Translation for "repartaient" to spanish
Repartaient
Translation examples
se estaban yendo
Ils étaient sans cesse en mouvement – ils venaient, repartaient, se pressaient.
Siempre estaban atareados, yendo, viniendo, corriendo.
Encore une crise ministérielle, une parmi tant d’autres, les mêmes hommes politiques qui arrivaient et repartaient, approximativement les mêmes noms, et moi je n’avais ni le temps ni l’envie de lire les journaux, ni de prêter attention aux discours.
Otra crisis de gobierno, una de tantas, los mismos políticos yendo y viniendo, aproximadamente los mismos nombres, y yo no tenía tiempo ni ganas para leer los periódicos o para prestar atención a los discursos.
Il y avait eu des vents diurnes, des vents nocturnes, des vents du petit jour, des vents du crépuscule, des vents porteurs de neige ou de chaleur, printaniers ou vents d’automne, des vents légers et folâtres, des vents dangereux et destructeurs, des milliards de vents avaient arpenté les douze degrés de l’échelle de Beaufort, quelqu’un aurait même pu prendre la peine de les énumérer et de les classifier, car il y avait des vents dominants, des vents soufflant en rafales, des vents turbulents, des vents de gradient, des vents géostrophiques, des cyclones, des anticyclones, et ainsi de suite, il en avait été ainsi tout au long des mille dernières années, les vents étaient allés et venus sur les douze degrés de l’échelle de Beaufort, se poursuivant, se chassant, se poussant mutuellement, les alizés, les contre-alizés, les vents de terre et les vents d’altitude, le jet-stream, tout là-haut, à une hauteur inaccessible, et en bas, le tant espéré ou tant redouté vent marin, certains vents suivaient les cours des rivières, d’autres parcouraient les continents, d’autres encore les cavernes ou les jardins d’automne, il y avait partout un nombre inimaginable de types, de directions et de forces de vents, mais, en réalité, la seule chose qui arrivait à ces vents – impossibles à dénombrer et à énumérer – est qu’ils étaient présents, même par calme plat, sans l’être vraiment, car lorsqu’ils venaient il ne se passait rien, et lorsqu’ils repartaient il ne restait aucune trace de leur passage, même par calme plat, invisibles à leur arrivée et tout aussi invisibles à leur départ, ils n’avaient jamais osé rompre avec cette fatale invisibilité, ils étaient là sans y être, il était possible de remarquer leur présence, et même de les localiser, ici dans le frémissement des feuilles d’un arbre, dans les contorsions d’une frondaison, dans un tourbillon de poussière, dans le claquement d’une fenêtre, dans la course folle des détritus dans les rues, on pouvait les entendre murmurer, gémir, pleurer, siffler, hurler, rugir, puis se taire et se muer en brise, un visage pouvait sentir leur caresse, ou bien la plume d’un chardonneret frémissant sur une branche, on pouvait donc remarquer, entendre, sentir qu’ils étaient là, alors qu’ils ne l’étaient pas, car si les mouvements, les sons, les odeurs signalaient leur présence, les désigner et dire : les voilà, ils sont là, était impossible, car leur existence s’était toujours écoulée sur un mode exclusivement indirect, fantomatique, réels mais inaccessibles, présents mais insaisissables, ils incarnaient l’existence mais en étaient exclus, étaient si proches de l’existence qu’ils se confondaient avec elle, oui mais l’existence n’est jamais visible, c’est pourquoi ils étaient là sans y être, et qu’il ne restait rien d’eux sinon l’attente de leur venue, la crainte de leur arrivée, le souvenir de leur passage, mais le plus douloureux – le petit-fils du prince Genji leva les yeux vers le ciel – était que celui qui passait une fois ne revenait jamais plus. XI
Vientos diurnos y vientos nocturnos, vientos matutinos y vientos vespertinos, los que traían la nieve y los que traían el calor, los que llegaban con la primavera y los que llegaban con el otoño, los suaves y juguetones y los peligrosos y devastadores, miles y miles de millones repartidos en las doce provincias de la escala de Beaufort, y hasta podría haberse puesto uno a enumerarlos y sistematizarlos, pues había vientos dominantes y había ráfagas que se levantaban de repente, había vientos turbulentos y vientos moderados, había geostróficos y ciclónicos y anticiclónicos, y así transcurrieron en estos últimos mil años, yendo y viniendo por las doce provincias de Beaufort, siguiéndose y persiguiéndose los unos a los otros, pues venían los alisios y los