Translation for "sérée" to spanish
Translation examples
grave
— Nettoyage ethnique, fit Juan, les dents serrées.
—Limpieza étnica —contestó Juan, con expresión grave—.
Kramer garda les lèvres serrées sur un demi-sourire et dit :
Kramer esbozó un gesto grave con los labios, y respondió:
la voix des orgues était grave aussi, et le parfum de l’encens, et le silence des mille personnes serrées dans l’église pour la grand-messe du dimanche.
también sonaba grave la voz del órgano y graves eran el perfume del incienso y el silencio de las mil personas apretadamente reunidas en la iglesia para oír la misa mayor dominical.
Car il y avait une serre, ou plutôt une pièce en partie vitrée, avec de la rocaille, des plantes vertes et un jet d’eau.
Porque tenían invernadero y todo o, más bien, una pieza en parte encristalada, con grava, plantas verdes y un chorro de agua.
Frith avait un air rigide et solennel, les lèvres serrées.
Su cara tenía una expresión rígida, muy seria, los labios apretados.
Une série infinie d’embrassades, de mains serrées, de paroles de réconfort.
una serie infinita de abrazos, de apretones de mano, de palabras de consuelo.
PLAN SERRÉ sur une rangée de placards en bois peints en gris.
ENFOQUE: una serie de armarios de cocina de madera pintados de gris.
– Je suis homosexuel. J’avais la gorge serrée. – Je m’en doutais, dis-je. – Ah bon ?
Soy gay. Tragué saliva con dificultad. —Algo así me imaginaba. —¿En serio?
Ses poings serrés, son air sinistre contrastaient avec le renne souriant qui décorait son pull.
Su expresión seria desentonaba con el reno sonriente de su jersey.
— Mais non, Dani, sérieusement, il vaut mieux qu’il nous accompagne  – elle la serre de nouveau.
—Pero, no, Dani, es mejor así, en serio, vamos con él. —Se lo aprieta de nuevo—.
Gunn le fusilla du regard, respirant entre ses dents serrées.
Gunn lo miró muy serio, dejaba escapar el aire a través de los dientes apretados.
– Merde… Merde. Mon cœur se serre. En vrai, c’est un membre de la famille qu’on perd.
—Maldita sea, hombre. Me duele el corazón. Estamos perdiendo a un miembro de la familia, en serio.
Mon estomac se serre, comme si j’exécutais le dernier mouvement d’une série d’abdos.
El estómago se me encoge, como si estuviera haciendo la última abdominal de una serie.
Edith le reprend gentiment en opinant du serre-tête : — Charlot…
Edith lo regaña medio en broma medio en serio, moviendo su cabecita con diadema. – Pero, Charles…
Il était plus grand qu’il ne l’avait paru sur la photographie, avec des cheveux plus courts, en boucles serrées autour d’une tête énorme.
Era más alto de lo que aparentaba en la fotografía y llevaba el pelo más corto, en forma de rizos ceñidos a un cabezón importante.
Les rangs serrés de valets de pied qu’on voyait dans les réceptions, même dans les plus grandes demeures ducales, avaient généralement été empruntés à des amis.
Las apretadas filas de lacayos que solían verse en una reunión, incluso en las casas ducales más importantes, habían sido en su mayoría prestados por amigos nobles.
Elle comprend l’importance du calme, du sang-froid, et peu à peu le nœud douloureux qui lui serre le ventre depuis si longtemps se dénoue.
Comprende cuán importante es la tranquilidad, la sangre fría, y, poco a poco, el doloroso nudo que le oprime las entrañas va relajándose.
Des millions de réfugiés encombraient l’approche des débarcadères et s’alignaient le long du fleuve, en rangs aussi serrés que sur les gradins du stade de la ruche les jours de match.
Millones de personas se atropellaban en las proximidades de los embarcaderos o cubrían las orillas como las multitudes que llenan las gradas de un estadio para ver un partido importante.
