Translation for "russifiés" to spanish

Russifiés

• rusificado

Translation examples

rusificado

« Et toi, tu ne sais pas danser. » Je dansai donc avec Zoya — le swing exploratoire russifié.
«Y tú no sabes bailar.» De modo que fui yo quien bailó con Zoya —un jive exploratorio y rusificado—.

Comme il s’y attendait, le russe fut la seule langue qu’il entendit dans les rues de Kiev, capitale de l’Ukraine, mais russifiée à outrance.
Como había esperado, sólo oyó hablar en ruso en las calles de la rusificada ciudad de Kiev.

Leur présence à tous trois était un os donné à ronger aux minorités, mais en fait il leur avait fallu en payer le prix : chacun d’eux, Roudine le savait, était complètement russifié.
Su presencia era una concesión a las minorías, pero, en realidad, cada uno de ellos había pagado por estar allí. Rudin sabía que todos estaban completamente rusificados;

– Et quand je serai mort, il ne m’importe même pas d’être enterré à Sainte-Geneviève où les cadavres ont russifié la terre Mon corps, nourri de France, ira nourrir la France.
—Y cuando esté muerto, ni siquiera me importa ser enterrado en Sainte-Geneviéve, donde los cadáveres han rusificado la tierra. Mi cuerpo, nutrido de Francia, nutrirá después a Francia.

Maintenant qu’il savait qu’il ne « rentrerait » jamais, il lui restait un seul désir : être inhumé dans le cimetière de Sainte-Geneviève-des-Bois où pourrissent tant de cadavres russes qu’ils en ont russifié la terre.
Ahora que sabía que no «volvería» jamás, le quedaba un único deseo: ser inhumado en el cementerio de Santa Genevieve-des-Bois, donde se pudrían tantos cadáveres rusos que éstos habían rusificado la tierra.

Konstantin Ivanitch Chateau, subtil et séduisant lettré de pure lignée russe en dépit de son nom (provenant, me dit-on, d’un Français russifié qui avait adopté Ivan), enseignait dans une grande université de New York et il n’avait pas vu son très cher Pnine depuis au moins cinq ans.
Konstantin Ivanich Chateau, estudioso, sutil y encantador, de pura estirpe rusa a pesar de su apellido (derivado, según se me ha dicho, del francés rusificado que adoptó al huérfano Iván), enseñaba en una gran Universidad de Nueva York y no había visto a su amado Pnin hacía por lo menos cinco años.