Translation for "soupeser" to spanish
Translation examples
— Attends un peu, tu pourras en soupeser un toi-même.
—Espera un poco y tendrás la oportunidad de pesar uno tú mismo.
Au cours de ces heures, j’ai eu tout loisir de soupeser mes actes.
Durante esas horas pude pesar mis acciones.
Tatiana fronça les sourcils et parut soupeser la question.
Tatiana frunció el ceño y apareció pesar en el asunto.
Malgré le ton triomphant de son frère, Quara avait écouté les paroles d’Ender, les avait soupesées.
A pesar del tono triunfal de su hermano, Quara había escuchado las palabras de Ender, y ahora asintió, insegura.
Puis il feignit de soupeser son fer, un fer 4, alors qu’en fait il pesait ses chances de réussir le coup suivant.
Después fingió pesar el hierro, un hierro 4, en las manos, pero en realidad pesaba los efectos de acertar el próximo golpe.
Malgré la gravité du combat, c’était un fait assez important pour qu’elle se détende momentanément et consacre une partie de son esprit conscient à soupeser la situation.
A pesar de la gravedad de la batalla que se estaba librando, este nuevo objeto era lo bastante importante para permitir que, durante unos instantes, una parte de su mente consciente evaluara la situación.
Après avoir soupesé les risques, tous deux se sont mis d’accord pour échanger des nouvelles par téléphone, un moyen qui offre le minimum de danger à condition d’éviter de citer mon nom.
Después de pesar los riesgos, ambos se pusieron de acuerdo para intercambiar noticias por teléfono, un medio que ofrece el mínimo de peligro, siempre que eviten mencionar mi nombre.
L’autre était calme, ou plutôt animé d’une volonté de contrôle sur les événements et sur lui-même, qui lui faisait mesurer chaque geste et peser, soupeser, évaluer et calculer chaque décision (ma mère : je sens que je suis injuste.
El otro era tranquilo, o mejor dicho, lo animaba una voluntad de control sobre los acontecimientos y sobre sí mismo que le hacía calibrar cada gesto y pesar, sopesar, valorar y calcular cada decisión (mi madre: siento que soy injusta.
L’habitude de lire des ouvrages où aucun mot ne pouvait être déplacé sans altérer le sens caché, le soupèsement prudent, respectueux des significations premières et secondes de chaque phrase, leur avaient modelé peu à peu cette expression.
La costumbre de leer libros en los que ninguna palabra podía quitarse de su lugar sin que se perdiera su recóndito significado, su manera de pesar cuidadosa y atentamente cada oración según su sentido directo y su doble sentido, habían forjado su temperamento.
Il a beau être pressé (il lui faut attraper le sucre avec ses lèvres, ramasser le reste d’un coup de langue sur le pain, poser un pied sur la traverse du châlit, se hausser pour arranger sa couverture), il a trouvé le temps de regarder sa ration d’un côté, de l’autre, de la soupeser de la main, pour voir si les 550 grammes réglementaires y sont.
A pesar de la prisa y de las cosas que debía hacer -retirar con los labios el azúcar del pan, lamerlo luego con la lengua, poner un pie sobre la tarima y trepar para hacer la cama- encontró tiempo para examinar cuidadosamente la ración por todos lados. Sopesarla en la mano para ver si tenía los 550 gramos que le correspondían.