Il s’essuie les mains avec un torchon et en tend une à Bromure, qui la lui serre avec gravité et énergie.
Se seca las manos con un trapo de cocina y tiende una a Bromuro, que se la estrecha con gravedad y energía.
— Un gros serrement de cœur, fit Montez avec élan, spécialement quand je pense à mes retrouvailles avec la totale pesanteur.
Montes se encogió de hombros de manera elocuente. —Con mucha nostalgia, cuando pienso en la vuelta a nuestra gravedad.
Les dents serrées, Seth lutta contre ce qui semblait être une formidable force de gravité, pour faire un pas sur le côté.
Apretando los dientes, Seth combatió lo que le pareció una fuerza de gravedad impresionante que le obligaba a hacerse a un lado.
Lorsque l’ennemi se rapprocha, usant de la forte gravité de la planète pour basculer sur une hyperbole serrée, il n’était pas du tout préparé à subir une attaque sur son flanc.
El enemigo se aproximó, utilizando la gravedad del planeta para girar sobre una pronunciada hipérbole. Ellos no estaban preparados para recibir un ataque por los flancos.
Elle se déplaçait à la manière d’un félin, et l’on eût cru que son corps, serré dans un corset luisant comme des écailles, était d’une matière aquatique et défiait les lois de la gravité.
Se movía como un felino, como si aquel cuerpo ceñido en un corsé reluciente como escamas fuese de agua y hubiera aprendido a burlar la gravedad.
Ici, la vitesse était secondaire. Valise serrée contre la poitrine afin que mon centre de gravité ne me jouât pas de tour, je m’engageai sur la planche. Un pas à la fois.
Poco a poco, éste era el momento en el que la velocidad no contaba. Me alcé cuidadosamente sobre el extremo del tablón y mantuve el maletín contra el pecho para conservar mi centro de gravedad por encima de él. Un paso cada vez.
Ils pouvaient plonger loin dans le puits gravitationnel de la planète géante comme une voiture de course dans un virage serré, pour en tirer une force vive capitale.
Puesto que podrían descender en picado dentro del gigantesco pozo de gravedad del planeta, como un coche de carreras en una curva cerrada si se le priva de la aceleración vital.
Ce seraient ses derniers moments de conscience avant que Hadès ne la désintègre, avant qu’elle ne disparaisse, le corps et l’âme dépecés par les serres monstrueuses de la gravité qui entourait l’étoile neutronique.
Había dado por hecho que sólo recuperaría la conciencia unos instantes antes de que Hades la destruyera y su cuerpo y su alma fueran separados por las monstruosas garras de la gravedad que rodeaba a la estrella de neutrones.
Je sentis mon corps se tendre, lutter et se tordre quand le vaisseau s’arracha aux serres de la gravité, se projeta vers le vide pur, animé d’une volonté plus forte que la loi universelle.
Sentí que mi cuerpo se tensaba y luché y grité mientras la nave se arrancaba del puño de la gravedad y se lanzaba hacia arriba y hacia fuera al vacío con una voluntad que era más fuerte que la ley universal.
— Megan ! Prends Nounours ! Il te protégera. C’est comme la gravité. Après ce discours que seul un enfant peut comprendre, il remonte son pantalon, serre les poings, redresse le menton et affirme :
—¡Megan! Coge a Oso, que te mantendrá a salvo, como la gravedad. Después de ese ejemplo de lógica que solo un niño puede entender, se sube los pantalones, cierra los puños, alza la barbilla y dice:
La rangée d’enfants s’avança timidement. Sourires crispés, menottes serrées l’une dans l’autre.
La columna de niños se puso en marcha, muy formales. Pequeñas sonrisas, cogiditos de la mano.
Il se dégageait d’elle quelque chose de franc, de sérieux pendant que, légèrement penchée en avant dans son fauteuil, pieds serrés, elle m’expliquait ce qu’elle avait appris au cours de son enquête.
