Translation for "vieillissent" to spanish
Translation examples
Ils vieillissent, mais ne grandissent pas.
Pueden envejecer, pero no pueden crecer.
(Les familles vieillissent un peu comme les gens ;
(Las familias tienden a envejecer lo mismo que las personas;
– Ce que cela pourrait signifier, reprit-elle gravement, c’est que ces créatures ne vieillissent pas, que tu ne vas pas vieillir.
—Lo que podría querer decir —sugirió ella en tono grave— es que estas criaturas no envejecen, que tú no envejecerás.
Pas une beauté mais une de ces femmes qui vieillissent bien et qui ne prendront sans doute jamais d’embonpoint.
No es una chica bonita, pero es de la clase de mujer que puede envejecer bien, que probablemente no engordará.
— Il est vrai que certaines femmes vieillissent mal, remarqua Amrita en s’approchant de la vitrine suivante.
—Es que algunas mujeres no saben envejecer —convino Amrita acercándose a la siguiente vitrina.
En règle générale, les personnes qui acceptent de se soumettre à une surveillance médicale régulière ne vieillissent plus.
—Por regla general, las personas que aceptan someterse a un seguimiento médico regular dejan de envejecer.
Dans leur zèle à étaler leur connaissance de la Bible, aucun des deux prêtres n’avait offert à ma mère et à Dan le plus optimiste verset du livre de Tobie : « Prions pour qu’elle et lui vieillissent heureux ensemble.
En su celo por demostrar su conocimiento de pasajes adecuados de la Biblia, ninguno de los dos había ofrecido a mi madre y a Dan la bendición más reconfortante, la de Tobías: «Déjame envejecer junto a ella».
Coupé au ras du sol de la forêt, il est ferme sous le couteau et prouve sa jeunesse par une chair blanche qui n’a néanmoins que quelques jours devant elle, car tête et cou vieillissent vite et grisonnent, cette chair se délite et se liquéfie, vire au verdâtre, devient spongieuse, pour tourner au brun quand l’enveloppe prend de l’âge et tomber ensuite en poussière dans une peau de papier.
Cortado directamente del suelo del bosque, de joven es firme al tajo y muestra, como prueba de su juventud, una carne blanca a la que, de todos modos, se conceden pocos días, porque, al envejecer rápidamente, la cabeza redonda y el cuello se vuelven grisáceos, la pulpa se deshace acuosamente, se torna verdosa y se pone fláccida, para, en su antigua envoltura, hacerse luego pardusca y convertirse pronto en polvo dentro de su piel de papel.
À son âge, ce pouvait être Juana, alors je la regardai fixement, en cherchant ses yeux pour tenter d’établir un contact minimal, mais à cet instant précis j’entendis la voix du modérateur prononcer mon nom et je compris que mon tour était venu, aussi commençai-je à parler un peu de tout, de ma vie et de mes lectures, et de ce que cela pouvait signifier d’être écrivain dans cette époque étrange, écrivain latino-américain et de surcroît colombien, si du moins cela avait un sens et des implications esthétiques, ou n’était qu’un avatar nous liant à des paysages, des problèmes, des complexes, à un tempérament moyen et une histoire plutôt triste, à une réalité trépidante et une façon de parler, et cela transposé dans la littérature, où être colombien, pour beaucoup, devrait nous obliger à aborder certains sujets et surtout à les traiter sous un angle particulier, c’est pourquoi ma génération et les suivantes s’en étaient éloignées et tâchaient d’être simplement des écrivains, et j’ai ajouté qu’être écrivain sous nos latitudes était une condition extrêmement fragile et probablement malheureuse à cause de la vulnérabilité, de l’oubli et de la misère dans laquelle vieillissent et meurent la plupart de nos écrivains, ou par le fait qu’au-delà d’une certaine reconnaissance, on devient un motif de dérision de la part de ceux qui n’ont pas réussi à y accéder ou y ont accédé depuis un certain temps et voient leur réussite dénigrée par les nouveaux élus, sans parler des critiques, la plupart écrivains frustrés, même si, comme le dit mon ami Jorge Volpi : “Un critique littéraire n’est pas un écrivain frustré.
Por edad podría ser Juana, así que comencé a mirarla, buscando sus ojos, intentando establecer un mínimo contacto, pero en ese preciso instante escuché la voz del moderador diciendo mi nombre y supe que era mi turno, así que empecé a hablar un poco de todo, de mi vida y mis lecturas y de lo que podía significar ser escritor en esta época extraña, ser escritor latinoamericano y por si fuera poco colombiano, si es que eso tiene aún algún sentido, si eso significa algo en términos estéticos o es sólo un avatar que nos liga a una serie de paisajes, problemas y complejos, a un temperamento promedio y una historia más bien triste, a una realidad trepidante y a un modo de hablar, y eso trasplantado a la literatura, donde ser colombiano, para muchos, debería obligarnos a ciertos temas y sobre todo a ciertos tratamientos de esos temas, y por eso mi generación y las siguientes escribieron huyendo de eso, tratando de ser escritores a secas, y agregué que ser escritor, en nuestra región, era algo sumamente frágil y probablemente desdichado por la indefensión, el olvido y la miseria en que suelen envejecer y morir la mayoría de nuestros escritores, o por el hecho de que, pasada una línea de reconocimiento, se convierte en motivo de escarnio de aquellos que no han logrado cruzarla o la cruzaron hace rato y ven devaluado su logro por las nuevas incorporaciones, y ni hablar de los críticos, la mayoría escritores o escritoras frustrados, aunque como dice mi amigo Jorge Volpi, «un crítico literario no es un escritor frustrado.
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