Il posa la feuille sur son bureau, regarda fixement son interlocuteur et dit, Imaginons que ce soit une plaisanterie, Ce n’en est pas une, Moi non plus je ne le crois pas, mais si je vous dis de l’imaginer c’est seulement pour conclure que nous ne tarderons pas à le savoir, Il nous faudra exactement douze heures, puisqu’il est midi à présent, C’est là que je veux en venir, si ce que la lettre annonce se produit véritablement et si nous n’en prévenons pas la population auparavant, ce qui est arrivé la dernière nuit de l’année se répétera, mais à rebours, Peu importe que nous la prévenions ou non, monsieur le premier ministre, l’effet sera le même, Exact, toutefois, si nous la prévenons et qu’il se trouve qu’il s’agissait d’une plaisanterie, les gens auront passé un mauvais moment inutilement, quoiqu’il y aurait beaucoup à dire sur la pertinence de cet adverbe, Je ne crois pas que cela vaille la peine, monsieur le premier ministre, vous avez déjà dit que vous ne pensiez pas qu’il s’agisse d’une plaisanterie, C’est vrai, Que faire, alors, prévenir ou ne pas prévenir, C’est bien là la question, mon cher directeur général, nous devons penser, soupeser, réfléchir, Le problème est désormais entre vos mains, monsieur le premier ministre, il vous appartient de décider, Effectivement, c’est de mon ressort, je pourrais même déchirer ce papier en mille morceaux et attendre ce qui se passera, Je ne crois pas que vous ferez cela, Vous avez raison, je ne le ferai pas, par conséquent il faut prendre une décision, dire simplement qu’il faut avertir la population ne suffit pas, il faut savoir comment, Les moyens de communication sont là pour ça, monsieur le premier ministre, nous avons la télévision, les journaux, la radio, Donc, votre idée serait de distribuer à tous ces médias une photocopie de la lettre, accompagnée d’un communiqué du gouvernement dans lequel on appellerait la population à garder son calme et on lui donnerait quelques consignes sur la façon de procéder en cas d’urgence, Monsieur le premier ministre, vous avez formulé l’idée bien mieux que je n’aurais pu le faire, Je vous remercie de votre opinion flatteuse, mais je vous demande à présent de faire un effort et d’imaginer ce qui se passerait si nous agissions de la sorte, Je ne comprends pas, J’espérais autre chose de la part du directeur général de la télévision, S’il en est ainsi, je regrette de ne pas être à la hauteur, monsieur le premier ministre, Bien sûr que vous êtes à la hauteur, vous êtes simplement décontenancé par la responsabilité, Et vous, monsieur le premier ministre, n’êtes-vous pas décontenancé, Si, je le suis moi aussi, mais, dans mon cas, décontenancé ne veut pas dire paralysé, Heureusement pour le pays, Je vous remercie à nouveau, nous ne nous sommes jamais beaucoup parlé, d’habitude je ne discute de télévision qu’avec le ministre de tutelle, mais je crois que le moment est venu de faire de vous un personnage national, Maintenant, je ne vous comprends plus du tout, monsieur le premier ministre, C’est simple, cette affaire va rester entre nous, rigoureusement entre nous, jusqu’à neuf heures du soir, heure à laquelle le journal télévisé s’ouvrira sur la lecture d’un communiqué officiel expliquant ce qui se passera aujourd’hui à minuit, un résumé de la lettre sera également lu, et la personne qui fera ces deux lectures sera le directeur général de la télévision, en premier lieu parce qu’il a été le destinataire de la lettre, même si son nom n’y figure pas, et en second lieu parce que le directeur général de la télévision est la personne à qui je fais confiance, afin que nous menions tous les deux à bonne fin la mission dont la dame qui signe ce papier nous a chargés implicitement, Un présentateur s’acquitterait bien mieux de cette tâche, monsieur le premier ministre, Je ne veux pas de présentateur, je veux le directeur général de la télévision, Si tel est votre désir, je tiendrai cela pour un honneur, Nous sommes les seules personnes à savoir ce qui se passera aujourd’hui à minuit et nous continuerons à être les seules jusqu’à l’heure où la population recevra l’information, si nous faisions ce que vous avez proposé il y a peu, c’est-à-dire déjà transmettre la nouvelle aux médias, nous aurions douze heures de chaos, de panique, de tumulte, d’hystérie collective et dieu sait quoi d’autre encore, donc, comme il ne nous est pas possible, je parle du gouvernement, d’éviter ces réactions, limitons-les au moins à trois heures, ensuite cela ne dépendra plus de nous, nous aurons toutes sortes de manifestations, larmes, désespoirs, soulagements mal déguisés, nouveaux bilans de vie, Cela semble une bonne idée, Oui, mais seulement parce que nous n’en avons aucune qui soit meilleure.
