Translation for "nomment" to spanish
Translation examples
Ils se nomment les Pémalites.
Fueron conocidos con el nombre de pemalitas.
Les gens nomment inconsidérément leurs enfants.
La gente no cuida mucho los nombres que dan a sus hijos.
« Quel coup de chance qu’ils le nomment en premier ! »
«Ha sido una auténtica suerte que hayan sido ellos los primeros en pronunciar su nombre, y no yo», pensé.
NOMS : Les Doigts se nomment entre eux : Humains.
NOMBRES: Los Dedos se llaman entre sí Humanos.
Certains sorciers nomment leurs enfants suivant une tradition familiale.
Algunos magos tienen su propia tradición familiar a la hora de poner nombres.
Je sais où sont les premiers portails, et comment se nomment ceux qui ont des noms. C’est plus que tu n’en sais, toi, et c’est tout.
Conozco los primeros portales y los nombres de los que tienen nombre, más de lo que tú sabes, de todas formas.
— Comme ils se nomment tous les deux Jean, j’appelle le mien Jean deuxième.
—Como los dos tienen el mismo nombre, al mío lo llamo Juan II.
Si on leur en laisse l’occasion, la plupart des choses se nomment d’elles-mêmes. »
Démosle una oportunidad, la mayor parte de las cosas se dan su nombre por sí mismas.
Ils le nomment Grand-Ba, ce qui est une contraction de grand-père, grand father, et de son nom.
Lo llaman Gran-Ba, que es una contracción de Gran Papá, y de su nombre.
Ces « snow-houses », qu’ils établissent avec une extrême rapidité, se nomment « igloo » dans la langue du pays.
Estas casas de nieve que ellos hacen con rapidez extremada, reciben el nombre de igloo en la lengua del país.
Sénèque emploie indifféremment les mots nature, fortune, destin, dieu – ou dieux – pour désigner ce que les Chinois nomment Tao et les Hindous Dharma : le fond des choses.
Séneca emplea indistintamente las palabras naturaleza, fortuna, destino, dios –o dioses– para designar lo que los chinos denominan Ta o y los hindúes Dharma: el fondo de las cosas.
Est-ce vraiment juste que le plaisir ne soit pas unique, qu’il ne soit pas, plutôt, produit par un seul être, seule main, seule bouche, sexe unique, seul œillet violet, dirait l’autre, qu’il ne soit pas révélation monogamique ? Mercédès, Fabienne, Élizabeth, source d’un plaisir qui à force d’être identique devient autre, étrange, confus, insaisissable, est-ce juste que le plaisir glisse sur le corps comme eau de pluie, rafraîchissante, soudaine, dans la chaleur orageuse d’un été d’enfantines découvertes ? qu’il glisse et s’évanouisse, retenu non par le corps lui-même, poreux, oublieux, vivant dans la transparence de l’éphémère, du perpétuel présent, mais retenu prisonnier par le filet des mots, raffinés ou empreints de brutale précision, n’importe, mots d’éther ou de brume ou bien de foutre qui donnent leur consistance réelle, quoi qu’il en soit, aux événements pourtant matériels de la chair, mais prenant appui des coudes sur l’étagère de cette armoire vitrée remplie de livres dont il essayait maintenant de se rappeler les titres pour chasser de son esprit, mémoire, imagination, comme on voudra, les images ravivées par les mots qui les nomment, les mots dits à Mercédès, à Soho, les mots dits à Fabienne à Formentor, rue des Bourdonnais, et dont la tourbillonnante prolifération, désormais, le ferait partir trop vite à son goût, pour écarter de lui la substance impalpable d’images évanescentes mais d’une perfide et lacérante précision qui hâteraient la fin de ce plaisir dont il ne veut, maintenant, ici, que goûter la durée, la chaleur, le frottement, la dévorante aspiration, toujours, jusqu’à la fin des temps, mais s’accouder en arrière, s’évader dans le souvenir ironique d’Ovide, ergo ubi concubitus et opus iuvenale petetur, il y avait sur l’étagère également un volume d’Hésiode, se souvient-il, chouette sage d’encre noire sur la couverture bistre, « qu’une femme n’aille pas non plus, avec sa croupe attifée, te faire perdre le sens ;
¿Es verdaderamente justo que el placer no sea único, que no sea, más bien, producido por un solo ser, una sola mano, una sola boca, un sexo único, un solo ojo violeta, diría el otro, que no sea revelación monogámica? Mercedes, Fabienne, Elisabeth, fuente de un placer que, a fuerza de ser idéntico, se hace otro, extraño, confuso, inaprensible, ¿es justo que el placer se deslice sobre el cuerpo como agua de lluvia, refrescante, súbita, en el calor tormentoso de un verano de descubrimientos infantiles, que resbale y se evapore, retenido no por el cuerpo mismo, poroso, olvidadizo, viviendo en la transparencia de lo efímero, del perpetuo presente, sino retenido por la red de las palabras, refinadas o impregnadas de brutal precisión, no importa, palabras de éter o de bruma que dan su consistencia real, comoquiera que sea, a los acontecimientos, no obstante materiales, de la carne?, pero apoyándose con los codos en el estante de este armario acristalado lleno de libros cuyos título intenta ahora recordar para expulsar de su espíritu, memoria, imaginación, como se quiera, las imágenes reavivadas por las palabras que las nombran, las palabras dichas a Mercedes en Soho, las palabras dichas a Fabienne en Formentor, en la calle de Bourdonnais, y cuya vertiginosa proliferación le haría irse demasiado rápidamente para su gusto, para apartar de sí la sustancia impalpable de imágenes evanescentes, pero de una pérfida y lacerante precisión que aceleraría el fin de este placer, del que, ahora, aquí, él solamente quiere saborear la duración, el calor, la fricción, la devoradora aspiración, siempre, hasta el fin de los tiempos, sino acodarse detrás, evadirse en el recuerdo irónico de Ovidio, ergo ubi concubitus et opus iuvenale petetur, había en el estante también un volumen de Hesíodo, recuerda, lechuza sabia de tinta negra sobre la portada parda, «que no te haga perder el sentido una mujer, con su grupa emperifollada;
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test