Translation for "repartirez" to spanish
Repartirez
Translation examples
— Vous ne repartirez plus jamais de Buenos Aires, même si vous partez.
—Usted nunca se irá de Buenos Aires, aunque se vaya.
Si vous n’avez pas tué Chabut, vous repartirez aussi libre que vous serez entré.
Si no ha matado a Chabut, se irá usted tan libre como al entrar.
— Attendez ! (Émory m’empoigna le bras.) Vous ne repartirez pas avant de m’avoir dit de quoi il s’agit. J’aurais pu m’arracher à l’étreinte, mais alors, il aurait pu donner l’ordre qu’on me ramène en me tirant par les pieds et le spectacle aurait amusé pas mal de gens.
—Emory me tomó por el brazo—. No se irá de aquí hasta que me diga de qué se trata. Yo podría haberme librado de la mano de Emory, pero entonces me hubieran llevado adentro arrastrándome por los tobillos, y a nadie le gusta que lo arrastren.
La femme ouvrit les yeux et demanda, Mes secrets vous plaisent-ils, De vos secrets seul m’intéresse ce qui concerne la personne que je recherche, je n’ai reçu d’autorisation pour rien de plus, Alors, vous ne voulez pas savoir ce qui est arrivé après, Officiellement, non, Mais officieusement peut-être, Je n’ai pas l’habitude de fourrer mon nez dans la vie d’autrui, dit monsieur José, oubliant les cent quarante et quelques vies qu’il avait dans son armoire, puis il ajouta, Mais sûrement rien de très extraordinaire ne sera arrivé, puisque vous m’avez dit que vous êtes veuve, Vous avez une bonne mémoire, C’est une condition indispensable si on veut être fonctionnaire au Conservatoire général de l’État civil, mon chef, par exemple, juste pour vous donner une idée, madame, connaît par cœur tous les prénoms et tous les noms, Et ça sert à quoi, tout ça, Le cerveau d’un conservateur est comme un duplicata du Conservatoire, Je ne comprends pas, Étant capable, comme c’est le cas, de concevoir toutes les combinaisons possibles de prénoms et de noms, non seulement le cerveau de mon chef connaît les noms de toutes les personnes qui sont en vie et de toutes celles qui sont mortes, mais encore il pourrait vous dire comment s’appelleront toutes celles qui vivront d’ici à la fin du monde, Vous en savez plus que votre chef, Absolument pas, comparé à lui je suis d’une insignifiance totale, c’est bien pour ça qu’il est le conservateur et moi un simple préposé aux écritures, Vous connaissez tous les deux mon nom, Vous avez raison, la seule différence c’est que lui le connaissait avant alors que moi je ne le connais que depuis qu’il m’a confié cette mission, Et vous l’avez devancé d’un bond, vous êtes ici chez moi, vous pouvez voir mon visage, vous m’avez entendue vous dire que j’ai trompé mon mari et pendant toutes ces années vous êtes le seul à qui je l’ai dit, que vous faut-il donc de plus pour être convaincu qu’à côté de vous, votre chef n’est qu’un ignorant, Ne dites pas ça, ce n’est pas convenable, Avez-vous une autre question à me poser, Laquelle, Par exemple, si j’ai été heureuse en mariage après ce qui est arrivé, C’est une question étrangère à mon dossier, Rien ne lui est étranger, de même que tous les noms sont dans la tête de votre chef, de même le dossier d’une personne est le dossier de toutes. Vous êtes bien savante, madame, C’est naturel, j’ai beaucoup vécu, J’ai déjà cinquante ans et à côté de vous je ne sais rien, Vous n’imaginez pas tout ce qu’on apprend entre cinquante et soixante-dix ans, Est-ce votre âge. Je suis un peu plus âgée, Avez-vous été heureuse après ce qui est arrivé, Finalement, ça vous intéresse tout de même, C’est parce que je connais mal la vie des gens, Comme votre chef, comme votre Conservatoire, J’imagine que oui, J’ai été pardonnée, si c’est ça que vous voulez savoir, Pardonnée, Oui, ça arrive souvent, pardonnez-vous les