Translation for "résenter" to spanish
Résenter
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Elle avait récemment pris conscience que sa présence à son chevet au côté de Mrs Bidwell inspirait au jeune homme plus de gêne que d’agrément et pouvait effectivement être ressentie comme une intrusion. Aussi restait-elle désormais au salon, dispensant à la mère accablée le peu de consolation qu’elle pouvait.
Últimamente, se había percatado de que su presencia junto al lecho, en compañía de la señora Bidwell, causaba más vergüenza que alivio al enfermo, y, de hecho, podía interpretarse como una imposición por su parte, por lo que a partir de cierto momento había decidido permanecer en el saloncito, consolando en la medida de sus posibilidades a la desolada madre.
Il l’étreignait avec la même force d’affection qu’il avait ressentie à l’égard de ces trois Anglais bizarres, dont il avait partagé la table, et qui avaient assisté à son enchantement, à ses éclats de rire et à son ébahissement en voyant le jeune garçon en vert lever les bras et s’envoler dans l’obscurité, au-dessus de la scène pour aller enseigner toutes ces merveilles à la fillette d’une famille bien terre à terre.
Sentía por ella la misma intensidad de cariño que por aquellos tres ingleses extraños, a cuya mesa comía, que habían contemplado su placer, sus risas y su entusiasmo, al ver al muchacho vestido de verde alzar los brazos y volar en la obscuridad por encima del escenario y regresar a enseñar semejantes prodigios también a la muchacha de la familia condenada a permanecer en la tierra.
Plus tard il faudra sortir dans le mauvais temps, il faudra aussi prêter attention aux nouvelles alarmantes de la télévision et à l’insistance démente des sirènes, mais pour l’instant le café est un refuge très satisfaisant et on n’y ressent même pas ce qu’il y a d’affligeant à se trouver seul parmi tant de gens, à n’avoir personne qui vous fasse la conversation et vous procure un lien tangible avec la vie réelle de la ville, au-delà de vos rêveries personnelles et de cette cloche de verre sous laquelle un étranger passe tellement de temps enfermé.
Habrá que salir dentro de un rato a la intemperie, y habrá también que permanecer atento a las noticias alarmantes de la televisión y a la porfía demente de las sirenas, pero por ahora el café es un refugio muy satisfactorio, y uno ni siquiera siente la parte de desconsuelo de estar solo entre tanta gente, y de no tener a nadie que le dé conversación y le ofrezca un vínculo tangible con la vida real de la ciudad, más allá de sus ensoñaciones personales y de esa campana de cristal en la que pasa tanto tiempo encerrado un extranjero.
et il garde par-devers lui l’exclusion, le dégoût, la rancœur, la honte et l’auto-révulsion qu’il ressent in petto – il lui semblerait inconcevable d’aller accabler/horrifier sa femme plus qu’elle ne l’est déjà en lui confiant sa croix – et le noir substrat qu’il craint avoir découvert au fond de son âme lui inspire un dégoût et une honte si puissants qu’il est, contrairement à son habitude, absorbé, absent, réservé et peu disponible pour ses proches et amis durant tous les premiers mois de maladie du beau-père et ne s’ouvre à personne des typhons centripètes qui font rage dans son cœur. L’atroce procrastination néoplasique, dégénérative et inopérable du beau-père tire en longueur pendant si longtemps, cependant – soit qu’il s’agisse d’une forme exceptionnellement lente de tumeur au cerveau, soit que le beau-père soit le genre de vieil oiseau coriace qui s’accroche farouchement à la vie aussi longtemps que possible, un de ces cas pour lesquels, pense X in petto, l’euthanasie a sans doute été inventée, n’est-ce pas, pour un patient de ce genre, qui ne cesse d’atermoyer et de dégénérer et de souffrir horriblement mais refuse de se soumettre à l’inévitable et de le rendre, maintenant, son putain de dernier soupir et ne se soucie guère de la souffrance coïncidente que son épouvantable procrastination dégénérative inflige à tous ceux qui, pour Dieu sait quelle impénétrable raison, l’aiment, ou les deux –, et le conflit secret et la honte corrosive de X le minent au point que, maussade au travail et catatonique à la maison, il finit par ravaler sa fierté et revenir la queue entre les jambes voir Y, son fidèle ami et collègue, pour lui exposer toute l’affaire, ab initio ad mala, lui confesser sa (celle de X) froideur et l’égoïsme de ses sentiments les plus intimes au moment de la crise qui ébranle sa