Translation for "asomar" to french
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Las lágrimas volvieron a asomar a los ojos de Susan, y Cordelia se alegró de verlas.
Les yeux de Susan s’emplirent à nouveau de pleurs et Cordélia se réjouit de ce spectacle.
Deslizó el techo solar para abrirlo y asomar la cabeza en medio del retumbar de la escena.
Il ouvrit le toit vitré et projeta brusquement sa tête dans le spectacle en cours.
Fortuna aseguró que lo vio bien, pues la Luna del Buhonero acababa de asomar llena en el cielo.
Fortuna n’avait rien perdu du spectacle, car la Lune du Colporteur venait d’apparaître dans le ciel.
Un leve atisbo de compasión pugnó por asomar a la superficie, pero incluso eso parecía demasiado esfuerzo, por no mencionar el hecho de dejar de mirar.
Un vague résidu de pitié s’agitait en elle à la vue de ce spectacle, mais même s’abandonner à ce sentiment semblait représenter un effort trop important – sans parler de déplacer la direction de son regard.
Alanna echó la cabeza hacia atrás y rió. El estar puesta en jarras hizo que su risa pareciera despectiva, lo que consiguió que Bera apretara los labios y que en los ojos de Kiruna asomara un brillo gélido.
Alanna éclata de rire. Comme elle plaqua aussi les mains sur ses hanches, sa réaction parut avoir quelque chose de méprisant. Devant ce spectacle, Bera eut un rictus et Kiruna se raidit.
Era sobrecogedor asomar la cabeza por debajo de la manta y ver a Rango columpiándose solo en el vagón, sujeto a los rieles de las cortinas verdes, como si estuviera literalmente en la jungla en que nació.
Quand vous sortiez la tête de votre lit, vous pouviez assister à un spectacle étrange : Rango traversant toute la longueur de la voiture en s’accrochant à la partie supérieure des rideaux verts comme si ceux-ci appartenaient à sa jungle natale.
Quedé perplejo, pero no pude apartar la vista, ni siquiera cuando la forma de los huesos empezó a asomar, sus labios retrocedieron hasta los dientes, la piel de la nariz se secó y mostró dos grandes agujeros.
Malgré mes hoquets de terreur, je ne pouvais détacher mes yeux du spectacle, tandis même que la forme des os commençait de se deviner sous la peau, que les lèvres se rétractaient et laissaient paraître les dents, que la chair de son nez se réduisait à deux trous béants.
La multitud seguía gritando, blasfemando y empujando para no perder detalle de aquella espantosa escena. Los niños intentaban asomar sus cabezas por entre los adultos; las mujeres aullaban, otras reían. La apestosa multitud resistía sin desfallecer bajo el implacable sol, cuyos rayos se reflejaban sobre los muros manchados de orines.
Et la foule continuait de hurler et de jurer, de crier et de pousser ; de petits enfants jetaient des coups d’œil furtifs ; des femmes pleuraient. D’autres riaient ; spectacle d’une multitude, malfaisante et puante, sous le soleil implacable qui dardait ses rayons sur les murs souillés d’urine !
Diablo del Adibe aquel, que tan mal cuidaba del servicio de su majestad y tan bien del propio, están los tiempos mudados, hay ahora funcionarios celosos que matan dentro del cuartel de la guardia en Montemor y salen luego a echar un pitillo, saludan con un gesto, hasta mañana, al centinela que observa valerosamente la línea del horizonte no vayan a asomar por allí los españoles, y luego bajan la calle serenamente conversando, con paso firme, echan cuentas del trabajo del día, tantas bofetadas, tantos puntapiés, tantos vergajazos, y lo encuentran bien hecho, ninguno de ellos se llama Adibe, se llaman Gargajo y Gargajillo, parecen gemelos, y se paran entonces ante el cine donde se anuncia la película del domingo, mañana ya, inicio de la temporada de verano con la interesante comedieta El Magnífico Perezoso, Buena idea la de traer a las mujeres, a ellas esto les gusta, pobrecillas, seguro que la película vale la pena, pero para buena, buena, la del jueves, con Estrellita Castro, la diosa de la canción y del baile, y Antonio Vico, Ricardo Merino y Rafaela Satorres, en el maravilloso film Mariquilla Terremoto, ole.
