Translation for "projétation" to spanish
Translation examples
Pour cette petite expérience, c’est toi qui seras projetée. — C’est moi qui… serai…
Para esta experiencia, tú eres la proyección. —¿Yo…? El…
Nef avait dit que ce serait elle qui serait projetée.
Nave había dicho que ella sería una proyección.
Peut-être que j’interprète, que je projette.
Quizá se trate de una interpretación mía, de una proyección.
On aurait dit un vieil écran de cinéma sur lequel des images anciennes étaient projetées.
Parecían servir de pantalla para la proyección de una película—.
Les films étaient projetés dans une petite salle dotée de sièges moelleux.
Veían las películas en una pequeña sala de proyección con butacas mullidas y cómodas.
C’est ce qui rend les romans spéculatifs projetés sur un demi-siècle tellement difficiles à écrire.
Eso es lo que hace que las proyecciones a medio siglo de distancia sean las novelas especulativas más difíciles de escribir.
En fait nous sommes peut-être encore au sol, et tout ce que nous pouvons voir par les hublots est projeté sur des écrans.
Tal vez en realidad estemos todavía en tierra, y lo que vemos por las ventanillas sea una proyección.
Mais si Panille les abandonnait maintenant, en cessant de projeter son bouclier d’illusions ?
¿Y si Panille simplemente les dejaba ahí fuera, dejaba caer de pronto la máscara de su proyección?
Enfin, le fait que Zandramas puisse projeter d’elle une image à moitié matérielle la rend très dangereuse.
De todos modos, esta capacidad de Zandramas de manifestarse en un estado intermedio entre la realidad y una proyección la hace muy peligrosa.
« Cette vieille peau ne se rend même pas compte qu’elle projette sa frigidité ! » avait dit la mère de Griffin en raccrochant.
—Ni siquiera se da cuenta de que está haciendo una proyección, la muy frígida —opinó la madre de Griffin después de colgar.
Je ne projette pas d’atterrir sur l’Anneau-Monde lui-même, seulement sur la plate-forme du spatioport !
No pienso aterrizar en el propio Mundo Anillo sino sólo en el saliente de los espaciopuertos.
Il glissa le canot entre deux saillies rocheuses et ils furent projetés en avant, entraînés par l’accélération de la chute de l’eau.
Atravesó una brecha entre dos salientes de roca y se lanzó a los rápidos, donde el bote empezó a acelerar.
Elle était assise dans le fauteuil, devant la baie vitrée, et regardait le soleil projeter des arabesques sur les festons jaune et rouge du tapis vieillot.
Estaba sentada en el sillón junto a la ventana en saliente, contemplando las elaboradas sombras que la luz del sol proyectaba en los arabescos rojos y amarillos del dibujo de la anticuada alfombra.
Ils me virent me cramponner à la calandre, puis glisser pour être arrêté par le montant du pare-chocs et traîné sur une dizaine de mètres avant que la voiture stoppe et me projette sur le sol.
me vieron cogerme al radiador y resbalar hasta quedar prendido en un saliente del parachoques que me arrastró diez metros antes de que el coche se detuviera bruscamente y me lanzara hacia delante.
le faisceau lumineux se concentrait et se réfléchissait sur une avancée rocheuse dont l’ombre était projetée vers l’ouverture de la grotte principale en un grand carré sombre. Pour un individu préoccupé par son saccage et son pillage, la fissure devait être à peine discernable.
Su luz estaba concentrada en un saliente de la roca que proyectaba una negra franja de sombra sobre la ranura. A cualquiera que intentara el pillaje y la destrucción en lo más recóndito de la cueva, la entrada a la otra le sería difícilmente visible.
Deux membres du comité sortant évoquèrent d’une voix étranglée la place qu’avait occupée cette maison dans leur vie et dans la vie de leurs amis, et tout ce qui avait été fait ici les quarante dernières années, ce qu’ils avaient projeté de faire et n’avaient pas fait.