uns les autres, a-t-on l’habitude de dire, La phrase connue n’est pas celle-ci, c’est aimez-vous les uns les autres, Cela revient au même, on pardonne parce qu’on aime, on aime parce qu’on pardonne, vous êtes un enfant, monsieur, vous avez encore beaucoup à apprendre, C’est ce que je constate, Êtes-vous marié, Non, Et vous n’avez jamais vécu avec une femme, Vivre, ce qui s’appelle vivre, pas vraiment, Vous avez juste eu des liaisons passagères, éphémères, Même pas, je vis seul, quand le besoin me presse, je fais ce que font tous les hommes, je me mets en chasse et je paie, Avez-vous remarqué que vous répondez aux questions, Oui, mais maintenant ça ne me gêne plus, peut-être est-ce en répondant qu’on apprend, Je vais vous expliquer une chose, Dites, Je vous demanderai d’abord si vous savez combien il y a de personnes dans un mariage, Deux, l’homme et la femme, Non, monsieur, dans un mariage il y a trois personnes, il y a la femme, il y a l’homme et il y a ce que j’appellerai la tierce personne, la plus importante, celle qui est constituée par l’homme et par la femme ensemble, Je n’avais jamais réfléchi à cela, Si l’un des deux commet un adultère, par exemple, le plus offensé, celui qui reçoit le coup le plus rude, pour incroyable que cela paraisse, ce n’est pas l’autre, mais cet autre autre qui est le couple et qui n’est pas un mais deux, Peut-on vraiment vivre avec ce un formé de deux, moi j’ai déjà bien du mal à vivre avec moi-même, D’habitude, dans le mariage, l’homme ou la femme, ou tous les deux, chacun de son côté, s’ingénient à détruire cette tierce personne qu’ils constituent, laquelle résiste et s’efforce de survivre à tout prix, C’est une arithmétique trop compliquée pour moi, Mariez-vous, dénichez-vous une femme et vous me raconterez ensuite, Allons, allons, je n’ai plus l’âge, Il ne faut jurer de rien, Dieu sait ce que vous découvrirez à la fin de votre mission, comme vous l’avez appelée, Les doutes que j’ai reçu l’ordre d’élucider sont les doutes du Conservatoire général, pas les miens, Et quels sont ces doutes, s’il n’est pas indiscret de le demander, Ils sont sous le sceau du secret, je ne peux pas vous répondre, Ce sceau ne vous servira pas à grand-chose, monsieur José, vous repartirez bientôt d’ici Gros-Jean comme devant, sans rien savoir, C’est vrai, et monsieur José hocha la tête d’un air découragé. La femme le regarda comme si elle l’étudiait, puis elle demanda.
La mujer abrió los ojos y preguntó, Le gustan mis secretos, Sólo me interesa de ellos lo que tenga que ver con la persona que ando buscando, además no estoy autorizado para otra cosa, Entonces no quiere saber lo que pasó después, Oficialmente, no, Pero, particularmente, tal vez, No es mi estilo espiar las vidas ajenas, dijo don José, olvidándose de las ciento cuarenta y tantas que guardaba en el armario, después añadió, Pero no le ocurriría nada muy extraordinario, puesto que me ha dicho que es viuda, Tiene buena memoria, Es una condición fundamental para ser funcionario de la Conservaduría General del Registro Civil, mi jefe, por ejemplo, y esto es sólo para que se haga una idea, se sabe de corrido todos los nombres que existen y existirán, todos los nombres y todos los apellidos, Y eso para qué sirve, El cerebro de un conservador es como un duplicado de la Conservaduría, No lo entiendo, Siendo, como es, capaz de realizar todas las combinaciones posibles de nombres y apellidos, el cerebro de mi jefe no sólo conoce los nombres de todas las personas que viven y de todas las que murieron, sino que también podría decirle cómo se llamarán todas las que van a nacer de aquí hasta el fin del mundo, Usted sabe más que su jefe, Ni pensarlo, comparado con él yo no valgo nada, por eso el conservador es él y yo