Diable d’Adibe qui s’occupait si mal des affaires de sa majesté et si bien des siennes, les temps ont changé, maintenant il y a des fonctionnaires zélés qui tuent dans le poste de garde de Montemor et qui sortent fumer une cigarette, qui adressent un signe, à demain, à la sentinelle qui scrute courageusement la ligne d’horizon, au cas où les Espagnols pointeraient leur nez là-bas, puis d’un pas assuré ils descendent sereinement la rue en bavardant, en dressant le bilan du travail de la journée, tant de coups de poing, tant de coups de pied, tant de coups de gourdin, et ils estiment avoir fait du bon travail, aucun d’eux ne s’appelle Adibe, ils ont pour nom Escarro et Escarrilho, on dirait des jumeaux, ils s’arrêtent en face du cinéma qui annonce le film de dimanche, déjà demain, inauguration de la saison d’été avec l’intéressante comédie Le Paresseux Magnifique, Ce serait une bonne idée d’y emmener les femmes dès que les choses seront plus calmes, ça leur plaira, les pauvrettes, ça doit valoir la peine, mais fameux, ce qui s’appelle vraiment fameux, ç’a été le spectacle du jeudi, Estelita Castro, la diva de la chanson et de la danse, secondée par Antonio Vico, Ricardo Merino et Rafaela Satorres dans la merveilleuse comédie musicale Mariquilla Tremblement de terre, olé.
La angustia que noto en el pecho siempre que mi hermana sufre amenaza con asomar a la superficie.
L'angoisse que je ressens chaque fois que ma sœur tombe malade me noue la gorge, menace l'afficher sur mon visage.
A veces, dijo luego, a veces me contemplo en un espejo, largamente, intentando perderme, olvidarme en esta contemplación, a fin de acechar la desaparición de esta máscara que ostento, que soy, sin duda, para ver asomar mi verdadero rostro, sin conseguirlo, por supuesto: yo soy —y cuando digo Yo, es sólo por convención del idioma, este yo se aplica a todo el mundo—, nosotros somos seres que no conocerán jamás su verdadero rostro, que no conocerán jamás su propia voz.
Parfois, dit-il ensuite, parfois je me contemple dans un miroir, longuement, essayant de me perdre, de m’oublier dans cette contemplation, afin de guetter la disparition de ce masque que j’affiche, que je suis sans doute, pour voir poindre mon vrai visage, sans y parvenir bien sûr : je suis – et quand je dis Je, ce n’est que par convention de langage, ce Je s’applique à tout un chacun ! – nous sommes des êtres qui ne connaîtront jamais leur vrai visage, qui ne reconnaîtront jamais leur vraie voix !
A veces, al mirar en derredor, especialmente en las tardes calurosas en las que el aire se aglutinaba, el mundo visible, sus formas y habitantes y todas las cosas parecían asomar a la atmósfera como una profusión de icebergs calientes, y le parecía que, bajo la superficie del aire denso, todo continuaba: que las personas, los coches, los perros, los carteles de los cines, los árboles, hurtaban a sus ojos las nueve décimas partes de su realidad.
Parfois quand il regardait autour de lui, surtout dans la chaleur de l’après-midi quand l’air devenait visqueux, le monde visible, ses traits, ses habitants et ses objets, semblaient se dresser dans l’atmosphère comme une grande quantité d’icebergs brillants, et il pensait que chaque chose se continuait sous la surface de l’air épais : les gens, les autos, les chiens, les affiches de cinéma, les arbres, les neuf dixièmes de leur réalité dissimulés à ses yeux.
En determinado momento, en el curso de la emisión, Galloway no había podido evitar que una vaga sonrisa, apenas perceptible, asomara a sus labios.
À un certain moment, pendant l’émission, Galloway n’avait pu empêcher un sourire léger, à peine perceptible, de monter à ses lèvres.
Estarán demasiado asustados para asomar la cabeza y molestarnos.
Ils auront trop peur pour se montrer et nous créer des difficultés.
La tormenta no esperó al anochecer para asomar los dientes.
L’orage n’attendit pas la nuit pour montrer les crocs.
Estuvo un tiempo con nosotros pero se marchó cinco minutos antes de que asomaras tú.
Elle était avec nous depuis quelque temps, mais est partie cinq minutes avant que tu ne te montres.
Tienes tanto miedo de asomar la cabeza que no sabes en quién confiar.
Vous avez tellement peur de vous montrer que vous ne savez pas à qui faire confiance.
—Mientras esa gente esté en Kulumani, no asomarás ni la nariz fuera de casa.
– Tant que ces gens seront à Kulumani, tu ne montres pas le bout de ton nez dehors.
¡No vale la pena!… Baligi, por su parte, no se había atrevido ni tan siquiera a asomar la nariz.
Ce n’est pas la peine !… Quant à Baligi, elle ne s’était pas montrée.
Wendell tenía que estar cerca, pero ¿qué hacía y qué le obligaría a asomar la nariz?
Wendell devait se trouver dans les parages, mais qu’est-ce qu’il y faisait et comment le décider à se montrer au grand jour ?
—Pero el sol tiene que asomar aquí algunas veces –dijo Merry—.
 Mais la Soleil doit en tout cas montrer quelquefois le bout de son nez, dit Merry.
—Habría esperado que nuestro amigo Sajaki asomara la cabeza en algún momento.
— J’aurais cru que notre ami Sajaki allait montrer son nez à un moment ou à un autre.
—¡Rábanos! —dijo—. Vi asomar sus pequeñas hojas verdes.
— Des radis ! J’ai vu leurs petites feuilles vertes montrer le bout de leur nez !
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