contralisios, venían los próximos al suelo y los de las alturas, venían las corrientes en chorro allá a distancias inalcanzables, mientras abajo soplaban los vientos marinos temidos o esperados, y vientos había también en tierra firme y en las cavernas, en los cauces de los ríos y en los jardines otoñales, por doquier en las más diversas variedades y direcciones y magnitudes, pero lo cierto es que, aun siendo innumerables e inclasificables, lo único que ocurría es que siempre estaban, incluso en los momentos de calma, y no estaban, pues cuando venían no venía nada y cuando se iban no quedaba nada, ni siquiera en plena calma chicha: invisibles a su llegada e invisibles a su marcha, nunca podían escapar a la definitiva invisibilidad, existían y no existían, se podía saber que estaban y dónde estaban, se veía cómo hacían temblar las hojas de los árboles, se veía cómo remolineaban un montón de hojas en una tormenta, se los percibía en el polvo que se levantaba y se arremolinaba, en la ventana que se cerraba de golpe, en la basura que empezaba a volar en la calle, se los oía susurrar y aullar y llorar y silbar y bramar y rugir y callar y convertirse en brisa, los notaba hasta la cara que sentía sus caricias y las plumas del jilguero que tiritaba en una rama, en una palabra, se veían en este mundo y se oían y se percibía su existencia y, sin embargo, no existían, pues todo apuntaba a ellos, los movimientos y los sonidos y los olores, pero no se podía mostrar que estaban, que eso de allí eran ellos, ya que su existencia siempre trascurría en el ámbito espectral de la mediación más profunda, ya que eran evidentes pero inalcanzables, ya que eran presentes pero inasibles, ya que, excluidos de la existencia, eran la existencia misma o, dicho de otro modo, coincidían con la existencia hasta el punto de identificarse con ella, y la existencia no se ve jamás, de modo y manera que estaban cuando no estaban y sólo dejaban el deseo de que volvieran o el temor de que llegaran, así como el recuerdo de que habían pasado, pero lo más doloroso —el nieto del príncipe Genji alzó entonces la vista al cielo—, lo más doloroso era que el que una vez había estado nunca más regresaría. XI
Où hommes et femmes passaient leurs vies à lutter pour réussir à vivre de cette terre, ou de la mer, exploités pendant les périodes de crise par les entreprises qui s’installaient puis repartaient quand les subventions étaient épuisées, laissant derrière elles les témoignages délabrés et rouillés de leur échec.
Donde hombres y mujeres tenían dificultades para vivir de la tierra, o del mar, y en época de desempleo se pasaban a las industrias que llegaban y se marchaban de nuevo cuando se terminaban las subvenciones, dejando tras de sí los desechos oxidados del fracaso.
Crawford ouvrit la bouche pour lui rappeler qu’il s’appelait Bexhill-sur-Mer, mais comme un début de bonne humeur revenait, il ne voulut pas paraître collet monté. — Quelque chose dans le genre, dit-il d’une voix brève tandis qu’ils emballaient les restes de leur repas et repartaient vers leur voiture où les attendait le conducteur. À présent, les routes n’étaient plus encaissées et ils apercevaient la mer, sur leur gauche. Derrière les jetées de pierre de Brighton et de Hove, des barques se balançaient, leurs voiles de nacre ponctuant l’eau bleue. Même lorsqu’ils tournèrent pour prendre la route de Lewes à l’intérieur des terres, la vue resta dégagée ;
Crawford abrió la boca para recordarle que se llamaba Bexhill-on-Sea, pero los tres habían logrado recuperar algo parecido a su jovialidad habitual y pensó que sería mejor contenerse para no aguar la fiesta. –Sí, algo así -dijo secamente. Envolvieron las sobras de los pasteles y volvieron al lugar donde estaban esperándoles el carruaje y el cochero. Los caminos ya ofrecían panorámicas más amplias, y el mar se hizo visible casi en todo momento a su izquierda mientras el carruaje se mecía sobre sus ejes dejando atrás los muelles de piedra de Brighton y Hove -Boyd hizo algunos comentarios despectivos sobre las pequeñas embarcaciones cuyas velas color marfil puntuaban el azul de las aguas-, e incluso cuando se desviaron a la izquierda para seguir el camino de Lewes que cruzaba las South Downs tierra adentro, los campos verdes siguieron extendiéndose a cada lado del camino hasta confundirse con las colinas, y los muretes que separaban los campos de las granjas eran de poca altura.
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