Translation for "souffle court" to spanish
Translation examples
Le souffle court, il regardait le petit.
Miró al chico, jadeante.
hurla Dohor, le souffle court.
—bramó Dohor, jadeante.
Mon discours était confus, mon souffle court.
Me mostré confusa, jadeante.
Je me suis relevé en jurant, le souffle court.
Solté una maldición y me puse de pie, jadeante.
Gurgi, le souffle court, hocha la tête.
El jadeante Gurgi meneó la cabeza.
Le souffle court, j’appuyai sur le bouton d’appel.
Jadeante, pulsé el botón de llamada.
Elles rient, le souffle court, Heidi se dégage.
Se ríen, jadeantes, Heidi se suelta.
Boso s’affaissa. Jorian se recula, le souffle court ;
Boso se derrumbó. Jorian retrocedió, jadeante;
Il avait le dos voûté, les mains tremblantes, le souffle court ;
Tenía la espalda encorvada, las manos temblorosas y el aliento jadeante;
Il revint, le souffle court, son sang coulant d’une blessure qu’il avait au cou.
Volvió jadeante, sangrando por una herida del cuello.
J’ouvris la bouche, le souffle court, et baissai les yeux sous ce regard intense.
Abrí la boca, fui incapaz de respirar y bajé la vista para apartarme de aquella intensa mirada.
L'humeur de Caleb changea rapidement et, bientôt, les sourires n'étaient plus qu'un souvenir. Nous étions perdus dans un baiser si intense qu'on avait tous les deux le souffle court.
El humor de Caleb cambió con rapidez, y de pronto todas las sonrisas desaparecieron mientras nos enredábamos en un beso tan intenso que los dos empezamos a jadear.
Le souffle court, je m’accroche à ses bras pendant qu’il prend ma tête entre ses mains et plonge son regard dans le mien. Ses yeux intenses et gris brûlent de désir. — Oh, Ana.
Gimo y me aferro a sus antebrazos, y él me sujeta la cabeza con las manos y me mira a los ojos… intensos y grises, ardientes de deseo. —Oh, Ana.
Steve resta debout, le souffle court, respirant l’air lourd de la boutique, à fixer d’un regard vide les trois chaises qu’il avait promis de rempailler avant la fin de la semaine.
Después se limitó a permanecer de pie, respirando afanosamente, inhalando los intensos olores y contemplando con aire ausente las tres sillas cuyos asientos de rejilla había prometido arreglar para el final de semana.
— Il y en a plusieurs, dit-il, le souffle court. Les bruits s’amplifiaient, les octopodes nous cernaient. Richard dirigea le faisceau de sa lampe vers l’avenue de l’Est et nous vîmes approcher deux grosses créatures noires.
—Hay varios de ellos —dijo Richard sin aliento, mientras el sonido de las octoarañas, cada vez más intenso, nos rodeaba. Richard dirigió el haz de su linterna y recorrió el largo sendero que salía desde nuestro túnel hacia el este. Todos vimos dos objetos grandes, oscuros, que se desplazaban en dirección a nosotros.
Et les voilà repartis dans l’univers du sexe, collaboration en duo sur les plus fascinantes des variations sur un thème : la mélodie cinétique avec ses félicités intenses, et son accompagnement de feuilles qui crissent et de bizarres petits cris, grondements, grognements, grommellements, exclamations, exhalaisons, mots doux, rires, et de beaucoup de souffles courts.
—Una rápida sonrisa, un movimiento pícaro contra él, y vuelven al mundo del sexo, un dueto colaborando en las variaciones más fascinantes sobre un mismo tema: la melodía cinética con sus intensos deleites, acompañada por el crujido de las hojas y los extraños gemidos, murmullos, gruñidos, suspiros, júbilo, cariño, risas y todos los jadeos.
