Translation for "abroa" to french
Abroa
Translation examples
¿Y si me abro a ti tanto como tú a mí?
Et si je m’ouvrais à toi comme tu t’es ouverte à moi ?
Abro la tienda los domingos. La miro.
Tu as ouvert dimanche. Je la dévisageai.
Hace años que no abro un periódico.
Je n’ai pas ouvert un journal depuis des années.
Abro los ojos despacio. —¿Quieres?
Avec lenteur, j’ai ouvert les yeux. « Tu veux ?
Abro la puerta antes de que el carro se haya detenido.
La voiture n’est pas arrêtée que j’ai déjà ouvert la portière.
Sencillamente abro la boca y las palabras fluyen de ella.
J’ai ouvert la bouche et les mots ont jailli.
Abro los ojos, quiero incorporarme, pero estoy atado.
J'ai ouvert les yeux, voulu me redresser, mais j'étais attaché.
—¿Cómo has abierto la puerta? —Abro las puertas.
– Comment avais-tu ouvert la porte ? – J’ouvre les portes.
Hoy es la primera vez que abro el frigorífico esta semana.
Je n’avais pas encore ouvert le frigo cette semaine.
Abro mucho los ojos con la esperanza de contener el resto.
Je garde les yeux bien ouverts pour retenir les autres.
Yo, es decir él, abro.
Je – c’est lui – vais ouvrir.
—¿Abro las cortinas?
— Dois-je ouvrir les rideaux ?
—Ya la abro yo —se ofreció él—.
— Je vais te l’ouvrir, dit-il.
¿Te importa si la abro?
Je peux l’ouvrir ? »
Venid, que os abro la puerta.
Venez, je vais vous ouvrir.
Voy hasta el armario y lo abro.
Je vais ouvrir l’armoire.
—Espere, que le abro la puerta…
« Attendez que j’aille ouvrir la porte… »
Salgo y abro el capó.
Je sors pour aller ouvrir le capot.
Me levanto y abro puertas y ventanas.
Je me lève pour tout ouvrir.
—Abre la boca o te la abro yo de un tiro.
— Ouvre la bouche ou je tire pour te l’ouvrir.
libre
Con la mano libre, le abro la chaqueta.
De ma main libre, j’ouvre sa veste.
Entonces la antigua casa… estará vacía, ¿no? Abro otro cerrojo.
— Et l’autre maison… elle est libre, maintenant, pas vrai ? Jpousse un autre verrou.
Lo abro sobre mis rodillas, debajo del pupitre, y descubro un mundo en caída libre, como Alicia al arrojarse de cabeza a la madriguera del conejo: va demasiado rápido, es demasiado confuso, pero no se puede interrumpir la caída, es imposible aminorar la velocidad, es imposible detenerse.
Je l’ouvre sur mes genoux, sous le pupitre, et je découvre un monde en chute libre, comme Alice jetée tête la première dans le terrier du lapin : cela va trop vite, c’est trop confus, mais on ne peut interrompre la chute, impossible de ralentir, impossible de s’arrêter.
/ Ein harmonischer Gesang / war mein Lebenslauf» (Mis fuerzas se han ido, soy viejo y débil… la muerte llama a mi puerta, le abro sin temor. ¡Gracias te doy, Cielo! Un canto armonioso ha sido mi vida). Esta seguridad permitía a Haydn vivir sin temor a las bombas francesas durante el sitio de Viena, y tranquilizar con infantil candor a los demás: donde está Haydn, no puede suceder nada, decía con la seguridad del hombre totalmente libre y decidido, el cual, escribe Freud, sabe —en su inconsciente— que nada puede amenazarle. 33.
Himmel, habe Dank ! Ein harmonischer Gesang war mein Lebenslauf. (Toutes mes forces m’ont quitté,/Je suis vieux, je suis faible… (…)/La mort frappe à ma porte,/Je lui ouvre sans crainte./Ô cieux, grâces vous soient rendues !/Un chant des plus harmonieux/Fut le cours de mon existence.) C’est cette assurance qui permit à Haydn de ne pas avoir peur des obus français pendant le siège de Vienne, et de rassurer les autres par sa candeur enfantine : « Là où se trouve Haydn, il ne peut rien se passer », disait-il avec cette assurance de l’homme totalement libre et serein, qui, selon Freud, sait – dans son inconscient – que rien ne peut le menacer. 33.
