Translation for "sentis" to spanish
Translation examples
Vous l’avez senti, n’est-ce pas ?
Lo sintió, ¿verdad?
Pourquoi s'était-il senti coupable ?
¿Por qué se sintió culpable?
Et c’est pour ça qu’il s’est senti obligé.
Y por eso se sintió obligado.
Jaina avait senti la même chose.
Jaina también lo sintió.
Il avait senti que c’était à lui de jouer.
Sintió que llegaba su oportunidad.
Quand elle a senti que vous vous détachiez d’elle ?
¿Cuando sintió que te estabas distanciando de ella?
Est-ce qu’il s’est senti vulnérable, dans cette situation ?
¿Se sintió vulnerable en esta situación?
Miguel s’était senti abusé.
Miguel se sintió burlado.
Ce qui est sûr, c’est qu’il s’est senti trahi par elle.
Lo que está claro, es que se sintió traicionado por ella.
Il s’était senti mieux, soulagé.
Se sintió mejor, más tranquilo.
Portant de hautes bottes en feutre et un manteau court doublé de fourrure, avec un col en astrakan, Sleptsov marcha lentement le long d’un sentier droit, le seul où la neige fut dégagée, vers ce paysage lointain et aveuglant.
 Con altas botas de fieltro y un abrigo de piel con cuello de astracán, Sleptsov se encaminó en línea recta por la única senda abierta en la nieve, hacia aquel paisaje distante y cegador.
C’était bien, j’étais relaxé, j’avais oublié le manuscrit, mais je ne parvenais à me sentir que très distant, et je percevais les vains contacts des lèvres et des doigts de la femme avec laquelle je flottais, tête-bêche, comme au travers d’un silencieux feutre d’images.
Me sentía bien, estaba relajado, había olvidado ya mi manuscrito, pero no podía evitar sentirme muy lejos. Percibía las inútiles caricias de los labios y los dedos de la mujer junto a la que levitaba como a través de un fieltro silencioso de imágenes.
Parce qu'il était enclin, chose compréhensible, à croire ses professeurs, il se rangea à l'idée que sa vie allait rouler avec une exactitude prédéterminée, et il s'efforça ensuite pendant des années de sentir sous la peau de ses jours la moelleuse caresse d'un tapis vert : et de reconnaître dans l'irruption de certaines douleurs imprévisibles le heurt géométrique d'une bande exacte, scientifiquement infaillible.
Dado que se sentía, comprensiblemente, inclinado a creer en sus profesores, se hizo a la idea de que su vida giraría con una exactitud preestablecida, y después, durante años, se empeñó en notar bajo la superficie de sus días la suave caricia de un fieltro verde: y en reconocer bajo la aparición de ciertos dolores imprevisibles el geométrico trauma de bandas exactas, científicamente infalibles.
Il faut tenir bon jusqu’au bout, jusqu’au lit, jusqu’aux planches sur lesquelles il s’écrasera enfin, les yeux clos, les oreilles bourdonnantes, à écouter le sang circuler dans ses artères, à sentir son corps vivre, à penser enfin à autre chose qu’à toutes ces conneries-là qui lui permettent de durer, à penser à une fenêtre, à quatre murs, à une chambre avec un lit, un fourneau – il n’ose pas ajouter le berceau – à un homme qui s’en va le matin en sachant qu’il reviendra, à une femme qui reste et qui sait qu’elle n’est pas seule, qu’elle ne sera jamais seule, au soleil qui se lève et qui se couche toujours aux mêmes places, à une boîte en fer-blanc qu’on emporte sous son bras comme un trésor, à des bottes de feutre gris, à un géranium qui fleurit, à des choses si simples que personne ne les connaît, ou qu’on les méprise, qu’on va jusqu’à se plaindre quand on les possède.
Hay que aguantar hasta el final, hasta la cama, hasta las planchas contra las que al fin se va a tender, con los ojos cerrados, los oídos zumbándole, escuchando cómo circula la sangre por sus arterias, sintiendo vivir su cuerpo, pensando por fin en otra cosa, en algo que no sean todas aquellas estupideces que le permiten durar, pensando en una ventana, en cuatro paredes, en un cuarto con una cama, un hornillo —no se atreve a añadir la cuna—, en un hombre que se va por la mañana sabiendo que volverá, en una mujer que se queda y que sabe que no está sola, que nunca estará sola, en el sol que sale y que se pone siempre por los mismos lugares, en una tartera de hojalata que se lleva bajo el brazo como un tesoro, en unas botas de fieltro gris, en un geranio que florece, en cosas tan sencillas que nadie llega a conocerlas, o que la gente desdeña, que incluso llega a quejarse de ellas cuando las posee.
Puis il dit brusquement quelque chose que je n’entendis pas (ce fut peut-être un nom, mais je n’en suis pas sûr), parce que le taxi s’était déjà mis en route et, bien que j’eusse passé la tête par la fenêtre pour lui demander ce qu’il avait dit, il était déjà trop tard pour que Miralles m’entendît ou pût me répondre ; je le vis lever sa canne en guise d’adieu, puis, à travers la vitre arrière du taxi, retourner d’un pas lent vers la résidence, dépouillé, à moitié borgne, heureux, avec sa chemise grise et son pantalon râpé et ses pantoufles de feutre, de plus en plus petit sur le fond vert pâle de la façade, sa tête orgueilleuse, son profil sévère, son corps se balançant, volumineux et disproportionné, appuyant ses pas instables sur sa canne, et au moment où il ouvrit la porte du jardin je sentis une espèce de nostalgie anticipée, comme si, au lieu de voir Miralles, j’étais déjà en train de me le rappeler et peut-être est-ce parce que je pensai alors que je ne le reverrais plus, que je me le rappellerais ainsi pour toujours.
Luego, bruscamente, dijo algo, que no entendí (tal vez fue un nombre, pero no estoy seguro), porque el taxi había echado a andar y, aunque saqué la cabeza por la ventanilla y le pregunté qué había dicho, ya era demasiado tarde para que me oyera o pudiera contestarme, le vi levantar el bastón a modo de saludo último y luego, a través del cristal trasero del taxi, caminar de vuelta hacia la residencia, lento, desposeído, medio tuerto y dichoso, con su camisa gris y sus pantalones raídos y sus zapatillas de fieltro, achicándose poco a poco contra el verde pálido de la fachada, la cabeza orgullosa, el perfil duro, el cuerpo balanceante, voluminoso y destartalado, apoyando su paso inestable en el bastón, y cuando abrió la puerta del jardín sentí una especie de nostalgia anticipada, como si, en vez de ver a Miralles, ya le estuviera recordando, quizá porque en aquel momento pensé que no iba a volver a verle, que iba a recordarle así para siempre.
– Tu n’as pas senti ?
—¿No has sentido eso?
— Tu ne l’as pas senti ?
—¿No lo has sentido?
Je l’ai même senti.
Hasta la he sentido.
Elle l’avait senti.
Ella lo había sentido.
Vous avez senti ça ?
¿Es que no lo has sentido?».
Pourquoi ne l'avait-il pas senti ?
¿Por qué no lo había sentido?
Je l’ai également senti.
Yo también lo he sentido.
Il n’avait rien senti.
No había sentido nada.
Parce qu’elle l’avait senti.
Porque lo había sentido.
Vous n’avez rien senti ?
¿No habéis sentido nada?
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