Dos miembros del comité saliente hablaron con voz contenida del lugar que había ocupado aquella casa en sus vidas y en las vidas de sus miembros, y sobre todo lo que se había hecho allí en los últimos cuarenta años, y lo que había quedado por hacer y no se hizo.
elle m’a lancé tandis que je restais bouche bée comme un crétin. Pas de quoi être intimidé, ce sera pas la première fois que je te verrai tout nu ! » Elle faisait allusion au jour où elle m’avait vu me baigner dans le ruisseau avec les chiens… une chaleur étouffante, on venait de conduire le troupeau dans un nouveau pâturage, les moutons broutaient voracement l’herbe vierge et succulente, Tom était parti sur son tracteur pour réparer une clôture et il y avait là ce ruisseau d’une fraîcheur délicieuse qu’on avait franchi à gué en amont avec les bêtes, un flot limpide qui coulait sur les galets et les plaques d’ardoise, dans un creux de la berge il formait un petit bassin assez profond pour nager… je n’ai pas pu résister, j’ai enlevé tout ce que j’avais sur moi pour me jeter à l’eau, quel délice… sur la rive les deux colleys m’observaient avec envie, haletants, la langue pendante, mais trop bien dressés pour bouger avant que je les appelle : « Venez, les chiens ! », et là ils se sont précipités dans le ruisseau en jappant pour barboter jusqu’à moi, le museau levé, et me tourner autour comme si j’étais un mouton égaré… histoire de les feinter, j’ai plongé et surgi derrière eux en rigolant de leur surprise, puis j’ai fait la planche, les yeux levés sur le bleu infini du ciel d’été, en me laissant dériver dans le courant jusqu’à ce que je sente les pierres du fond me racler doucement le dos… Je me suis mis debout pour remonter en pataugeant vers le bassin avec les chiens qui gambadaient et soulevaient des gerbes d’eau à mes pieds, lorsque soudain j’ai découvert Martha immobile sur la rive opposée, chevauchant son vélo, un pied appuyé par terre, me regardant avec un sourire qui s’est élargi quand, pétrifié, j’ai précipitamment plaqué les mains sur mon bas-ventre comme un footballeur face à un tir de coup franc… Elle m’a demandé où était Tom et puis elle est partie en agitant le bras… Jusqu’à ce qu’elle ait disparu, je suis resté figé dans l’eau, les mains sur ma queue… je me suis mis à bander en me demandant depuis combien de temps elle m’avait maté avec ce sourire sur la figure et, après m’être assuré d’un bref coup d’œil que personne d’autre ne m’observait, je me suis branlé et j’ai projeté ma semence dans les rayons du soleil et dans l’eau pure, sous le seul regard patient des chiens, ni voyeurs ni censeurs. Car Martha me plaisait, et comment, mais jamais auparavant je n’avais osé espérer que ce pouvait être réciproque, malgré sa gentillesse à mon égard, les bons morceaux qu’elle me servait à table et sa façon de me demander si j’avais du linge à laver, de me repasser mes chemises mieux que ma mère, oui, je savais qu’elle m’aimait bien, seulement elle avait un mari et le double de mon âge… Toutefois, Tom était plus vieux que Martha et, d’après elle, pas très branché sur la baise, ni très brillant… « Dix minutes le samedi soir, pour lui, c’est un maximum… » Il s’était marié à l’âge mûr avec une jeune femme dans l’espoir d’avoir un fils qui reprendrait la ferme, faute de quoi il s’en était désintéressé, accusant Martha d’être stérile, m’avait-elle dit un jour, il refusait d’envisager que le problème pouvait venir de lui, il refusait de faire analyser son sperme, il refusait d’aborder la question, en dépit ou peut-être à cause de tout le temps qu’il passait à organiser la saillie des brebis… C’était donc la situation classique, le mari plus âgé, la jeune épouse pleine de tempérament, le petit pensionnaire puceau qui ne pensait qu’à ça, dix-sept ans, encore un gamin mais, comme le dit ou plutôt le murmura Martha, « bien développé pour ton âge, chéri », un adolescent londonien qu’on avait envoyé séjourner dans la ferme d’un éleveur de moutons du Yorkshire pour qu’il se rétablisse d’une mononucléose infectieuse grâce à l’air pur de la campagne et à l’exercice physique… une idée de notre médecin de famille, Tom était un vague cousin à lui… pas une mauvaise idée, d’ailleurs, le travail me rendit vigoureux, les kilomètres à pied à travers les collines, l’escalade des pentes escarpées, le corps à corps avec les moutons pour la nécrose du pied, il fallait les immobiliser à terre pendant que Tom curait les tissus infectés… mes muscles se renforçaient, mes épaules se redressaient, Martha avait dû me trouver bien bâti quand je pataugeais tout nu dans le ruisseau, c’est en fait ce qu’elle m’a dit par la suite : « Comme une statue dans un musée, un de ces dieux grecs en marbre blanc… » Tandis qu’elle m’observait de la rive sur son vélo, j’avais lu dans son sourire une franche admiration, ce n’était donc pas tout à fait une surprise, ce jour-là dans la cuisine… même si je n’en croyais pas ma veine, aujourd’hui encore j’ai du mal à y croire, sans blague, un gamin de dix-sept ans dont le corps était une vraie centrale électrique à testostérone constamment au bord de l’explosion, et l’esprit… l’esprit, un film porno permanent… mais dont l’expérience sexuelle se limitait aux baisers sur la bouche échangés au coin de la rue à l’heure du déjeuner avec les filles du lycée, et peut-être, si elles se laissaient faire, à leur palper la poitrine sous le blazer d’uniforme… quelle veine d’être dépucelé par une femme expérimentée, au sang chaud… laquelle a rigolé et m’a dit de ne pas m’en faire lorsque j’ai éjaculé prématurément, chose inévitable… mais là j’anticipe, où en étais-je ? Ah !
