Translation for "temps la lumière" to spanish
Temps la lumière
Translation examples
Et la France a été le pontife du temps de lumière.
Francia ha sido el pontífice de los tiempos de luz.
le passage du temps, la lumière du soleil, la chaleur et le froid, l’utilisation constante ;
el paso del tiempo, la luz del sol, el calor y el frío, la constancia del uso;
Après un laps de temps qui n’était pas réellement du temps, la lumière s’éteignit, les chants se turent, et il entendit : « Conan, réveille-toi ! » La conscience lui revint en un éclair.
Al cabo de un tiempo que no era verdadero tiempo, la luz se desvaneció, el cántico cesó y el bárbaro oyó: —¡Conan, despierta! —Al instante recobró la consciencia.
La poussière était épaisse, et chacun de ses grains pouvait être un jour écoulé dans ce lieu où il n’y avait ni temps ni lumière : des jours, des mois, des années, des siècles disparus en poussière.
El polvo era espeso, muy espeso, y quizá cada partícula de polvo era un día transcurrido aquí, donde no había tiempo ni luz: días, meses, años, siglos trocados en polvo.
En même temps, les lumières des colonies environnantes, disposées en cordons, en arcs et en boucles qui soulignaient des baies, des péninsules et de petites îles soudain étrangères, avaient l’air étonnamment fragiles et évanescentes.
Al mismo tiempo, las luces de los asentamientos periféricos, ensartados en los filamentos, arcos y bucles que implicaban bahías, penínsulas y diminutas islas medio familiares, parecían asombrosamente frágiles y evanescentes.
L’immeuble avait été transformé en pension de famille, avec des rideaux sales, des balcons où agonisait le temps, des lumières jaunâtres et un couloir profond le long duquel des Marocains faisaient la queue, le désespoir au visage et le papier hygiénique à la main.
El estudio había sido transformado en una pensión de visillos sucios, balcones donde el tiempo moría, luces amarillentas y un largo pasillo donde los marroquíes hacían cola llevando la desesperanza en la cara y en la mano el papel higiénico.
on vit plus longtemps si on est français ou allemand que si on est africain et, paraît-il, si on est français, on vit plus longtemps si on est citadin que paysan, par exemple, et si on est citadin – toujours selon les statistiques – on vit beaucoup plus longtemps si on est parisien que de n’importe quelle autre ville, et si on est parisien on vit beaucoup plus longtemps si on est une femme que si on est un homme – et il doit bien y avoir quelque chose de vrai dans tout cela, car Paris fourmille de petites vieilles : nobles, bourgeoises, petites-bourgeoises ou prolétaires, célibataires recuites ou femmes libres qui ont vieilli en conservant obstinément une indépendance farouche, veuves de notaires ou de médecins, de commerçants ou de conducteurs de métro, ex-crémières ou ex-professeurs de dessin ou de chant, romancières en pleine activité, émigrées russes ou californiennes, vieilles juives survivantes de la déportation, et même antiques cocottes poussées à la retraite par un censeur plus sévère que les bonnes mœurs, j’ai nommé le temps : la lumière du jour les voit réapparaître chaque matin, tirées à quatre épingles ou presque en haillons selon leur condition, prospectant, dubitatives, les rayons multicolores des supermarchés, ou, s’il fait beau, assises sur les bancs vert sombre des places et des avenues, droites et solitaires ou en conversation animée avec un autre exemplaire de leur espèce, ou bien distribuant, dans une attitude à présent immortalisée par les cartes postales, des miettes aux pigeons ;
se vive más tiempo si se es francés o alemán que africano y, si se es francés, se vive más tiempo si se es, parece, hombre de la ciudad que agricultor por ejemplo, y si se es de la ciudad -siempre según las estadísticas- se vive mucho más tiempo si se es parisino que si se es de cualquier otra ciudad y, si se es parisino, se vive mucho más tiempo si se es mujer que si se es hombre -y algo debe haber de cierto en todo esto, porque en París abundan las viejecitas: nobles, burguesas, pequeñoburguesas o proletarias, solteronas achicharradas o mujeres libres que envejecieron obstinándose en no perder su independencia orgullosa, viudas de notarios o de médicos, de comerciantes o de conductores de subterráneo, exverduleras o exprofesoras de dibujo o de canto, novelistas en plena actividad, emigradas rusas o californianas, viejas judías sobrevivientes de la deportación, e incluso antiguas cocottes, obligadas a retirarse por un censor más severo que las buenas costumbres, quiero decir el tiempo: la luz del día las ve reaparecer cada mañana, emperifolladas o casi en harapos, según su condición, estudiando dubitativas los estantes multicolores de los supermercados, o, si hace buen tiempo, en los bancos verde oscuro de las plazas y de las avenidas, sentadas solas y tiesas o en conversación animada con algún otro ejemplar de su especie, o dándole, en actitud ya inmortalizada por las postales, migas a las palomas;
tiempo de la luz
Là, comme s’il lisait dans nos pensées et déchiffrait nos inquiétudes, Philopater nous abordait dans la cour du lycée, nous invitait tacitement à nous joindre à lui dans sa marche posée entre les arcades du bâtiment, sans attirer l’attention, pour faire des remarques pénétrées sur le temps, la lumière changeante de la ville, la spécificité de la journée, la capacité et le plaisir d’écouter les musiques urbaines. Et sur la pensée.
Ahora, como si leyese nuestro pensamiento y descifrara nuestras inquietudes, Filopáter nos abordaba en el patio de la escuela, nos pedía de forma tácita unirnos a su andar pausado entre las arcas del edificio, sin llamar la atención, con cabizbajas referencias al tiempo, a la luz cambiante de la ciudad, a la calidad del día, a la capacidad y el gusto por escuchar las músicas urbanas. Al pensamiento.
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