Con actitud llana y formal, se inclinó ligeramente en la silla, manteniendo los pies juntos, para explicarme qué había averiguado en su investigación.
Alma aidait son père, elle assistait Hanneke, travaillait dans les serres et organisait parfois des dîners officiels à White Acre pour distraire Henry.
Alma ayudaba a su padre, ayudaba a Hanneke, trabajaba en los invernaderos y a veces organizaba cenas formales en White Acre para diversión de Henry.
Il gisait dans une clairière au centre de l’île ; comme les autres, il avait été disposé dans une attitude solennelle, les bras tendus le long des flancs et les jambes serrées.
Estaba tendido en el centro de la isla en un pequeño claro y, al igual que los demás, había sido dispuesto en una postura formal, con los brazos cruzados sobre el pecho y las piernas muy juntas.
Il l’a serrée comme un homme d’affaires – il avait une main dure, calleuse, le contraire de la main moite, molle et douce d’un écrivain – et après l’avoir relâchée, il s’est assis en face de moi.
Él la aceptó con estilo formal —a diferencia de la mano suave, blanda y húmeda de un escritor, la suya era dura y callosa— y tras soltarla se sentó en el reservado frente a mí.
Plus quelques filles serrées de près par la main qui ne serrait point l’anse de la chope d’ale ? Question qu’aucune gentille fille ne pouvait poser tout à trac, mais qu’elle ne pouvait empêcher de lui trotter par la tête. Le sourire qui avait joué sur les lèvres de Will disparut.
«Y a lo mejor estrujasteis a unas cuantas chicas con la mano que no estaba ocupada estrujando la jarra de cerveza, ¿verdad?» Era una pregunta que una chica formal no podía hacer así por las buenas, pero que no podía por menos que venirle a la mente. Ahora la sonrisa que había jugueteado en las comisuras de la boca de Will se disipó.
d’ailleurs, il y a fort à craindre qu’avant la fin du cérémonieux repas de Hamley Hall, elle n’en fût venue à regretter aussi les chaises et les tables trop serrées, la nécessité de manger vite, la façon bâclée et tronquée dont chacun paraissait vouloir expédier son repas au plus tôt et retourner à l’ouvrage qu’il avait quitté.
y no sólo eso, sino que es de temer que, antes de que acabara aquella cena formal en Hamley Hall, recordara con nostalgia la mesa abarrotada, el comer a toda prisa, la precipitación y la informalidad con que todo el mundo parecía rematar la cena lo más deprisa posible para así reemprender cuanto antes sus tareas donde las habían dejado.
L’air empestait le tabac et le malheur existentiel ; un homme de grande taille, gras, étouffant dans sa redingote trop serrée et son col cassé, lisait laborieusement une feuille de papier, suant copieusement en psalmodiant dans un allemand guindé mais très correct : « Herr Reichsleiter, nous vous adressons nos remerciements les plus chaleureux pour votre hospitalité éminemment teutonne.
El aire estaba lleno de humo de tabaco y de infelicidad existencial, y un hombre alto, gordo y ardoroso, con chaqué ceñido y cuello de etiqueta, leía, con enorme esfuerzo interior y muy sudoroso, una hoja de papel en un alemán formal y fluido: —Le damos las más calurosas gracias por su típica hospitalidad teutónica, Herr Reichsleiter.
