillo se mezclan en un común pulso vital.
Dans la promiscuité domestique et sereine de ces bourgades ensoleillées, truies et porcelets, vaches et veaux, mères et enfants, poules et poussins, chèvres et chevreaux communient dans une commune palpitation vitale.
–Palpa esto -le decía al Sueco, cuando ya estaban instalados de nuevo en el coche, y el niño arrugaba una delicada piel de cabritilla como había visto hacerlo a su padre, tocaba apreciativamente la textura aterciopelada de la flor tupida y compacta-.
« Touche », disait-il au Suédois lorsqu’ils étaient rentrés dans la voiture ; alors l’enfant froissait la peau de chevreau délicate, comme il l’avait vu faire par son père, il en tâtait la finesse, la texture veloutée, le grain serré, et les appréciait.
 Pero había sesiones aún mejores desde el punto de vista humorístico. Con un aire a la vez tímido y secreto, el benévolo Pnin preparaba a los jóvenes para el placer maravilloso que una vez él había disfrutado; y revelando de antemano, con una sonrisa incontrolable, un equipo incompleto pero formidable de dientes amarillos, abría un manoseado libro ruso en el sitio cuidadosamente señalado por el elegante marcador de cabritilla. En ese instante, las más de las veces, aparecía una expresión de suma desolación en sus facciones;
D’autres séances étaient encore supérieures en comique. L’air secret, le bienveillant Pnine, préparant les enfants pour la merveilleuse surprise qu’il avait eue lui-même jadis et montrant déjà, en un sourire qu’il ne parvenait pas à réprimer, la série incomplète mais formidable de ses dents jaunies, Pnine ouvrait à l’endroit marqué par l’élégant signet de simili cuir un livre russe dépenaillé.
Casi como una sola mujer, todas ellas confiesan que les invaden unas extrañas e inexplicables sensaciones cuando el barco arriba a la isla y ven la desolada línea de picos, el sol oceánico, y al virar la nave para entrar en la rada, dejando atrás el alisio, en la Punta Sugar-Loaf, el barco pegado a la costa, y cortando los remolinos, siempre la misma maniobra, todas se dicen: «Oh, Dios mío, ya estamos aquí de nuevo», mientras que, para los que llegan por primera vez, se trata de otro planeta que, de algún modo, es accesible desde el nuestro. —Allí hay una empapada por el rocío del mar —observa Dixon—. Esa del vestido de terciopelo color clarete, con el chal chino y las botas de cabritilla… Juraría que parece reconocerte. —¡Tyburn, Charlie!
Presque toutes les femmes confessent leurs étranges et inexprimables sentiments quand le bateau accoste, – la ligne désolée des pics, la lumière océane, – s’approchant pour gagner la rade, délaissant les Alizés à Sugar-Loaf Point, serrant la côte et profitant des courants, selon une routine toujours identique, c’était ô Seigneur nous revoilà ici, – alors que pour les nouveaux venus c’est une autre Planète, néanmoins accessible depuis ce point. « Il y en a une qui n’est que rosée, remarque Dixon, là, en velours claret, avec le châle chinois, et les bottines d’enfant… Elle semble vous remettre bel et bon. – Charlie de Tyburn ! Ça alors, qu’on me pique avec une épingle à corset si je rêve.
Nat vio el pánico en su cara—. Esta zona siempre me hace pensar en… libros infantiles, como el de los tres cabritillos. Ya sabes.
Nat voyait la panique creuser son visage.) Cette région, déclara-t-il, me fait toujours penser à… au livre de gosses sur la famille ourse et la petite fille. Vous savez.
una zapatilla de cabritilla dorada,
une mule en chevreau doré,
—Bueno; la de un cabritillo, entonces;
– Bon ! va pour un chevreau ;
Tenemos a veces veinte cabritillos.
On a parfois vingt chevreaux.
Y pensó en el cabritillo, sin nacer.
Et il pensa au chevreau qui ne naîtrait jamais.
En realidad preferiría tener un cabritillo.
Je préférerais de beaucoup un chevreau.
¿Qué eran aquellos borceguíes de cabritilla blanca?
C'était quoi, ces bottes en chevreau blanc ?
Emperatriz se alisó los guantes de cabritilla.
Emperatriz lissa ses gants en chevreau.
Esto es cuero. ¿Qué es lo que produce la delicadeza de la cabritilla, Seymour? –No lo sé. –Bueno, ¿qué es una cabritilla? –Una cabra pequeña.
Et qu’est-ce qui rend le cuir de chevreau si délicat, Seymour ? — Je ne sais pas. — Bon, qu’est-ce que c’est, le chevreau ? — Le petit de la chèvre. — Tout juste.
¡Tengo tres pares de guantes de cabritilla!
Je possède trois paires de gants en chevreau.
—Yo diría que son de un cordero o de un cabritillo. —¿Y el gallo blanco?
– Un agneau, probablement, ou un chevreau. – Et le coq blanc ?
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