Torn se había ido en el tractor a ver una cerca rota, y allí estaba aquel arroyo deliciosamente frío que habíamos vadeado con el rebaño un poco más arriba, discurriendo cristalino sobre guijarros y lascas de pizarra, con un sirio debajo de un saliente lo bastante hondo para nadar… No pude resistir la tentación, me quité toda la ropa y me zambullí, qué delicia… los dos collies Border me miraban con envidia desde la orilla, jadeando de calor, con las lenguas colgando pero perfectamente adiestrados para no moverse hasta que yo les llamé para que acudieran, «¡Vamos!», y se precipitaron hacia el agua ladrando y chapotearon hacia mí con los hocicos en el aire y me rodearon dando vueltas como si yo fuese una oveja descarriada… Les engañé sumergiéndome y apareciendo detrás de ellos, y me reí de júbilo al ver su sorpresa, y me tumbé panza arriba y floté contemplando el azul infinito del cielo veraniego, fluyendo a merced de la corriente hasta que llegué a los bajíos y noté que los cantos en el lecho del arroyo me rascaban suavemente la espalda… Me levanté y empecé a vadear río arriba hacia el lugar profundo, con los perros retozando y salpicando en mis talones, y entonces advertí de repente la presencia de Martha en la orilla más lejana, sentada en su bici con un pie en el suelo, observándome con una sonrisa que se ensanchó ampliamente cuando me detuve y me apresuré a taparme la entrepierna con las manos, como un futbolista que encara un tiro libre… Me gritó que dónde estaba Torn y cuando se lo dije se fue pedaleando y saludando con la mano… Permanecí inmóvil en el agua, con las manos encima de la polla hasta que ella se perdió de vista… empezaba a elevarse y a endurecerse mientras me preguntaba cuánto tiempo habría estado observándome con aquella sonrisa en la cara, y después de una rápida ojeada alrededor para cerciorarme de que no había nadie más mirando, me hice una paja, expulsando mi semilla al aire soleado y al arroyo que fluía aprisa, observado tan sólo por los perros pacientes, desprovistos de curiosidad y de reproche. Porque Martha me gustaba, oh, sí, pero hasta aquel día no me había atrevido a confiar en que ella me correspondiese, aunque siempre era amable conmigo, me servía en la mesa exquisiteces y me preguntaba si tenía ropa que lavar, y me planchaba las camisas mejor que mi madre, y yo sabía que ella me apreciaba, pero en definitiva era una mujer casada que me doblaba la edad… Tom, sin embargo, era mayor que ella y según Martha no se interesaba mucho por el sexo ni valía gran cosa en la materia… «Diez minutos una noche de domingo es más o menos su límite…». En la madurez se había casado con una mujer joven con la esperanza de engendrar un hijo a quien dejar la granja, y cuando los hijos no llegaron perdió todo interés, culpó a Martha de ser estéril, o al menos eso me dijo ella un día, se negó a considerar que el problema podría ser él, se negó a hacerse análisis de esperma, se cerró en banda para hablar del asunto, aunque se pasaba —o quizás porque se pasaba— la mayor parte de sus días de trabajo organizando el apareamiento de las ovejas… De modo que era la situación clásica, el marido mayor y la joven esposa retozona, el pupilo joven rebosante de lefa, sólo diecisiete años, todavía un colegial pero, como Martha dijo, o más bien susurró, «grande para tu edad, amor», un colegial del sur de Londres que había sido enviado a vivir en una granja de Dales por motivos de salud, para respirar aire puro y hacer ejercicio después de un acceso de fiebre glandular…, idea de nuestro médico de cabecera. Torn era un pariente lejano suyo… y tampoco era mala idea, crecí fuerte y ágil gracias al trabajo, caminaba kilómetros cada día por los Dales, subía pendientes escarpadas, luchaba con las ovejas para inspeccionarles la podredumbre de lai^ patas, las sujetaba mientras Torn les sajaba el tejido infectado…, mis músculos se endurecieron, mis hombros se cuadraron, debí de causarle muy buena impresión a Martha cuando vadeé en cueros el arroyo, de hecho me dijo más tarde: «Como una estatua en