famille et lui décrire par le menu la honte principielle venue se greffer à l’antipathie qu’il surprend au chevet en alliage d’acier à 6 500 dollars, complètement articulé, du beau-père devenu grotesquement décharné et incontinent, debout derrière la chaise de sa femme, et la langue du vieux monsieur qui pend et son visage qui se tord en d’horribles spasmes cloniques, l’écume jaunâtre qui s’accumule continûment aux commissures des (celles du beau-père) lèvres convulsées, la bouche qui se déforme chaque fois qu’il essaie de parler et la(15) tête, devenue obscènement grosse, déjetée et asymétrique qui glisse sur l’oreiller… et le regard du vieux monsieur derrière les triple foyer en acier, terni mais encore cruellement ferrugineux, fait à peine escale sur le visage tourmenté de Mrs. X avant de tomber sur l’expression de sympathie et de soutien toute chaleureuse et pincée que X compose à grand-peine dans la voiture et tient bravement lors de ces visites insoutenables, et de rouler incontinent dans la direction opposée (le regard du beau-père roule), périple qui s’achève toujours sur une exhalation heurtée, de dégoût, comme s’il lisait à livre ouvert dans l’expression mensongère et hypocrite de X, en discernait l’antipathie et l’égoïsme et contestait encore une fois la décision de sa fille de ne pas quitter l’expert-comptable insignifiant et dépravé qui lui sert de mari ;
Sin embargo, el angustioso proceso neoplástico degenerativo no operable del suegro avanza y avanza durante tanto tiempo —ya sea porque se trata de una forma inusualmente lenta de cáncer cerebral o porque el suegro es de esa clase de viejos duros, mezquinos y recalcitrantes que se aferran con desesperación a la vida tanto tiempo como les sea posible, uno de esos casos para los cuales X cree íntimamente que se pensó en un comienzo la eutanasia, a saber, un caso en que el paciente no para de degenerar, deteriorarse y sufrir horriblemente pero se niega a rendirse a lo inevitable y a dejar que su puñetero fantasma salga volando y no parece pensar en absoluto en el sufrimiento paralelo que su repugnante pertinacia degenerativa causa a quienes, por las razones incomprensibles que sea, le quieren, o bien por ambas cosas a la vez—, y el conflicto secreto y la vergüenza corrosiva de X finalmente lo dejan tan completamente agotado y le hacen sentirse tan triste en el trabajo y tan catatónico en casa que, por fin, se traga su orgullo, acude con el sombrero en la mano a su colega y amigo de confianza Y y le cuenta toda la situación ab initio ad mala, confiándole a Y todo el egoísmo y la frialdad de sus sentimientos más profundos (es decir, los de X) durante su crisis familiar y describiendo con detalle su vergüenza íntima por la antipatía que siente cuando permanece de pie detrás de la silla de su mujer junto a la cabecera completamente ajustable de aleación de acero de seis mil quinientos dólares de su suegro ahora grotescamente consumido e incontinente y al viejo se le traba la lengua y su cara se contorsiona en una serie de horripilantes espasmos clónicos y una espuma amarillenta se le acumula sin parar en las comisuras de la boca convulsa (al suegro) cuando intenta hablar y su cabeza ahora obscenamente abultada y llena de protuberancias asimétricas[1] gira sobre la funda de almohada italiana con urdimbre de trescientos hilos, y la mirada vidriosa pero todavía cruelmente férrea del viejo tras sus trifocales con montura de acero se desplaza de la cara angustiada de la señora X hasta la tensa y calurosa expresión de apoyo y compasión que X siempre pugna por formar cuando está en el coche y adopta durante esas visitas atroces y luego sus ojos —los ojos del suegro— giran en direcciones opuestas siempre acompañados de una exhalación entrecortada de disgusto, como si percibiera la hipocresía y la falsedad de la expresión de X y discerniera la antipatía y el egoísmo que hay detrás de ella y cuestionara de nuevo la decisión de su hija de permanecer unida a aquel jurado de cuentas insignificante y depravado;
quedarse
Quand on est mis à la porte, qu’est-ce qu’on ressent pour ceux qui ont eu le droit de rester ?
Si te hubieran echado de tu casa, ¿cómo te sentirías respecto a los que se les había permitido quedarse?
La vive émotion ressentie pendant la cérémonie lui serrait la gorge, le besoin de solitude se faisait fortement sentir. C'était devenu une nécessité absolue. — Venez, murmura Trygve, alors qu'ils descendaient les marches de l'église. Je vous dépose chez vous.
