Translation for "vas-y" to spanish
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Tu vas te dire : qu’est-ce que je fiche avec cette dingue qui n’arrive pas à mener à bien son travail ? Et je me rappellerai comme je travaillais mieux quand j’étais seule tout le temps.
Tú pensarás: «¿Por qué sigo con esta loca que no puede avanzar con su obra?» Y yo recordaré que trabajaba mucho mejor cuando podía estar todo el día sola.
Il souleva un cavalier noir de l’échiquier, le regarda d’un air navré, et le reposa soudain à sa place. Il avança un pion. D’un mouvement brusque, Efraïm déplaça son fou blanc d’un bout à l’autre de l’échiquier. Puis il s’écria d’une voix rageuse : « Je t’en prie… — Tu vas t’attirer encore des ennuis ! » murmura papa.
Mi padre se quedó pensativo, levantó un caballo negro de su sitio sobre el tablero de ajedrez, clavó la vista en el caballo, le sonrió con tristeza y, de pronto, volvió a dejarlo donde estaba. Entonces decidió avanzar un peón en un lateral. Inmediatamente, Efraim empujó el alfil blanco casi hasta el otro extremo del tablero y dijo con rabia: —Venga. —Has vuelto a complicarte la vida —susurró mi padre.
Il avait regardé la jeune fille brune entre ses sceptiques parents de la ville et lui avait tendu la baguette en lui disant : « Essayez, vous, essayez. » Elle l’avait regardée comme si ç’avait été un couteau, et son père avait dit en riant : « Vas-y, Lilias, ce n’est qu’un bout de bois. » Et d’abord ce n’avait été que du bois, un petit bâton taillé, du bois mort, et elle s’était mise à avancer sur l’herbe, se sentant sotte.
Él se había fijado en la niña morena que estaba entre los familiares escépticos de su pueblo, y le tendió la ramita, diciéndole: «Prueba tú, venga, prueba.» Ella se quedó mirándola como si fuera un cuchillo, y su padre se rió y dijo: «Vamos, Lilias, no es nada más que un trozo de madera.» Y al principio había sido madera, madera cortada, madera muerta; y ella empezó a avanzar con cara de palo por la hierba, pensando que era tonta.
— Téméraire, tu vas devoir le remonter un peu pour te glisser davantage vers l’avant ! cria Laurence, couché sur l’encolure. L’arrière-train de Victoriatus reposait sur les épaules de Téméraire et non sur son dos, et le ventre énorme le frôlait à moins de trois pieds, maintenu à grand-peine par les forces déclinantes du dragon blessé. Téméraire indiqua d’un hochement de tête qu’il avait entendu et compris ; il brassa l’air énergiquement afin de redresser la trajectoire descendante du Parnassian, puis replia les ailes. Une brève chute libre, à soulever le cœur ; enfin, ses ailes se redéployèrent largement.
El Tanator terminó la maniobra y se limitó a plegar las alas, por lo que se apartó cayendo a plomo. —Temerario, has de levantar un poco a Victoriatus para poder avanzar —gritó Laurence de nuevo, pegado contra el cuello del dragón. El Parnasiano había apoyado los cuartos traseros sobre la cruz de Temerario en lugar de sujetarse más atrás, y la gran panza estaba a menos de un metro por encima. El dragón malherido mantenía la distancia a duras penas con las fuerzas menguadas. Temerario cabeceó para indicar que había escuchado y comprendido la orden de Laurence. Batió las alas deprisa para subir en ángulo empujando al derrengado dragón hacia arriba y hacia atrás y luego, por pura fuerza, cerrar las alas de repente. Desplegó las alas otra vez después de una breve pero vertiginosa caída.
