Translation for "vêler" to spanish
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Translation examples
Sa vache primée va-t-elle réellement vêler ?
¿Parirá su vaca, la que ganó premio en la exposición?
Ils ont une vache qui va vêler, le veau se présente mal.
Tienen una vaca que va a parir y el ternero no está bien colocado.
— Je suis arrivé voilà une heure et je n’ai eu que le temps d’aider votre vache à vêler.
—Llegué hace una hora y sólo he tenido tiempo de ayudar a parir a su vaca.
Dans l’enclos, sur une litière de paille crasseuse, une maigre génisse essayait de vêler.
En el corral, sobre un lecho de paja sucia, una novilla flacucha estaba intentando parir un becerro.
Monsieur Garner ne l’a jamais laissée vêler qu’un an sur deux, Sethe, tu m’entends ?
Mr. Garner nunca la dejaba parir dos años seguidos. Sethe, ¿me oyes?
À sa grande terreur, il s’aperçut un jour que le ventre de la bête s’arrondissait et que de toute évidence elle allait vêler.
Un día, se percató aterrorizado de que el vientre del animal se hinchaba, era evidente que iba a parir.
Une vache qui met plus d’une heure à vêler est perdue d’avance ; une demi-heure c’est déjà beaucoup.
Cualquier vaca que tarde más de una hora en parir muere, y aun media hora es malo.
« Quand une vache devait vêler, et que le veau était mort, il arrivait que le cadavre soit trop gros pour que la bête arrive à l’expulser sans assistance.
—Cuando una vaca iba a parir y el ternero ya estaba muerto, podía ocurrir que el cadáver fuera tan grande que la vaca no lograra expulsarlo por sí misma.
Sa meilleure vache était sur le point de vêler. Lui et ma mère n’arrivaient pas à tomber d’accord pour décider du moment où redescendre la bête de l’alpage pour la mettre dans l’étable.
Su mejor vaca tendría que estar a punto de parir, pero él y mamá no lograron ponerse de acuerdo sobre el momento de recoger al animal en el prado de pastoreo donde pasaba el verano y traerlo al establo.
Mais le butin, par contre, était considérable et compensait bien au-delà les trois bouches de plus à nourrir : deux vaches, l’une la Marquise, prête à vêler, l’autre en pleine lactation laissée provisoirement à l’Étang en compagnie d’un taureau, un verrat et deux truies (je ne compte pas le cochon sous forme de charcutaille), deux ou trois fois plus de poules que la Menou, et surtout, du blé en quantité, puisque le Wahrwoorde avait l’habitude de faire son pain.
Pero el botín era considerable y compensaba con creces las tres bocas de más para alimentar: dos vacas, una, la Marquesa, próxima a parir, otra en plena lactancia dejada provisoriamente en El Estanque en compañía de un toro, un verraco y dos marranas (no cuento el cerdo convertido en chacinado), dos o tres veces más gallinas que las de la Menou, y sobre todo, trigo en cantidad, puesto que el Wahrwoorde tenía la costumbre de hacer su pan.
Avant l’arrivée du Comte — un taureau primé qu’elle avait acheté mille dollars à la naissance ; une somme astronomique, lui avait fait observer le Suédois qui la soutenait pourtant à cent pour cent — le comptable parcourait le chiffre d’affaires de l’Élevage Arcady à la fin de chaque année et lui disait : « C’est ridicule, vous n’allez tout de même pas continuer comme ça. » Mais ils ne pouvaient guère s’avouer battus puisque c’était essentiellement son propre temps qu’elle investissait dans l’affaire, si bien qu’il répondit à son comptable : « Ne vous en faites pas, elle va en gagner, de l’argent. » Il n’aurait jamais songé à l’arrêter, quand bien même elle ne devrait jamais faire un sou de bénéfice, parce que, lorsqu’il la voyait partir avec son chien et son troupeau, il se disait : « Voilà ses vrais amis. » Elle travaillait comme une damnée, sans aide aucune ; elle savait quelles vaches allaient vêler, elle nourrissait les veaux au biberon en plastique quand ils n’arrivaient pas à téter et elle s’occupait de nourrir les mères avant de les remettre dans le troupeau.
Antes de que llegara Conde (el toro campeón que ella compró cuando era un recién nacido por diez mil dólares y respecto al cual su marido, a pesar de que la apoyaba totalmente, tuvo que decirle que esa cantidad era excesiva), el contable del Sueco examinaba las cuentas de Criadores Arcady al final de cada ejercicio y le decía a su patrono: «Esto es ridículo, no puedes seguir de esta manera». Pero como el negocio estaba casi exclusivamente en manos de ella no era nada fácil intervenir, y así el Sueco le dijo al contable: «No te preocupes, ella sacará algún beneficio». No se le habría ocurrido detenerla, aun cuando al final no ganara un centavo, porque, como se decía a sí mismo cuando la veía con el perro al lado del rebaño, «ésas son sus amigas». Dawn trabajaba con ahínco, sin ayuda de nadie, llevaba la cuenta de los nacimientos de terneros, si los recién nacidos no parecían dispuestos a mamar, les daba la leche en biberón y se ocupaba de la alimentación de las madres antes de dévolverlas al rebaño.
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