Solo ansiaba quedarse sola, aislarse, recuperarse de la tremenda conmoción que había supuesto el oficio fúnebre. Consultó a Trygve con la mirada y descubrió que había llorado tanto como ella.
Il l’étouffa bien vite en se reprochant de l’avoir ressentie, mais la tâche fut difficile : il était toujours malaisé pour un officier de prendre la relève d’un subalterne et de le voir rester sous ses ordres, et Parks n’appréciait pas de se trouver dans une telle position.
Le había costado desde el principio, y aunque se reprendía por culparse de ello, había sido muy duro. Siempre había una cierta reticencia cuando un oficial tomaba el lugar de quien había sido su subalterno, y Parks seguía resentido por quedarse en su puesto.
Mais cette peur qu’il avait de rester bloqué, de-ne-plus-pouvoir-continuer, oui, d’être contraint de s’interrompre pour toujours, ne l’avait-il pas ressentie tout au long de sa vie et pour bien d’autres choses : aimer, apprendre, participer – enfin pour tout ce qui exigeait de s’en tenir à ce qu’on faisait ?
Pero ese temor a quedarse parado, a no poder seguir, incluso a tener que cortar para siempre, ¿no había estado presente toda su vida a la hora de escribir y en todas sus empresas: en el amor, en el estudio, en cualquier participación, es decir, en todo aquello que requería perseverancia?
João Mau-Tempo répond non, et s’il est si peu loquace c’est parce qu’il ne sait pas expliquer ce qu’il ressent, Alors, tu ne t’es pas amusé, Pas un seul instant, et la plus grande confidence et confession sera le geste de João Mau-Tempo posant la tête sur l’épaule de Faustina et s’endormant ainsi.
Responde Juan Maltiempo que no, y si dice tan poco es por no saber decir lo que siente. Acostados ya, siguen hablando todavía, Entonces no te divertiste, Ni tanto así, y el mayor desahogo y confesión será posar Juan Maltiempo la cabeza en el hombro de Faustina, y quedarse así dormido.
estadía
Que j’accepte de rentrer dans le jeu tramé par mister Rábit, je ne pouvais l’attribuer qu’à la culpabilité ou à la honte ressenties après l’incident avec le petit acteur de merde, mais que quelques heures plus tard Eva tombe aussi facilement dans le même piège pouvait signifier quelque chose de plus dangereux – pour moi, bien entendu, mister Rábit n’en ayant au fond rien à faire de mon drame conjugal – quelque chose de l’illusion que grâce à ce week-end, il pourrait y avoir une réconciliation entre nous, une illusion que je me suis proposé de démentir à l’instant même où elle m’a paru évidente, quand Eva exprimait son enthousiasme face à la proposition que je lui avais vendue comme étant de ma propre initiative et pas de celui qui l’avait conçue, et je lui ai précisé clairement que l’objectif du week-end était de faire en sorte qu’Evita conserve un bon souvenir de notre vie de famille, et aussi de son père, répétant les mots de mon ami, et que pour cette même raison nous devions éviter durant notre séjour à Tlayacapan toute discussion stérile ou conversation qui plomberait l’atmosphère.
Que yo cayera en la trama tejida por míster Rábit sólo puedo achacárselo a la culpa o al bochorno que padecí luego del incidente con el actorzuelo de marras, pero que horas más tarde Eva cayera en la misma trama con tanta facilidad podía significar algo más peligroso —para mí, por supuesto, que a míster Rábit mi drama conyugal le era en verdad indiferente—, algo cercano a la ilusión de que gracias al viaje del fin de semana pudiera haber una reconciliación entre nosotros, una ilusión que yo me propuse atajar desde el mismo momento en que se me hizo evidente, cuando Eva expresaba su entusiasmo ante la propuesta que yo le vendí como surgida de mi propia iniciativa y no de quien la había concebido, por lo que le aclaré sin ambages que el objetivo del viaje era lograr que Evita conservara un último buen recuerdo de nuestra vida en familia, y también de su padre, repitiendo las palabras de mi amigo, y que por lo mismo durante la estadía en Tlayacapan debíamos evitar toda discusión estéril o conversación que enrareciera el ambiente.
