Translation for "réprouvé" to spanish
Translation examples
Allez-vous faire encore de ces misérables des réprouvés ?
¿O también vais a hacer de ellos unos réprobos?
Peut-être en enfer les réprouvés ne sont-ils pas toujours heureux.
Acaso en el infierno los réprobos no son siempre felices.
- Crois-tu qu'il nous aimerait ainsi tous les deux si nous étions des réprouvés ?
—¿Crees que nos amaría tanto a los dos si fuésemos unos réprobos?
Non pas subalternes ni même réprouvés : superflus. Et par là nocifs.
No inferiores ni réprobos: superfluos. Y por ello nocivos.
Il n’avait point créé cet être charmant, pour en faire un réprouvé.
No habría creado un ser tan admirable para hacer de él un réprobo.
Listes de malchanceux devenue bien vite celle de réprouvés.
La lista de los desafortunados se convierte rápidamente en una lista de réprobos.
Dans ce milieu de réprouvés le jugement d'autrui ne saurait compter.
En aquel medio de réprobos, el juicio de los demás no podía contar.
— Je ne considère pas un nestorien réprouvé comme une autorité en matière de foi chrétienne.
- No acepto a un réprobo nestoriano como autoridad en comportamiento cristiano.
« Oh, tu ne devrais pas me tenter, s'écrie-t-elle en minaudant, espèce de réprouvé !
—¡Oh! No debería tentarme —dice con picardía—, ¡es usted un réprobo!
Elle reçut cette raillerie avec un regard de dédain mêlé de colère. – Réprouvé!
Diana escuchó esta picardía con una mirada de desdén, mezclada de ira. —¡Réprobo!
Quand Norah et sa sœur rentrèrent au bout de trois semaines, elles étaient soulagées d’échapper à un mode de vie que leur loyauté envers leur mère se devait de réprouver (« Maman a des problèmes d’argent », avaient-elles trouvé le courage de glisser à leur père en apprenant que Sony était inscrit dans une prestigieuse école privée, à quoi il avait répondu, soupirant : « Qui n’a pas de problème d’argent, mes pauvres petites ! ») et très affectées d’abandonner Sony.
Cuando Norah y su hermana regresaron al cabo de tres semanas, estaban aliviadas de escapar a un modo de vida que su lealtad para con su madre les obligaba a reprobar («Mamá tiene problemas de dinero», habían tenido el valor de dejarle caer a su padre al enterarse de que Sony estaba matriculado en una prestigiosa escuela privada, a lo que él había respondido con un suspiro: «¿Quién no tiene problemas de dinero, mis pobres pequeñas?».) y muy afectadas por abandonar a Sony.
L’imagination n’étant pas le mensonge, comme il s’usait à le leur répéter, il avait résolu de consulter « tous les ouvrages de sa mémoire » qui traitaient de l’enfance adulte et des adultes enfants, du Gavroche des Misérables, « Gavroche, l’enfant-homme de Victor Hugo », à Dora, la child wife de Dickens, « mais si, voyons, Dora, l’épouse enfant, souvenez-vous, David Copperfield ! et qui mourra de ne pouvoir s’affranchir de son enfance ! », en passant par Lolita, « la gamine souterrainement dominante » du « sulfureux Nabokov », et son cousin péruvien, le petit Alfonsito, « mais bien entendu, vous n’avez pas lu l’Éloge de la marâtre, ni ne connaissez les noms de Vargas Llosa ou de Nabokov, n’est-ce pas, et n’avez jamais entendu parler de Günter Grass, le bouillonnant père d’Oscar… Oscar… Oscar Matzerath qui a refusé de grandir le jour de ses trois ans… », il avait décidé de leur prouver que les plus grands écrivains s’étaient attaqués à « la problématique de cette rédaction » dont Mychkine, « le prince innocent de Dostoïevski », était « l’illustration la plus poignante » avec, peut-être, la Little Dorrit de Dickens, « encore lui, oui, Dickens est partout », devenue la maman de son papa emprisonné, mais il lui était apparu que ces « preuves par le roman ne suffiraient pas à sa démonstration », et que, pour bien faire, il fallait « s’immerger dans l’existence des auteurs et remonter jusqu’à leur source », et il s’était fait apporter les meilleures biographies des auteurs en question, Dickens, Dostoïevski, Nabokov, Gombrowicz, car il ne fallait pas oublier Gombrowicz, bien entendu, « Witold Gombrowicz, 1904, 1969 », et relire pour l’occasion son « magistral Ferdydurke », où « la mature pantomime de l’homme conditionné le dispute à l’immaturité ontologique de l’espèce », lecture qui, par voie d’association, l’avait replongé dans « l’excellent Italo Svevo », d’où il s’était trouvé précipité dans les Confessions du « génial imbécile, je veux parler de Rousseau, vous l’aurez reconnu – non, pas de café, je vous l’ai déjà dit, pas de béquilles, jamais ! – », et Rousseau, par une association « que Jean-Jacques eût été le premier à réprouver », l’avait amené à s’interroger sur les rapports exacts qui régissaient la partie de cache-cache pédagogique, « adjectif anachronique pour une pièce du XVIIe vous voudrez bien m’en excuser », que jouaient l’Arnolphe et l’Agnès de Molière (on le sait que tu connais Agnès, pensa Nourdine avec un pincement au cœur), et ce fut là, à ce stade de sa réflexion, son brouillon noirci de notes essentielles, qu’il avait éprouvé une sorte de vertige, « non pas le vertige de l’ivrogne où l’homme vacille sur ses bases », mais un vertige intérieur où « mes bases vacillaient sous moi » et que, sentant la syncope toute proche, il s’était réfugié dans les toilettes de la bibliothèque. — Alors ?
Puesto que, como solía repetirles, la imaginación no era la mentira, había decidido consultar «todas las obras que recordaba» que trataban de la niñez adulta y de los adultos niños, desde el Gavroche de Los miserables, «Gavroche, el niño-hombre de Víctor Hugo», a la Dora, la child wife de Dickens, «sí sí, veamos, Dora, la esposa niña, recuerden, David Copperfield, que muere al no poder liberarse de su infancia», pasando por Lolita, «la chiquilla soterradamente dominante» del «sulfuroso Nabokov», y su primo peruano, el pequeño Alfonsito, «claro que ustedes no han leído el Elogio de la madrastra, ni les suenan los nombres de Vargas Llosa o de Nabokov, ¿verdad?, y nunca han oído hablar de Günter Grass, el efervescente padre de Oscar… Oscar… Oscar Matzerath que se negó a crecer el día que cumplió tres años…», había decidido demostrarles que los más grandes escritores se habían enfrentado con «la problemática de esa redacción», de la que Myshkin, «el inocente príncipe de Dostoievski», era «la más lacerante ilustración» con, tal vez, la Little Dorrit de Dickens, «sí, de nuevo él, Dickens está en todas partes», convertida en la madre de su padre encarcelado, pero había advertido que esas «pruebas por medio de la novela no bastaban para su demostración», y que, para actuar correctamente, era preciso «sumergirse en la existencia de los autores y remontarse hasta las fuentes» y había solicitado las mejores biografías de los autores en cuestión, Dickens, Dostoievski, Nabokov, Gombrowicz, pues no debía olvidarse a Gombrowicz, claro está, «Witold Gombrowicz, 1904-1969», y podía volver a leerse, ya puestos a ello, su «magistral Ferdydurke», donde «la madura pantomima del hombre condicionado lo disputa a la inmadurez ontológica de la especie», lectura que, por asociación, le había sumido en la del «excelente Italo Svevo», de donde se había visto precipitado a las Confesiones del «genial imbécil, me refiero a Rousseau, lo habrán advertido… no, café no, ya se lo he dicho, nunca uso muletas», y Rousseau, por una asociación «que Jean-Jacques hubiera sido el primero en reprobar», le había llevado a interrogarse sobre las exactas relaciones que regían aquella partida de escondite pedagógico, «adjetivo anacrónico para una obra del siglo XVII, tengan la bondad de perdonarme», que jugaban el Arnolphe y la Agnès de Molière (ya sabemos que conoces a Agnès, pensó Nourdine con el corazón en un puño), y fue entonces, en ese estadio de su reflexión, con el borrador ennegrecido de notas esenciales, cuando sintió una especie de vértigo, «no, no el vértigo del borracho, en el que el hombre vacila sobre su base», sino un vértigo interior en el que «mi base vacilaba bajo mis pies» y, sintiéndose próximo al síncope, se había refugiado en el lavabo de la biblioteca.
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