En peignant ses longs cheveux très noirs, elle met la radio et regarde la rue, rat-tat-tat-tatatat-tat-tatat, stridences syncopées de guitares électriques et voix nasillardes envahissent le dortoir, font se lever Iris de son sommier, la dressent debout dans l’allée entre les deux rangées de lits quand elle entend babalou, babalou ayé, allez, danse un coup Gina, les orphelines l’encouragent, vas-y, danse, avec des airs de jument elle fait caracoler les longues ondes de sa chevelure et avance en se dandinant entre les lits, l’extase se traduit dans ses yeux chavirés comme ceux des artistes qui paraissent dans les novelas(2), je ne me sens plus molle, je ne bâille plus, je veux sortir danser comme cette artiste qui s’appelait Gina et qui habitait un couvent de méchantes bonnes sœurs, dans le Corín Tellado qu’Eliana m’a lu.
Mientras se peina el pelo largo y retinto, mirando la calle, pone la radio, rat-tat-tat-tatatat-tat-tatat, estridencias sincopadas de guitarras eléctricas y voces gangosas invaden el dormitorio, levantan a la Iris del somier, la ponen de pie en el pasillo entre las dos hileras de catres al oír babalú, babalú ayé, ya, échanos un bailecito, Gina, la animan las huerfanitas, échale no más, con un gesto de yegua hace caracolear las largas ondas de su pelo contoneándose entre los catres al avanzar, éxtasis en los ojos entornados igual a las artistas que salen en las novelas, ya no tengo flojera, ya no bostezo, quiero salir a bailar como esa artista que se llamaba Gina y que vivía en un convento de monjas malas en ésa de Corín Tellado que me leyó la Eliana. La Iris se detiene.
il s’exclame furieux, et d’une seule poussée il s’ouvre un passage dans maman, il a réussi, il rugit, et je l’imagine avalant sa salive, se passant la langue sur les lèvres, “c’est ça que vous aimez, hein”, et il commence à s’enfoncer dans maman, je vois tout, je découvre, il continue à pousser très dur, longuement, puis il s’arrête, recule un peu et pousse de nouveau, et il recule encore, on dirait que la table va se casser à chaque poussée, je mets la main sur ma bouche pour ne pas crier : attention maman la table va casser et tu vas tomber, je mords ma main en voyant que maman essaie encore d’aller ailleurs, pas dans la cuisine, j’entends sa voix comme un refrain : pas ici, pas ici, et je me mords plus fort en pensant qu’elle dit ça parce qu’elle sait que je suis là, en train de les regarder, elle le devine, et j’ai même l’impression qu’elle me regarde un instant – ou elle me regarde sans me voir ? –, elle a les yeux tout blancs, puis je ne les vois plus parce que son visage disparaît sous les cheveux d’Esteban, les doigts si blancs et longs de maman s’entortillent dans les cheveux entortillés d’Esteban, les caressent, les peignent, les tapotent, on dirait qu’ils les encouragent, ses doigts les enveloppent et les tirent vers elle, puis ils descendent, lui griffent le cou et le dos, le blessent, je comprends quelle peau invisible maman griffe en sentant Esteban si près, je dois pas penser à papa parce que je pleure, il ne faut pas, la table craque de plus en plus, elle bouge avec eux, sous eux, comme eux, maman appuie la tête rose d’un nain sur la poitrine d’Esteban, pour s’écarter, pour empêcher que la table se casse, mais le nain n’a pas d’autre solution que de tomber de côté, vaincu, parce que Esteban interpose son bras dessus et l’écarte un peu plus, maman appuie l’autre nain sur la poitrine d’Esteban et essaie de nouveau de le repousser, mais Esteban interpose l’autre bras et cette fois maman est complètement pliée devant lui, les bras d’Esteban séparent mieux les nains, maman est prisonnière, ses deux nains roses tout mous couchés sur les épaules d’Esteban, entourant son cou, maman fait un autre effort inutile pour le repousser, pas ici, je te l’ordonne, espèce de brute, crétin, la table va casser, et maman veut aller ailleurs, ne veut