Eric Lindemann, chef du service de psychiatrie au Massachusetts General Hospital dans les années 1940, qui interviewa les proches des victimes de l’incendie de Cocoanut Grove en 1942, définissait ce phénomène avec une absolue précision dans sa célèbre étude publiée en 1944 : « des sensations de détresse somatique, par vagues, d’une durée de vingt minutes à une heure d’affilée, l’impression d’avoir la gorge serrée, d’étouffer, d’avoir le souffle court, un besoin de soupirer, un vide au creux de l’abdomen, une diminution des forces musculaires, et une intense détresse subjective décrite comme de la tension ou de la douleur mentale ».
Eric Lindemann, que fue jefe de psiquiatría en el Massachusetts General Hospital en la década de 1940 y entrevistó a muchos familiares de víctimas mortales del incendio de Cocoanut Grove en 1942, definió el fenómeno con una concreción absoluta en un famoso estudio de 1944: «sensaciones de angustia somática que se presentan en forma de oleadas de entre veinte minutos y una hora cada una, la sensación de tener un nudo en la garganta, dificultad para respirar, necesidad de suspirar y una sensación de vacío en el abdomen, falta de potencia muscular y una intensa angustia subjetiva que se describe como tensión o dolor mental».
Lison et Bruno trépignent, braillent, protestent que « c’est mouillé », que « c’est froid », que « ça pique », comme moi à leur âge sans doute, mais je continue, sans pitié pour leur souffle court et leurs claquements de dents, car ce n’est pas avec mon supplice d’enfant que je renoue ici mais avec les gestes de Violette, la précision brutale de sa traque, derrière les oreilles, au fond du nombril, entre les orteils, à l’eau froide et sans trop se soucier si ce grand savonnage me piquait les yeux ou m’enflammait les narines, moi protestant d’abord, puis vite ravi de tournoyer entre ces mains efficaces, jouant à m’échapper après le rinçage, à faire claquer la plante mouillée de mes pieds sur le ciment de la buanderie, hurlant d’être poursuivi par un grand drap fantôme, et rattrapé, et bouchonné, et frictionné au camphre, talqué parfois si l’exigeait le sillon rougi de mes fesses, toutes choses que je fais subir aujourd’hui à ma progéniture, qui n’a pas l’air aux anges, elle, il faut bien le reconnaître.
Lison y Bruno patalean, berrean, protestan, «está mojada», «está fría», «pica», como yo a su edad sin duda, pero continúo, sin piedad ante su jadeo y su castañetear de dientes, pues no estoy retomando mi suplicio de niño sino los gestos de Violette, la brutal precisión de su búsqueda, detrás de las orejas, al fondo del ombligo, entre los dedos de los pies, con agua fría y sin preocuparse en absoluto de si el intenso enjabonado hacía que los ojos me picaran o se me inflamara la nariz, protestando yo al principio, luego, muy pronto, encantado de revolotear entre aquellas eficaces manos, jugando a escapar después del aclarado, haciendo chasquear la mojada planta de mis pies sobre el cemento de la lavandería, aullando al ser perseguido por una gran toalla fantasma, y alcanzado, y estregado y friccionado con alcanfor, talqueado a veces si lo exigía el surco enrojecido de mis nalgas, cosas todas ellas que hago sufrir hoy a mi progenie, que, sin embargo, no parece estar en el séptimo cielo, debo reconocerlo.
fit Cornélius, le souffle court.
—dijo Cornelius sin aliento—.
— Et toi ? demanda Jason, le souffle court.
—¿Y tú? —preguntó Jason sin aliento.
Nirgal s’arrêta, le souffle court.
Nirgal se detuvo, sin aliento.
Une voix rauque, au souffle court.
Una voz fina y sin aliento.
lui assura Danica, le souffle court.
—La arreglaremos —dijo Danica sin aliento.
dit Marc, le souffle court.
—dijo Marc, casi sin aliento.
demanda Minou, le souffle court.
—preguntó Minou, casi sin aliento.
– Je suis le Paddy d’Annie, dit-il, le souffle court.
—Soy su Paddy —dijo, sin aliento—.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test