Translation for "s'arroser" to spanish
Translation examples
Elle n’arrose plus : elle agresse.
El agua ya no riega: agrede.
Il les avait arrosées d’eau bouillante.
Les había arrojado cazos de agua caliente.
— Arrose-le, dit Tenar.
–Échale agua -le dijo Tenar.
Elmer les arrose d’eau fraîche.
Elmer los roció de agua.
Je vais vous apporter de l’eau minérale pour l’arroser.
—Le traeré agua mineral para mojarla.
On demande un verre d’eau et on peut les arroser.
Se pide un vaso de agua y se las riega.
Les deux plants manquaient d’eau. Je les avais arrosés.
A las dos plantas les faltaba agua. Las regué.
Et nous, qui avons déjà vu tout cela, nous serons là pour arroser l’arbrisseau.
Y nosotros, los que lo hemos visto todo, somos el agua que debe regarlo.
Je m’en vais donc arroser cette pousse fragile
Voy a regar por tanto la pequeña flor sedienta de agua
Il fallait s’arroser d’eau sans cesse, ou se plonger dans la rivière.
Había que regarse con agua sin descanso o zambullirse en el río.
C’est comme lorsqu’on arrose une plante.
Es como regar una planta.
— Et des cactus à arroser.
– Y hay que regar los cactus -le recuerdo.
Il allait falloir arroser les choux.
Habría que regar las coles.
J'aime arroser mes idées.
Me gusta regar mis ideas.
— J’arrose à ta place, Mamie ?
—¿Puedo regar yo, Mamie?
Irène m’interdit d’arroser.
Irene me prohibió regar.
Toutefois, il accepta d’arroser les dahlias.
Pero prometió regar mis dalias.
Arroser le ficus de la salle à manger
Regar el ficus del comedor.
Il suffit d’arroser avant de balayer.
Bastaba con regar antes de barrer.
Quelques mois plus tard, je me laissais même entraîner dans des fêtes littéraires, abondamment arrosées aux alcools de l’illusoire prospérité des années 80 (comme je ne buvais pas, on me surnomma “l’Aquatique”), des réunions intellectueloïdes où l’on sentait que les gens commençaient à se libérer de certaines entraves de l’orthodoxie mais surtout (parce que pour moi c’était le plus intéressant), où on rencontrait toujours des poétesses éthérées, vêtues de longues robes (hindoues, disaient-elles), opposées à l’usage des soutiens-gorges et mourant d’envie d’oublier la poésie transcendantale et de recevoir ce qu’alors nous appelions, à la façon de Lezama, “l’offrande du mâle” ou simplement, en bon havanais, de “se faire mettre par tous les côtés”.
Unos meses después me dejé arrastrar incluso a unas fiestas literarias, rociadas con los abundantes alcoholes de la ilusoria bonanza de los años ochenta (como yo no bebía, me apodaron «el Acuático»), reuniones intelectualoides donde uno sentía que la gente empezaba a soltarse de ciertas amarras de la ortodoxia pero, sobre todo (porque era lo más interesante para mí), donde siempre se podía encontrar a poetisas etéreas, vestidas— con batones de bambula (decían ellas que hindú), negadas a usar ajustadores y en permanente desesperación por olvidarse de lo poético trascendente y recibir lo que entonces llamábamos, lezamianamente, «ofrenda de varón», o simplemente, en buen habanero, «pinga por los cuatro costados».
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