Translation for "paysan polonais" to spanish
Paysan polonais
Translation examples
Les pauvres paysans polonais se noyèrent dans leur propre sang.
Los pobres campesinos polacos se ahogaron en su propia sangre.
Ici, ce sont des paysans polonais de Mazurie; là, des kolkhoziens bolchevisés;
Estos de aquí son campesinos polacos de Mazuria, y, al í, los miembros de un koljós bolchevique;
Dans l’arrière-pays de la Prusse-Occidentale, les paysans polonais étaient chassés de leurs fermes avec femmes et enfants ;
En el interior de la Prusia occidental se expulsaba de sus granjas a los campesinos polacos, con mujer e hijos;
russe pour inspecter ses deux divisions de paysans polonais, lesquelles se trouvaient pour la première fois non loin d'une grande ville.
ruso para inspeccionar sus dos Divisiones de campesinos polacos que, por vez primera, se encontraban cerca de una gran ciudad.
Lénine harcela commandants et commissaires pour qu’ils fomentent une révolte des ouvriers et paysans polonais, lettons et estoniens : c’était sa version de la « guerre révolutionnaire ».
Lenin incitaba a los comandantes y comisarios para que provocaran un levantamiento de los trabajadores y campesinos polacos, letones y estonios. Era lo que él denominaba «guerra revolucionaria».
Le poste était un AEG Super Orchestra, de la taille d’une grange de paysans polonais, et, avec le son à plein volume, il était impossible de ne pas entendre le discours à peu près n’importe où dans la maison.
La radio era una AEG Súper Orquesta, grande como el granero de un campesino polaco, y con el discurso a todo volumen no había ninguna posibilidad de no oírlo en casi todos los rincones de la casa.
Cette tradition, d’après Hanka, devait marier la saveur du Cantique des cantiques, et les hébraïsmes nourris d’olives et de caroubes des laboureurs bibliques, aux mélodies hassidiques d’Europe orientale et aux usages rudes mais chaleureux d’authentiques paysans polonais et d’autres enfants de la nature, puisant leur innocence, leur pureté spirituelle et leur joie de vivre mystique aux Fruits de la terre hamsuniens, cette terre qu’ils foulaient de leurs pieds nus.
Esa tradición, tal y como la veía Hanka Huldai, debía fundir el aroma del Cantar de los Cantares y el carácter hebreo de oliva y algarrobo de los bíblicos trabajadores de la tierra, y mezclarlos con las melodías del shtetl hasídico y los modales rústicos aunque amables de los sencillos campesinos polacos y el resto de los hijos de la naturaleza, que mamaban su ingenuidad, su pureza y su mística alegría de vivir directamente de la bendición de la tierra, al estilo de Knut Hamsun, que tenían bajo sus pies descalzos.
Le 10 mai 1920, il prononça un discours qui annonçait une guerre des classes : « La Russie soviétique vous montrera une nouvelle sorte de guerre. Nous nous battrons tant que nous ferons trembler les toupets des propriétaires polonais dans toute la Pologne, dans toute l’Europe, dans le monde entier [tonnerre d’applaudissements] […] Et nous le disons aux ouvriers et paysans polonais : le combat que nous menons n’est pas dirigé contre vous, amis et frères. Nous nous battons pour la cause de la liberté, la nôtre et la vôtre, contre nos ennemis et les vôtres, contre l’oppresseur, contre les magnats agresseurs[913]. » Tout en préparant la campagne contre les Blancs, Trotski exigea qu’on imprime rapidement les décrets prévus pour séduire la « population laborieuse » : la réforme agraire devait être annoncée à tous les habitants des territoires situés à l’ouest de la Russie soviétique[914].
El 10 de mayo de 1920 dio un discurso en el que proclamó una guerra de clases: «La Rusia soviética os enseñará una nueva clase de guerra, lucharemos de tal manera que los cabellos de todos los terratenientes polacos temblarán por todo su país, por toda Europa, por el mundo entero [salva de aplausos]… Declaramos a los obreros y campesinos polacos: la lucha que estamos llevando a cabo no es contra vosotros, amigos y hermanos, sino por la causa de nuestra y vuestra libertad, contra nuestros y vuestros enemigos, contra los opresores, contra los magnates y agresores.»[26] Al preparar la campaña contra los blancos, Trotsky exigió la rápida impresión de decretos destinados a convocar a la «gente trabajadora». La reforma agraria soviética iba a publicarse para toda la gente que viviera en el territorio al oeste de la Rusia soviética[27].
Ça fait quatre ! Des scènes aussi épouvantables pouvaient se répéter deux ou trois fois en un seul dimanche après-midi, amalgames, me semblait-il, de feuilleton populaire (encore ce genre), de Dostoïevski et des légendes sur la famille chrétienne que j’entendais raconter étant enfant, généralement par mes grand-mères immigrantes qui n’avaient jamais oublié quelle vie avait été la leur parmi les paysans polonais. Comme dans les combats des feuilletons, la férocité exprimée dépassait de plusieurs années-lumière le problème réel qui, par lui-même, se ramenait le plus souvent à une question de simple logique, ou d’humour, ou de bon sens, pourtant, comme dans les querelles familiales chez Dostoïevski, il y avait du meurtre dans l’air ces dimanches-là et on n’avait pas envie de rire ou d’expliquer par un raisonnement le mal fondé du propos : une animosité si profonde vibrait entre ces deux femelles du même sang que, bien que leur discussion fût la discussion américaine type au sujet du travail scolaire (un sujet qui n’est pas celui des Possédés, ni des Frères Karamazov, mais plutôt l’affaire d’Henry Aldrich et Andy Hardy), il n’était pas impossible (d’une autre pièce de l’appartement) de les imaginer l’une poursuivant l’autre avec des tisons enflammés, un pistolet, une corde à pendre, une hache.
¡No me pegues! ¡Son cuatro! Escenas tan terribles como ésta se desarrollaban dos o tres veces en el transcurso de una sola tarde de domingo, como amalgamas de fragmentos de culebrón (otra vez este género), de Dostoievski, o de aquellas leyendas sobre la vida familiar entre los gentiles que yo solía oír de niño, generalmente por boca de mis abuelas inmigrantes, que nunca habían olvidado cómo había sido la vida allá, entre los campesinos polacos. Como en los conflictos de telenovela, la ferocidad emotiva del argumento excedía en años luz la cuestión esencial, que las más de las veces era en sí mismo capaz de responder a un poco de lógica, de sentido del humor o bien cierta dosis de sentido común. A pesar de ello, y como en las escenas de guerra familiar de Dostoievski, durante esos domingos la muerte flotaba en el ambiente, y no desaparecía con bromas o razonamientos. La animosidad era profundísima entre aquellas dos mujeres de la misma sangre que simplemente estaban librando la habitual batalla norteamericana sobre los deberes del colegio, un tema que no es precisamente el de Los hermanos Karamazov ni de Los demonios, pero sí el de las películas de Henry Aldrich y de Andy Hardy. Y, a pesar de la sutileza del tema, no era imposible imaginarlas (desde otra habitación) librando dicha batalla con fusiles, pistolas, sogas y hachas.
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