À la lumière de la lune, un homme lance de grands coups de hache sur les cordes du radeau, un officier tente de l'arrêter, mais eux, ils sautent sur lui et le blessent à coups de couteau, il revient vers nous couvert de sang, nous saisissons nos sabres et nos fusils, la lumière de la lune disparaît derrière les nuages, c'est difficile à expliquer, c'est un instant qui n'a pas de fin, et puis c'est une vague invisible de corps, d'armes, de hurlements qui s'abat sur nous, le désespoir aveugle qui cherche la mort, vite, qu'on en finisse, et la haine qui cherche son ennemi, vite, pour l'entraîner jusqu'en enfer – et dans la lumière qui décline puis disparaît je me souviens de ces corps qui se jettent sur nos sabres et du claquement des coups de fusil, et le sang qui jaillit des blessures, les pieds qui glissent sur les têtes coincées entre les planches du radeau, et ces désespérés qui se traînent, les jambes brisées, jusqu'à l'un d'entre nous, et parce qu'ils n'ont plus d'armes, ils nous mordent la jambe et restent accrochés, attendant le coup et la lame qui, pour finir, vient les fracasser – je me souviens – deux des nôtres qui meurent, littéralement mis en pièces par cette bête inhumaine jaillie du néant de la nuit, et eux qui meurent par dizaines, étouffés, lacérés, qui se traînent sur le radeau en regardant, comme hypnotisés, leurs mutilations, ils invoquent les saints et ils plongent leurs mains dans les blessures des nôtres pour leur arracher les viscères – je me souviens – un homme se jette sur moi, il serre les mains autour de mon cou, et tout en essayant de m'étrangler il ne cesse de gémir « pitié, pitié, pitié », un spectacle absurde, il y a ma vie sous ses doigts, et il y a la sienne à la pointe de mon sabre, qui finit par s'enfoncer dans son flanc puis dans son ventre puis dans sa gorge puis dans sa tête qui roule à l'eau, puis dans ce qu'il reste de lui, bouillie sanglante enfoncée entre les planches du radeau, inutile pantin où mon sabre plonge encore une fois, puis deux puis trois puis quatre puis cinq La première chose c'est
Todos los que ven tierra, ¡Tierra!, o naves en el horizonte. Gritan, y nadie los escucha. Hay uno que escribe una carta de protesta formal al almirante para expresar su indignación y denunciar la infamia y reclamar de manera oficial… Palabras, plegarias, visiones, un banco de peces voladores, una nube que indica el camino de la salvación, madres, hermanos, esposas que aparecen para enjugar las heridas y ofrecer agua y caricias, hay alguien que busca afanosamente su espejo, su espejo, quién ha visto mi espejo, devolvedme mi espejo, un espejo, mi espejo, un hombre que bendice a los moribundos con blasfemias y lamentos, y alguien habla al mar, en voz baja, le habla, sentado en el borde de la balsa, lo corteja, podría decirse, y oye sus respuestas, el mar que responde, un diálogo, el último, otros al final ceden a sus respuestas astutas y, convencidos, se dejan caer en el agua y se entregan al gran amigo que los devora llevándoselos lejos —mientras sobre la balsa, adelante y atrás, continúa corriendo Léon, Léon el muchacho, Léon el chico, Léon que tiene doce años, y la locura se ha apoderado de él, el terror se ha adueñado de él, y adelante y atrás corre de un lado para otro de la balsa gritando sin descanso un único grito madre mía madre mía madre mía madre mía, Léon de la dulce mirada y de la piel de terciopelo corre demencialmente, pájaro enjaulado, hasta matarse, le estalla el corazón, o quién sabe qué, dentro, quién sabe qué para hacer que se desplome de ese modo, de repente, con los ojos desorbitados y una convulsión en el pecho que lo sacude y al final lo arroja al suelo, inmóvil, de donde lo recogen los brazos de Gilbert —Gilbert, que lo quería— y lo abrazan con fuerza —Gilbert, que lo quería y ahora lo llora y lo besa, inconsolable, era extraño ver, allí en medio, en medio del infierno, la cara de aquel viejo que se inclina sobre los labios de aquel niño, era extraño ver esos besos, cómo puedo olvidarlos, yo que vi aquellos besos, yo sin fantasmas, yo con la muerte a cuestas y ni tan siquiera la gracia de algún fantasma o de alguna dulce locura, yo que he dejado de contar los días, pero sé que cada noche, de nuevo, aparecerá aquella bestia, tendrá que aparecer, la bestia del horror, el matadero nocturno, esta guerra que libramos, esta muerte que sembramos alrededor para no morir, nosotros que
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