pas, veut mais ne veut pas, veut et ne veut pas changer d’endroit, elle dit oui et non, et oui, oui, oui, elle dit oui, ravie qu’Esteban revienne à la charge, une fois, deux fois, trois fois contre elle, et recommence et la colle à la table comme si elle était un timbre et lui la salive, il va la tuer, je pense, Esteban a la permission de tuer, je me rapproche à quatre pattes, sous eux, de côté et je vois que le pot de café s’est renversé sur le cou de maman et a complètement mouillé ses cheveux, le café commence à couler en grosses gouttes sur ses seins, il les fait briller, durcir, Esteban est courbé sur maman, je vois parfaitement sa bouche ouverte, sur le point de l’avaler tout entière d’une seule bouchée, de deux, de trois, toute crue, bras par bras, jambe par jambe, en se servant de ses deux mains de fer, sur le point de l’engloutir entièrement, sans couteau ni fourchette, c’est ce que je me dis sans savoir si je dois rire ou pleurer de penser à tout ça, papa. De là où je suis, les genoux de maman ont l’air plus mous et ronds, c’est les têtes des nains, je pense, des nains chauves, comme papa, hyper séparés, prêts à mourir, mais il ne faut pas que je pense à toi, papa, mais en même temps que je pense à lui, en un clin d’œil, je vois les nains de maman qui se rejoignent en un effort surhumain, ils descendent du cou d’Esteban où ils étaient soudés comme des boucles d’oreilles, ils glissent sur sa poitrine carrée, entre les bras d’Esteban, silencieux et prudents, en traître, ils ont descendu comme du caoutchouc, ils serrent bizarrement les pieds et s’appuient contre le ventre d’Esteban et l’expulsent enfin de la caverne, de leur caverne, Esteban est vaincu, ils le font reculer d’une seule poussée, douloureuse et désespérée pour les deux parce que je les entends crier, maman de joie, Esteban de rage pour la trahison, et alors je comprends que les nains ont toujours pu vaincre Esteban et que s’ils lui avaient permis d’avancer c’était parce que maman le voulait bien, j’arrive pas à bien me cacher, “ils peuvent me voir !
en la mesa está la jarra de café tras la cabeza de mamá, repicando, avisando el peligro de caer, y hay en una esquina otra botella a medio beber, mamá tiene su bata enrollada hasta las axilas y sin embargo así se ve menos desnuda, y tiembla, y él parece que tuviera un plato frente a él, en la mesa, así lo veo, y por un segundo río de la angustia de pensar que mamá es algo vivo, de carne, que él se dispone a comer, a pesar de que ella esté viva y se esfuerce por vivir más: Esteban se está comiendo un conejo vivo en la cocina, mamá es ese conejo palpitante, la voz de Esteban ruge, acercándose igual que un cuchillo afilado, Esteban es el muñeco de madera agazapado frente a ella, en la mitad de su mitad, «¡Estas señoras!» dice furioso, y de un solo empellón se abre paso entre mamá, definitivamente, y ruge, y yo lo imagino tragando saliva, pasándose la lengua por los labios, «así es como les gusta», y empieza a hundirse en mamá y yo veo, yo descubro, sigue bajando durísimo, largamente, y después se detiene y se remueve y sube otra vez y vuelve a bajar y parece que la mesa se rompiera a cada empujón y yo me llevo la mano a la boca para no gritar cuidado mamá se rompe la mesa y te caes, y muerdo mi mano al mirar que mamá procura todavía escapar a otro sitio que no sea la cocina, escucho su voz como un aire plano: aquí no, aquí no y me muerdo más al creer que lo dice porque sabe que estoy cerca, mirándolos, lo presiente, y creo ver que me mira un momento —¿o me mira sin mirarme?