un museo, como uno de esos dioses griegos esculpidos en mármol blanco…». Vi la franca admiración en su sonrisa mientras me observaba desde su bicicleta, y por eso me sorprendió tanto cuando aquel día en la cocina… aunque todavía apenas podía creer en mi fortuna, aún hoy me cuesta creerlo, un colegial de diecisiete años cuyo cuerpo era una central eléctrica de testosterona continuamente a punto de fundirse y cuya mente… cuya mente era un teatro pornográfico que nunca cerraba sus puertas… pero cuya experiencia sexual no pasaba de besos de tornillo a la hora del almuerzo con chicas del instituto gemelo al nuestro, que estaba un poco más arriba de la calle, y quizás, con un poco de suerte, de estrujarles las tetas por debajo de las chaquetas de sarga de su uniforme… perder mi virginidad con una mujer experimentada y caliente y totalmente madura… que se reía y me decía que no me preocupase si me vaciaba antes de tiempo, como yo hacía inevitablemente… pero me estoy adelantando… por dónde iba, ah, sí, aquel día Torn y Sol, su pastor, fueron al mercado y yo me quedé solo en la granja con Martha y entré en la cocina para el almuerzo y me senté a la mesa de pino, con sus vetas de madera acanaladas por años de fregoteos, mientras ella me servía y luego se sentaba a observar cómo comía, yo era consciente, a pesar de mi inexperiencia, consciente de que el aire estaba cargado de invitación sexual…, estaba en el cimbreo de las caderas de Martha mientras se movía por la cocina, estaba en la ausencia del delantal descolorido de flores estampadas que solía ponerse, lo cual me permitía ver la forma de su sujetador debajo de la blusa ceñida y la más ligera sugerencia de escote allí donde un botón que habría podido estar abrochado había sido dejado suelto, estaba en el olor a champú de su cabello recién lavado cuando se encorvaba por encima de mi hombro para ponerme delante un plato de jamón y queso, y en la tenue sonrisa que retozaba en sus labios mientras sorbía una taza de té y me observaba comer desde el otro lado de la mesa, charlando de un modo informal de cosas que yo apenas escuchaba… No, no fue una sorpresa total que cuando me levanté para volver al trabajo ella me detuviera recurriendo a una de las argucias más viejas del código: «Creo que tengo algo en el ojo;
Le train était un tas de ferraille mal assemblée, il cahotait comme si les rails étaient barrés par des ralentisseurs et, à chaque secousse, Olanna était projetée contre la femme assise à côté d'elle, contre quelque chose que la femme tenait sur les genoux, un grand bol, une calebasse.
El tren era una masa de piezas metálicas sueltas, marchaba tan vacilante como si la vía estuviera plagada de resaltos y a cada sacudida Olanna era arrojada contra la mujer que viajaba a su lado, contra algo que tenía en el regazo, un gran cuenco en forma de calabaza.
Le peintre observe la jeune femme depuis l’intérieur : les ailes de la porte reflètent dans un premier plan sa silhouette fractionnée pour la projeter ensuite vers la rue. Un procédé semblable à celui de Marcel Duchamp, qui traite de la fugacité du temps en montrant simultanément les différentes facettes d’un même corps. La scène est d’une extrême fragilité.
El punto de vista del pintor se sitúa en el interior del hotel, y las hojas de la puerta seccionan en apariencia la figura de la mujer, pero a la vez la proyectan en movimiento, como si avanzara, un efecto similar al de algunos cuadros de Marcel Duchamp donde se muestra el cuerpo dividido de una sola persona y se resalta así la fugacidad del momento. La imagen es de una fragilidad abrumadora;
Contre le fond blanc s’estompent ses cheveux blancs et rares, comme du coton bouclé, et ressort son visage très noir aux os larges et à la mâchoire très forte, presque aussi noir et luisant que ses yeux anthracite, yeux qui revoient ce que personne ne se rappelle plus dans ce monde, l’infamie et la douleur insondable de l’esclavage, la honte qui a persisté au travers des générations et projette sur le présent son ombre d’injustice et de cruauté.
