Translation for "maisons-tout" to spanish
Maisons-tout
  • casas-todas
  • casas de todos
Translation examples
casas-todas
Ils possédaient toute la terre, toutes les maisons, toutes les usines, tout l’argent.
Poseían toda la tierra, todas las casas, todas las fábricas y el dinero todo.
Les maisons, toutes vétustes, toutes en briques, s’étendaient sur la place et s’équilibraient le long des pentes.
Las casas, todas antiguas y de ladrillos, se extendían por la plaza del convento y se equilibraban por las laderas.
De l’autre côté, celui par lequel ils étaient arrivés, s’alignaient d’autres maisons. Toutes d’un calme absolu dans cette profonde tranchée de la nuit. « Où êtes-vous passés ?
Al otro lado, por donde habían venido, más casas, todas ellas silenciosas a aquella hora de la madrugada. -¿Dónde estáis? –murmuró-.
C’était Harlem qu’on traversait, avec ses maisons toutes pareilles les unes aux autres, ses blocs de briques sombres qu’enlaidissaient par surcroît, zigzaguant sur les façades, les escaliers de fer pour les cas d’incendie.
El barrio que atravesaban era Harlem, con sus casas todas parecidas entre sí, sus bloques de ladrillo obscuro que todavía lo hacían todo más feo y más sombrío, y, zigzagueando sobre las fachadas, las escaleras de hierro para incendios.
Il y avait une vingtaine de pas d’intervalle entre le grand barrage et les hautes maisons qui formaient le fond de la rue, en sorte qu’on pouvait dire que la barricade était adossée à ces maisons, toutes habitées, mais closes du haut en bas.
Había una veintena de pasos de intervalo entre la barricada y las casas que formaban el fondo de la calle, de modo que podía decirse que la barricada estaba adosada a estas casas, todas habitadas, pero cerradas de arriba abajo.
En bas, dans les rues, dans les maisons, toutes les conversations tournaient autour du grand soleil qu’on voyait désespérément se lever chaque matin et monter vite au plus haut, dans un ciel absolument vide et bleu, et qui le restait tout le jour.
Abajo, en las calles y casas, todas las conversaciones giraban en torno al enorme y desesperante sol que cada mañana veíamos alzarse y encaramarse enseguida a lo alto de un cielo completamente azul y raso que no variaba en todo el día.
« Tous ces villages dans lesquels on est passés, dans la jungle, ces gens qui vivaient de rien et sur lesquels on devait tirer, ces maisons, toutes fragiles, faites de paille et de bois, comme sur votre photographie, vous savez… Le feu dans ces maisons, les hurlements, les enfants qui s'enfuyaient, nus, sur les chemins, dans la nuit et les flammes… »
—Todas aquellas aldeas por las que pasamos, en la jungla, aquella gente que vivía con nada y a la que teníamos que disparar, aquellas casas, todas igual de frágiles, hechas de madera y paja, como la de su fotografía... El fuego devorándolas, los gritos, los niños que huían desnudos por los caminos, en medio de la noche iluminada por las llamas... —Se interrumpe.
BILLIE (qui ne répond pas tout de suite, qui cherche ses mots, qui devine sans le comprendre vraiment que son rôle à elle, que son seul vrai rôle à jouer, c’est maintenant, et que tout le reste, Camille, Rosette, Perdican, Dieu, Musset, Mme Guillet, le romantisme, la vie romantique, le théâtre romantique, les corniauds de leur classe, les graffiti qui puent, les messes basses qui tuent, les groupes de filles qui s’écartent quand elle s’approche, les insultes, les rumeurs, les crachats qui s’effilochent dans le vent, les groupes de garçons qui s’approchent de lui quand il s’écarte, les histoires avec le prof d’arts plastiques de l’année dernière, les mots qui dégueulassent tout et que personne n’oublie jamais, le brevet des collèges, la fin du collège, la sortie vers l’usine, les magasins tous fermés, les maisons toutes à vendre, le futur sans avenir, l’avenir sans espoir, le formulaire du RSA déjà tout prêt, la télé déjà allumée et tout ça, eh ben, c’est de la gnognotte comparé à ce qui la trouble maintenant – qui se tait, donc, et qui rassemble tout ce que sa vie de merde lui a transmis jusqu’ici, tout ce qu’elle a vu, vécu, subi et entendu aux Morilles et alentour, tout ce que lui ont appris de l’humanité ces gens sans foi, sans loi, sans fierté, sans morale, sans rien ;
BILLIE. (Que tarda un poco en contestar, que busca las palabras, que adivina sin entenderlo del todo que su papel, su único papel se desarrolla ahora mismo, y que todo lo demás, Camille, Rosette, Perdican, Dios, Musset, la señora Guillet, el romanticismo, la vida romántica, el teatro romántico, los cretinos de su clase, las pintadas asquerosas, los cotilleos en voz baja a sus espaldas que tanto duelen, los grupitos de chicas que se apartan cuando se les acerca, los insultos, los rumores, los escupitajos que se deshilachan al viento, los grupitos de chicos que se le acercan cuando él se aparta, lo que pasó con el profesor de artes plásticas el año anterior, las palabras que todo lo manchan y que nadie olvida jamás, el examen de fin de ciclo, el final de la enseñanza obligatoria, la fábrica como único destino laboral, las tiendas de su barrio todas cerradas, las casas todas en venta, el futuro sin porvenir, el porvenir sin esperanza, el formulario para el subsidio mínimo, la tele encendida tan pronto y todo eso, todo eso es una chorrada comparado con lo que ahora la turba; que calla, pues, y que reúne todo lo que su vida de mierda le ha transmitido hasta ahora, todo lo que ha visto, vivido, sufrido y oído en las Morilles y alrededores, todo lo que de la humanidad le ha enseñado esa gente sin fe, sin ley, sin orgullo, sin moral, sin nada;
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test