no paso de un mero escribiente, Ambos saben mi nombre, Es cierto, Pero él no sabe de mí más que el nombre, En eso tiene razón, la diferencia estriba en que él ya lo conocía, mientras que yo lo he conocido al recibir esta misión, Y de un salto se ha puesto delante, está aquí, en mi casa, puede verme la cara, oírme decir que engañé a mi marido y es, en todos estos años, la única persona a quien se lo he contado, qué más es necesario para que se convenza de que junto a usted, su jefe no pasa de ser un ignorante, No diga eso, no es conveniente, Tiene alguna pregunta más, Qué pregunta, Por ejemplo si fui feliz en mi matrimonio después de lo que sucedió, Es un asunto ajeno al expediente, Nada es ajeno, así como todos los nombres están en la cabeza de su jefe, así el expediente de una persona es el expediente de todas, Usted sabe mucho, Es natural, he vivido mucho, Cincuenta años tengo yo, y ante usted no sé nada, No imagina lo que se aprende entre los cincuenta y los setenta años, Ésa es su edad, Un poco más, Fue feliz después de lo que ocurrió, O sea, que le interesa, Es que sé poco de la vida de las personas, Tal como su jefe, tal como su Conservaduría, Supongo que sí, Fui perdonada, si eso es lo que quiere saber, Perdonada, Sí, ocurre muchas veces, perdonaos los unos a los otros, como suele decirse, La frase conocida no es así, es amaos los unos a los otros, Da lo mismo, se perdona porque se ama, se ama porque se perdona, usted es un chiquillo, todavía tiene mucho que aprender, Veo que sí, Está casado, No, Nunca ha vivido con una mujer, Vivir, lo que se dice vivir, no he vivido, Sólo relaciones pasajeras, temporales, Ni eso, vivo solo, cuando la necesidad aprieta, hago lo que todos hacen, busco y pago, Se ha dado cuenta que está respondiendo preguntas, Sí, pero ahora no importa, a lo mejor es así como se aprende, respondiendo, Voy a explicarle una cosa, Dígame, Comenzaré preguntándole si sabe cuántas personas forman un matrimonio, Dos, el hombre y la mujer, No señor, en el matrimonio existen tres personas, está la mujer, está el hombre y está lo que llamo tercera persona, la más importante, la persona que está constituida por el hombre y la mujer juntos, Nunca había pensado en eso, Si uno de los dos comete adulterio, por ejemplo, el más ofendido, el que recibe el golpe más profundo, por muy increíble que esto parezca, no es el otro, sino ese otro que es la pareja, no es el uno, es la unión de los dos, Y se puede vivir realmente con ese uno hecho de dos, a mí ya me cuesta trabajo vivir conmigo mismo, Lo más común en el matrimonio es que se vea al hombre o a la mujer, o a ambos, cada uno por su lado queriendo destruir a ese tercero que ellos son, ese que resiste, ese que quiere sobrevivir sea como sea, Es una aritmética demasiado complicada para mí, Cásese, encuentre una mujer y después ya me dirá, A mí ya se me ha acabado el tiempo, Será mejor que no apueste, quién sabe lo que encontrará cuando llegue al fin de su misión o como le llame, Las dudas que me mandaron esclarecer son dudas de la Conservaduría General, no son las mías, Y qué dudas son ésas, si no es demasiado preguntar, Estoy bajo secreto oficial, no puedo responder, El secreto le aprovecha bien poco, don José, pronto tendrá que irse y se irá sabiendo lo mismo que cuando entró, nada, Eso es cierto, y don José movió la cabeza desalentado.
dejará
— Parce que franchement, quand vous aurez écouté ce que j’ai à dire sur vos élucubrations de complot chez Seaboard, vous repartirez vieillie, malade et affaiblie. » 15
—Porque lo que tengo que decirte a propósito de tu artículo sobre el presunto encubrimiento de la Seaboard, francamente, te va a dejar vieja, débil y enferma. 15
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