Translation for "suint" to spanish
Translation examples
Le ciel n’arrose pas, il suinte.
El cielo no riega, rezuma.
C’est la cruauté qui suinte dans ces cercles.
Lo que rezuma de los círculos es crueldad.
comme une odeur fétide, elle suinte par mes fissures.
como un mal olor, me rezuma por las grietas.
— Non Danglard, non. C’est la cruauté qui suinte dans ces cercles.
-No, Danglard, no. Lo que rezuma de los círculos es crueldad.
Une substance transparente suinte de son œil gauche.
Le rezuma un líquido claro del ojo izquierdo.
Ici il y avait quelque chose de précieux, quelque chose qui suinte et qui saigne.
Había algo precioso aquí, algo que rezuma y sangra.
 Ce désert suinte le pouvoir, murmura-t-il.
– Este desierto rezuma poder -me susurró don Juan al oído-.
Le cognac a atteint le cerveau. On le voit suinter. — Oh !
El coñac le ha afectado el cerebro. Le rezuma. —¡Oh!
– Il y a un liquide qui suinte sur les montants de la cage, dit Wolf.
—Hay un líquido que rezuma de los montantes de la cabina -dijo Wolf.
Le matériel cométaire suinte du nuage jusqu’à l’intérieur du système.
El material cometario rezuma de la nube y penetra en el interior del sistema.
Une sorte de boue visqueuse s’enroulait autour de l’île rocheuse, éternel suintement en mouvement qui caractérisait cette strate du plan des Abysses.
El lodo se extendía y enrollaba alrededor de la isla de roca, el eterno cieno movedizo que marcaba este estrato del Abismo.
Par la suite, à chaque fois que je campais près d’un marécage, je ne me fatiguais pas à ramasser du bois mort. Je cherchais cette boue noire qui suinte du sol et j’obtenais avec un feu bien plus chaud et une lumière bien plus vive qu’avec toutes ces huiles avec lesquelles on allume les lampes.
Desde entonces cada vez que tenía que acampar cerca de un pantano, no me tomaba la molestia en juntar ramas secas, buscaba el cieno negro, ciertas clases de burbujas y fango, y siempre hacía un fuego mucho más caliente y brillante del que podría haber hecho cualquiera de los aceites que acostumbrábamos para el uso de nuestras lámparas.
Dans ces voies où le soleil ne parvenait pas à pénétrer, personne ne se donnait plus la peine d’enlever les fragments de plâtre qui jonchaient le sol. À part quand une maison était vide, ses fenêtres évoquant alors les orbites creuses d’une tête de mort, du linge minable pendait presque partout, laissant suinter un jus noirâtre qui en disait long sur les conditions de vie dans cette partie de la ville. Comme pour confirmer ce sentiment, la puanteur était atroce, le contenu des pots de chambre, ajouté à d’autres immondices, attirant cent fois plus de mouches que de l’autre côté du fleuve, où on n’en manquait pourtant pas.
En esas calles, donde incluso los fragmentos se habían hecho añicos, la mañana no había llegado todavía a las sombras de los edificios. Cada tres ventanas había ropa, de aspecto sucio, tendida para secarse, salvo en los edificios deshabitados. Había algunos, y sus ventanas recordaban las cuencas vacías de una calavera. Un olor agridulce a podrido impregnaba el aire; los desperdicios y el contenido de orinales vaciados un mes atrás se descomponían allí donde habían sido arrojados, y por cada mosca existente al otro lado del Eldar, allí zumbaban cien formando nubes verdes y azules.
(Il y a longtemps que j’ai détruit la plupart de ces suintements échappés à mon psychisme juvénile, épargnant tout au plus une centaine de pages parées à mes yeux d’un intérêt nostalgique, entre autres celles qui concernent Leslie et aussi un traité en neuf cents mots – étonnamment spirituel pour un journal intime à ce point chargé d’angst et de pensées profondes – traitant des mérites respectifs, coefficients apparents de friction, parfums et ainsi de suite des divers lubrifiants dont je m’étais servi pour pratiquer le Vice Secret, mon champion favori étant une bonne émulsion de savon en paillettes et d’eau à trente-sept degrés.) Non, au mépris de toutes les exhortations de ma conscience et de l’éthique calviniste du travail, et quand bien même je ne me sentais nullement fatigué, je restai étendu sur mon lit, le nez au plafond, immobile comme quelqu’un menacé de prostration, hébété de constater que la fièvre qui depuis quelques jours ne me quittait pas avait provoqué des spasmes dans mes muscles, et que l’on pouvait bel et bien tomber malade, peut-être même gravement, sous l’empire de l’extase charnelle.
(Hace ya tiempo, destruí muchas de estas destilaciones de mi psique juvenil, de las que guardé sólo unas cien páginas de valor nostálgico, incluidas las notas sobre Leslie y un tratado de novecientas palabras —sorprendentemente ingenioso y festivo para un diario tan lleno, por otra parte, de ansiedades, temores y pensamientos profundos— sobre las virtudes relativas, supuestos coeficientes de fricción, fragancia, etcétera, de los diferentes lubricantes que había usado en la práctica del Vicio Secreto, de entre las cuales salió ganando el producto jabonoso Copos de Marfil bien emulsionado a la temperatura del cuerpo). No, nada de eso. Contra todos los dictados de mi conciencia y de la ética del trabajo calvinista, y aunque no estaba nada cansado, permanecí echado de espaldas en mi cama, inmovilizado como si me hallara al borde de la postración, confundido por la evidencia de que el estado febril que llegó a dominarme durante aquellos últimos días había provocado una agotadora crispación de mis músculos, y de que uno podía enfermar de verdad, incluso gravemente, a causa del éxtasis venéreo.
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