Dejó el papel sobre la mesa, miró fijamente al interlocutor y dijo, Imaginemos que se trata de una broma, No lo es, Tampoco yo creo que lo sea, pero si digo que lo imaginemos es sólo para concluir que no demoraremos muchas horas en saberlo, Precisamente doce, dado que ahora es mediodía, Ahí es donde quiero llegar, si lo que se anuncia en la carta llega a cumplirse, y si no avisamos antes a la gente, se repetirá, pero al revés, lo que sucedió en la noche de fin de año, Da lo mismo que avisemos o que no, señor primer ministro, el efecto será el mismo, Contrario, Contrario, pero el mismo, Exacto, sin embargo, si avisamos luego se comprueba que se trataba de una broma, las personas habrán pasado un mal rato inútilmente, aunque sea cierto que habría mucho que decir Sobre la pertinencia de este adverbio, No creo que merezca la pena, usted ha dicho que no piensa que sea una broma, Así es, Qué hacemos entonces, avisar o no avisar, Ésa es la cuestión, mi querido director general, tenemos que pensar, ponderar, reflexionar, La cuestión ya está en sus manos, señor primer ministro, la decisión le pertenece, Me pertenece, sí, hasta podría romper el papel en mil pedazos y echarme a esperar lo que ha de ocurrir, No creo que lo haga, Tiene razón, no lo haré, por tanto hay que tomar una decisión, decir simplemente que la gente tiene que ser avisada no basta, es necesario saber cómo, Los medios de comunicación social existen para eso, señor primer ministro, tenemos la televisión, los periódicos, la radio, Su idea es que distribuyamos a todos esos medios una fotocopia de la carta acompañada de un comunicado del gobierno en que se solicite de la población serenidad y se den algunos consejos acerca de cómo proceder en la emergencia, Señor primer ministro, ha formulado la idea mejor de lo que yo alguna vez sería capaz de hacer, Le agradezco la lisonjera opinión, pero ahora le pido que haga un esfuerzo e imagine lo que ocurriría si procediésemos de ese modo, No lo entiendo, Esperaba más del director general de televisión, Si es así, siento no estar a la altura, señor primer ministro, Claro que está, lo que pasa es que se encuentra aturdido por la responsabilidad, Y usted, que es primer ministro, no lo está, También lo estoy, pero, en mi caso, aturdido no quiere decir paralizado, Afortunadamente para el país, Se lo agradezco una vez más, no hemos hablado mucho el uno con el otro, generalmente de la televisión hablo con el ministro responsable, pero creo que ha llegado el momento de hacer de usted una figura nacional, Ahora ya no lo comprendo en absoluto, señor primer ministro, Es simple, este asunto se quedará entre nosotros, rigurosamente entre nosotros, hasta las nueve de la noche, a esa hora el informativo de televisión abrirá con la lectura de un comunicado oficial en el que se explicará lo que va a suceder a medianoche de hoy, también se leerá un resumen de la carta, y la persona que realizará estas dos lecturas será el director general de la televisión, en primer lugar porque fue él el destinatario de la carta, aunque no nombrado en ella, en segundo lugar porque el director general es la persona en quien confío para que ambos llevemos a cabo la misión que, implícitamente, nos fue encargada por la dama que firma este papel, Un locutor haría mejor el trabajo, señor primer ministro, No quiero un locutor, quiero al director general de la televisión, Si es ése su deseo, lo consideraré como un honor, Somos las únicas personas que conocen lo que va a pasar hoy a medianoche y seguiremos siéndolo hasta la hora en que el país reciba la información, si hiciéramos lo que propuse antes, es decir, pasar ya la noticia a los medios de comunicación social, íbamos a tener doce horas de confusión, de pánico, de tumulto, de histerismo colectivo, y no sé cuántas cosas más, por tanto, dado que no está dentro de nuestras posibilidades, me refiero al gobierno, evitar esas reacciones, al menos las limitaremos a tres horas, de ahí en adelante ya no será cosa nuestra, vamos a tener de todo, lágrimas, desesperación, alivios mal disimulados, nuevas cuentas a la vida. Me parece una buena idea, Sí, pero sólo porque no tenemos otra mejor.
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