¿Todo esto a qué venía?, ah, lo del clima, los calmantes me dejan medio lerdo, cuando empezaste con lo del clima me pareció gracioso, había que verte, mirabas muy fijo la carretera, hacías no sé qué en los cristales con un dedo, ponías caras, y al rato me contabas que el cielo había cambiado, al principio te seguí la corriente porque creí que estábamos jugando, después, no sé bien cuándo, empecé a ver que lo hacías en serio, y además estabas tan entusiasmado, a partir de ahí, te juro, hijo, me pasé todo el viaje dudando, ¿se lo digo o no?, bah, mejor no, pensaba, ya se va a dar cuenta solo, pero no sé si te sugestionabas, o era casualidad, o qué, porque siempre decías que acertabas, como entretenimiento me parecía divertido, como esperanza ya era triste, cuando vieras que no, que el tiempo iba a su antojo, que ni nosotros ni Pedro podíamos hacer nada para cambiarlo, ¿no te ibas a sentir, yo qué sé, muy poca cosa?, en fin, a lo mejor es una tontería y ya ni te acuerdas, pero hoy no quería dormirme sin contártelo. Desde aquí, en cuanto abro los ojos, veo el cielo, como si fuera en avión, un avión muy lento, ¿y sabes qué me parece?, ¿el amanecer, digo?, una falta de respeto, eso me parece, yo de joven era noctámbulo, me encantaba hacer cosas mientras los demás dormían, me sentía impune, con los años te vas volviendo diurno, te entra la angustia de llegar tarde a las cosas, los noctámbulos creen que se adelantan a todo, y en cuanto se despiertan ya se les hace tarde, desde que estoy enfermo las mañanas me gustan menos, tienen, no sé, demasiadas expectativas, y el silencio de las noches me asusta, ahora prefiero las tardes, son menos exigentes, estoy mirando el atardecer y, fíjate, me entra la duda, ¿de dónde?, ¿de dónde carajo sale la belleza?, de las cosas no sale, eso seguro, miro la bandeja de la merienda, por ejemplo, una bandejita gris, de plástico, bastante usada, con ese borde en curva de las cosas que se fabrican para apilarlas, con marcas de cuchillos y tenedores, las rayas de los cuchillos, una al lado de la otra, parecen un electrocardiograma, las series de puntos de los tenedores, así, de cerca, son como huellas de dados, y de repente esta bandeja me resulta una co, perdón, tocan la puerta.
et quand tu sais que tu ne vas pas continuer, alors t’as l’impression qu’ils deviennent inutiles, tu comprends ? Mais où en étais-je, déjà ? ah oui, la météo, les calmants m’abrutissent un peu, quand t’as commencé avec ton histoire de météo, ça m’a fait rire, fallait te voir, tu regardais la route fixement, tu bidouillais j’sais pas quoi sur les vitres avec ton doigt, tu faisais de drôles de mimiques, et au bout d’un moment tu me racontais que le ciel avait changé, au début j’ai joué le jeu parce que j’ai cru que c’était un jeu, ensuite, je sais plus à quel moment, je me suis rendu compte que t’étais sérieux, et puis ça te rendait tellement euphorique qu’à partir de là, je te jure, chéri, j’ai passé le restant du voyage à hésiter, je le lui dis ou pas ? non, vaut mieux pas, je me disais, il le vérifiera bien par lui-même, mais je ne sais pas si c’était de l’autosuggestion, l’effet du hasard ou je ne sais quoi, toujours est-il que t’étais persuadé que ça marchait à tous les coups, comme passe-temps, je trouvais ça super, mais si ça devenait une source d’espoir, c’était triste, quand tu comprendrais que c’était faux, que le temps agit à sa guise, que ni nous ni Pedro ne sommes à même de le modifier, n’allais-tu pas te sentir, je sais pas, moi, insignifiant ? enfin, je dramatise alors que tu ne t’en souviens peut-être même plus, mais je ne voulais pas m’endormir ce soir avant de t’en avoir parlé. Quand j’ouvre les yeux, d’ici je vois le ciel, comme si j’étais en avion, un avion très lent, et tu sais ce que j’en dis ? du lever de soleil, j’entends, je trouve que c’est un manque de respect, voilà ce que j’en dis, quand j’étais jeune, j’étais noctambule, j’adorais m’activer pendant que les autres dormaient, j’avais l’impression d’être libre de toute contrainte, au fil des années on devient diurne, on s’angoisse à l’idée de louper des choses, les noctambules croient qu’ils sont en avance sur tout puis, dès qu’ils se réveillent, ils sont à la traîne, depuis que je suis malade, j’aime moins le matin, il comporte, comment dire ?
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