Donc, donc… Bref… je suis fatigué… Tout à coup je me sens fatigué, je me sentais si pimpant… ce doit être cette affaire de liberté et d’égalité… citoyen écrivain, me semble-t-il entendre dire, voici les comparaisons quotidiennes sur l’égalité fournies à tous les auditeurs dans notre libre émission matinale grâce aux données de l’institut national de mesure de la liberté, l’indice boursier de l’égalité est aujourd’hui en forte baisse, due au fait qu’un pays un peu plus au sud que le nôtre, peuplé de gens pauvres et méchants, a besoin d’une leçon de liberté, et toute la bourse s’est donc déplacée vers le sud… chers auditeurs, nous vous informons que notre libre bourse a ouvert une agence dans le stade de football de la capitale de ce pays, avec un taux d’intérêt élevé, c’est une méthode conçue par nos nouveaux économistes, qui reprend l’antique méthode dite du producteur au consommateur, chaque indice de bourse est attaché à un testicule de ces méchants clients, et chaque fois que se vérifie une tendance à la hausse de la bourse locale, une bonne décharge électrique part, que le consommateur de ce pays ressent sans équivoque possible… c’est une méthode personnalisée… pour les clients de sexe féminin l’indice de la bourse agit sur le terminal des ovaires ou sur le fœtus, au cas où ces dames seraient enceintes… Vois-tu, l’écrivain, l’indice de la liberté, qui est capillaire, parvient aux clients du monde entier, notre patrie est le monde entier, notre loi est la liberté, et une pensée solennelle est dans notre cœur, comme dit la chanson anarchiste… Va te reposer, je t’ai retenu jusqu’à une heure tardive.
Y entonces, y entonces… En resumen… que estoy cansado… De repente me siento cansado, me sentía tan pimpante… debe de ser esa historia de la libertad y de la igualdad… ciudadano escritor, me parece oír decir, he aquí nuestra información cotidiana sobre la igualdad, facilitada a todos los oyentes de nuestro libre programa matutino con los datos del instituto nacional de medición de la libertad, el índice de la bolsa de la igualdad cotiza hoy muy a la baja, debido al hecho de que a un país algo más al sur que el nuestro, poblado por gente pobre y malvada, le hace falta un lección de libertad, y toda la bolsa se ha desplazado hacia el sur… queridos oyentes, les informamos de que nuestra libre bolsa ha abierto una agencia en el estadio de fútbol de la capital de aquel país con un elevado tipo de interés, es un método concebido por nuestros nuevos economistas, que retoma el antiguo método llamado del productor al consumidor, cualquier índice de bolsa está unido a un testículo de esos malos clientes, y cada vez que se verifica una intentona de elevación de la bolsa local parte una buena descarga eléctrica que el consumidor de ese país advierte inequívocamente… es un método personalizado… para los clientes de sexo femenino, el índice de la bolsa actúa en el terminal de los ovarios o en el feto, en el caso de que las señoras estuvieran embarazadas… Escritor, el índice de la libertad, que es muy vasto, llega a los clientes del mundo entero, nuestra patria es el mundo entero, nuestra ley es la libertad, y un pensamiento solemne en nuestro corazón está… Vete a descansar, se ha hecho tarde por mi culpa.
La pièce ne dégage aucune odeur. On ressent la légère brûlure de la glace dans la gorge.
La estancia carece de aroma alguno, salvo el que proviene del ligero quemazón del hielo en la garganta.
Le jour, s’il arrive jamais, où ils cesseront de le suivre, il ressentira ce que ressent une grande hétaïre lorsque ses amants délaissent sa porte et elle cache son miroir.
Si algún día dejaran de seguirle, le sucedería lo mismo que a las grandes hetairas cuando sus amantes salen de la estancia y ellas retiran los espejos;
À la hantise ressentie en jetant un œil dans le salon du barbier répondait l’espoir lié à la vision de la petite vitrine qu’à l’approche de la Noël l’épicière, Mme Unsinn, venait de décorer en échafaudant une pyramide avec des cubes de Sanella, un prodige que j’allais admirer presque chaque jour car il m’annonçait l’avènement d’une nouvelle ère dont cette fois W. ne serait pas exclu.
El pavor que sentía cuando echaba una ojeada al interior de la estancia del barbero era proporcional a la esperanza que experimentaba a la vista del pequeño escaparate de la tienda en la que, justo por aquel entonces, la señora Unsinn había construido una pirámide de cubos dorados de Sanella, una especie de milagro prenavideño que yo admiraba casi todos los días en el camino de vuelta a casa, como un signo de que también en W. se estaba inaugurando una nueva época.
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