Contra el fondo blanco se difumina su pelo blanco y escaso como algodón muy rizado y resalta su cara muy negra, de huesos grandes, de quijadas muy fuertes, casi tan negra y brillante como sus ojos de antracita, los ojos que están viendo lo que nadie más recuerda ya en este mundo, la infamia y el dolor insondable de la esclavitud, la vergüenza que dura a través de las generaciones y proyecta sobre el presente su sombra de injusticia y crueldad.
La lettre d’Adela et celle de Judith, le portefeuille gonflé et un peu déformé par l’usage dans lequel se trouvent la photo de Judith et celle de ses enfants, sa carte du Parti socialiste, celle de l’Union générale des travailleurs, sa carte d’identité, son carnet de dessins où il a porté ses premières esquisses pour la bibliothèque, vaines lignes et taches tracées au crayon, projets incertains dont la forme se révèle inadaptée au regard de la puissance et des dimensions de ce paysage : que pourra-t-il faire, lui, qui ne soit pas banal et ridicule avec sa timide imagination espagnole, ici anéantie, comme à New York, par l’ampleur démesurée qui s’affiche autant dans les œuvres des hommes que dans la nature, qui nécessite une énergie, une hardiesse, une démesure auxquelles il n’est pas préparé.
La carta de Adela y la de Judith, la cartera hinchada y algo deforme por el uso dentro de la cual están la foto de Judith y la de sus hijos, su carnet del Partido Socialista, el de la Unión General de Trabajadores, su cédula de identidad, su cuaderno de dibujo, en el que ha traído los primeros esbozos para la biblioteca, vanas líneas y manchas a lápiz, conatos inseguros de formas que se vuelven irrelevantes por comparación con el poderío y la escala de este paisaje: qué podrá hacer él que no sea trivial y ridículo con su medrosa imaginación española, anulada aquí, igual que en Nueva York, por una desmedida amplitud que resalta igual en las obras humanas que en la naturaleza, que requiere una energía, un brío, una desmesura para las cuales él no está preparado.
Pendant les semaines d’été, « Threnody » s’attela à un petit projet personnel.
En el curso de las semanas estivales «Threnody» se ocupó en la concepción de un pequeño proyecto.
Durant ces mois, la fonction exécutive d'Allenby ne se trouvait pas à la hauteur des projets conçus.
Así que la ejecución de la labor de Allenby durante aquellos meses era muy distinta de su concepción.
Or, dans la même journée déjà, j’avais appris le projet du sous-directeur concernant l’homme-cheval.
Sin embargo, ese mismo día me enteré de la concepción global, elaborada por el subdirector, de lo que era el hombre caballo.
Ils participent à la conception, à la réalisation et à l’évaluation des programmes et des projets relatifs à la prévention de l’insécurité et à la lutte contre la délinquance.
Participan en la concepción, la realización y la evaluación de los programas y proyectos relativos a la prevención de la inseguridad y la lucha contra la delincuencia.
L’idée d’un projet de livre était tout à fait étrangère à mon état d’esprit lorsque je me mis à ma table pour écrire ;
La concepción de un libro planeado al detalle era algo completamente ajeno al abanico de mis posibilidades mentales en el momento en que me senté a escribir;
Ce projet, en tant qu’il n’est pas simplement conçu et posé thématiquement mais vécu, c’est-à-dire en tant que sa réalisation ne se distingue pas de sa conception, c’est le trouble.
Este proyecto, en tanto que no es simplemente concebido y puesto temáticamente, sino vivido, es decir, en tanto que su realización no se distingue de su concepción, es la turbación.
Concepción avait plus de sens commun que le Père Benito : elle abandonna bientôt le projet d’inculquer à son petit-fils des vertus hors de sa portée.
Concepción tenía más sentido común que el padre Benito y pronto abandonó el intento de predicarle virtudes inalcanzables a su nieto;
Ceci est une première approche de la façon dont il envisage de réaliser notre projet sans utiliser la partie Kaplan détenue par Adam Cauliff.
Ésta es una idea aproximada de su concepción del complejo que queremos construir sin echar mano de la finca Kaplan, propiedad de Adam Cauliff.
L’examen de son projet et la lecture de son scandaleux manifeste : Pour une conception végétale de l’architecture, donnent une idée de l’absolu maximalisme de Reagan par rapport à ses collègues de la même génération.
Un examen del proyecto y una lectura de su escandaloso manifiesto: Por una concepción vegetal de la arquitectura, indican el absoluto maximalismo de Reagan con respecto a sus colegas coetáneos.
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