—, tiene los ojos en blanco y después ya no descubro sus ojos porque su rostro desaparece debajo del pelo de Esteban, los dedos tan blancos y largos de mamá, ensortijados, se enredan en el pelo ensortijado de Esteban, lo acarician y lo peinan, palmoteándolo, parecen darle ánimos, lo envuelven y lo jalan hacia ella y luego bajan y rasguñan su cuello y espalda, lo hieren, ya entiendo qué piel invisible araña mamá al sentir próximo a Esteban, no debo pensar en papá porque lloro y no debo, la mesa sigue sonando más y se mueve con ellos, bajo ellos, como ellos, mamá apoya la cabeza rosada de un enano en el pecho de Esteban, para separarse, para evitar que se rompa la mesa, pero el enano no tiene más remedio que caer vencido a un lado porque Esteban interpone su brazo y lo separa mejor, y mamá afianza al otro enano en el pecho de Esteban y vuelve a intentar expulsarlo pero Esteban interpone el otro brazo y esta vez mamá sí está doblada por entero frente a él, los brazos de Esteban en mitad de los enanos, separándolos mejor, mamá encarcelada, sus dos enanos rosados tan blandos acostados en los hombros de Esteban, rodeando su cuello, mamá hace inútilmente otro esfuerzo por rechazarlo, aquí no, te lo ordeno, bruto, jumento, y la mesa está que se rompe y mamá quiere ir a otro sitio pero no quiere, quiere ir pero no quiere, quiere pero no quiere ir a otro lugar, dice que no, que sí, dice no, sí, dice sí y no, y sí, sí, sí, dice sí, encantada de que Esteban vuelva una y otra vez contra ella y la repase y la pegue a la mesa como si ella fuera una estampilla y él entero la saliva, la va a matar, pienso, Esteban tiene permiso para matar, y me acerco más, a gatas, bajo ellos, a un costado, y veo que la jarra de café ya se ha volcado en el cuello de mamá y se ha regado en su pelo, bañándolo por completo, el café empieza a caer en gotas grandes sobre su pechos, resplandeciéndolos, endureciéndolos, Esteban encorvado sobre mamá, distingo perfectamente su boca abierta, a punto ya de tragársela definitivamente, de un solo bocado, de dos, de tres, y completamente viva, brazo por brazo, pierna por pierna, usando para ello sus dos manos de metal, a punto de engullirla enteramente y sin necesidad de cuchillo y tenedor, lo pienso sin saber si debo reír o llorar de pensar en todo eso, papá. Desde mi nuevo sitio las rodillas de mamá se ven más blandas y redondas, son las cabezas de los enanos, pienso, enanos calvos, como papá, separadísimos, dispuestos a morir, pero no debo acordarme de ti, papá, y sucede que al tiempo que pienso en papá, en un abrir y cerrar de ojos, veo juntarse a los enanos de mamá en un esfuerzo sobrehumano, descienden desde el cuello de Esteban donde estaban soldados como un aro, resbalan por encima de su pecho cuadrado, entre los brazos de Esteban, silenciosos y prudentes, a traición, han descendido como de caucho y unen los pies sorpresivamente y se apoyan contra el abdomen de Esteban y lo arrojan por fin de la caverna, de su caverna, derrotan a Esteban, lo hacen retroceder de un empujón único y doloroso y desesperado para los dos porque yo los escucho gritar a los dos, mamá de felicidad, Esteban de rabia por la traición, y es cuando comprendo que los enanos pudieron siempre derrotar a Esteban y que si le permitieron avanzar fue porque así lo quiso mamá, no alcanzo a esconderme, «¡pueden verme!
seguir adelante
Mais si tu t’es mis dans la tête de te marier tout de suite, vas-y.
Pero si estás decidido a seguir adelante, entonces hazlo.
« Allez, vas-y, c’est le moment de prouver que tu es vraiment décidée à me suivre. »
«Vamos, vamos, ha llegado el momento de demostrarme que estoy realmente convencida de seguir adelante».
Tu vas t’en sortir.
Tú saldrás adelante.
« Vas-y, qu’est-ce qui se passe ?
Adelante, ¿qué ocurre?
Vas-y, je t’écoute.”
Adelante, te escucho.
— Vas-y, on t’écoute.
Adelante, te escuchamos.
« Vas-y », me lance-t-elle.
Adelante —dice ella.
« Vas-y », ai-je répondu.
«Adelante», respondí.
Vas-y, lui dit-elle.
Adelante —dijo ella—.
– En avant, vas-y !
- ¡Adelante, sigue!
— Vas-y, Phil ! l’encouragea un autre. Si on voit quoi que ce soit, on criera.
Siga adelante, Phil —dijo otro—. Si notamos algo se lo avisamos.
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