Translation for "john" to spanish
Translation examples
juan
Ils parlaient de John !
¡Estaban hablando de Juan!
C’est moi qui ai tué John Barkley.
Yo maté a Juan Barkley.
Revenons à John le Baptiste.
Volvamos a Juan el Bautista.
— Tu n’as pas tué John Barkley, insista-t-il.
—Tú no mataste a Juan Barkley.
— Parlez-moi de ce John le Baptiste, reprit-elle.
Háblame de Juan el Bautista.
L’histoire de Duntz concernait un père et son fils que nous nommerons ici John Senior et John Junior.
La de Duntz hacía referencia a un padre e hijo que llamaremos Juan el Viejo y Juan el Chico.
Vous n’avez pas tué John Barkley.
Usted no mató a Juan Barkley.
Parlons franc, ami John.
Hablemos con franqueza, amigo Juan.
— Eh bien, John, la chose sera faite.
—Y bien, Juan, la cosa se hará.
Ann s’y rendait dès que la pièce s’éclairait, alors que John s’activait déjà paisiblement dans la cuisine.
Ann despertaba a medida que el cuarto se iluminaba e iba a uno de los lavabos. John ya estaba en la cocina, moviéndose en silencio.
Où est-il caché ? Pearl tourna les yeux vers le vilain, le méchant John qui se tenait, accablé et glacé, près du broc à eau blanc sur la table de toilette.
¿Dónde está escondido…? Pearl volvió a mirar al malévolo John, aturdido y paralizado junto a la blanca jofaina del lavabo.
Mais sa progression fut stoppée, et il dut se pencher au-dessus d’un consommateur pour taper sur l’épaule de Rebus. — John, il faut que j’aille… Il indiquait la direction des toilettes à côté de la scène. — À toute.
Pero se detuvo, y se inclinó por encima de otro bebedor para tocar el hombro de Rebus. —John, solo voy… —Movió la cabeza en dirección a los lavabos que estaban a un lado del escenario—.
John se pencha pour laisser le sang s’égoutter dans le lavabo. Il trempa un gant de toilette dans l’eau froide qui coulait du robinet et tamponna l’éraflure qu’il avait sur le côté de la tête, là où ses cheveux commençaient à être clairsemés.
Inclinado sobre el lavabo, para que goteara la sangre, John mojaba un paño en agua fría y lo aplicaba a la desolladura de dos dedos de largo que tenía a un lado de la cabeza, donde empezaba a aclarársele el pelo.
Bon, Brian Mooney était là (toujours la baraka de Johnnie) et il nous loua une chambre – deux cents dollars la nuit, ce qui n’était pas donné pour une taule avec vue sur la contre-allée et chiottes au bout du couloir.
Bien, Brian Mooney estaba ahí -nuevamente la suerte de Johnnie- y conseguimos una habitación para pasar l noche, aunque no costó doscientos dólares, que era muchísimo, considerando que la vista daba a un callejón y que el lavabo estaba al final de la estancia.
Est-ce que le docteur, honteux, se glissait dans les lavabos pour se faire une piqûre ?… Est-ce que John avait une nouvelle compagne qui attendait le moment de s’étendre sur son lit tandis qu’il la regarderait, les yeux globuleux, le verre à la main, assis dans son fauteuil où il finirait par s’endormir ?…
Y el médico de los bichos, ¿se escurría, avergonzado, hacia los lavabos para inyectarse? ¿Tendría John una nueva acompañante que esperaba el momento de acostarse en su cama, mientras él la miraba con ojos saltones y una copa en la mano, sentado en su sillón, donde acabaría durmiéndose?
Sauf qu’il est trop tard, y a de l’huile laissée par un pied ou du soda renversé, ou de la pisse froide ramenée des toilettes, bref, quelque chose a imbibé le chien en peluche et brouillé les noms de Liza Minnelli et d’Olivia Newton-John.
Pero es demasiado tarde, y la loción que alguien llevaba en los pies, o bien algún refresco derramado, o bien los meados fríos traídos a rastras del lavabo, algo ha empapado el perro de peluche y ha emborronado los nombres de Liza Minnelli y Olivia Newton-John.
Même si je l’avais déjà entendue parler d’eux, je me rendais compte maintenant, avec un petit choc, qu’il s’agissait de Joan Didion et de John Gregory Dunne. Voilà quels étaient les amis intimes de Carolyn, les gens dont les tribulations ordinaires – travaux de salle de bains et avions ratés – constituaient le sujet de ses bavardages. « Qui est cette femme ?
Yo la había oído hablar de Joan y John anteriormente, pero aquel día, impresionada, caí en la cuenta de que hablaba de Joan Didion y John Gregory Dunne. Aquellos escritores, de quienes contaba sus tribulaciones más corrientes —la reforma del lavabo, la pérdida de un vuelo—, eran amigos íntimos de ella. —¿Qué sabes de Carolyn?
Elle découvrit les salles de répétition toutes proches, sous la salle d’exposition du marchand de pianos, où des interprètes légendaires comme John Ogdon et Cherkassky travaillaient gammes et arpèges dans un bruit de tonnerre pendant des matinées entières, avec le même acharnement que les étudiants de première année. Wigmore Hall devint pour elle une sorte de second foyer – elle se sentait propriétaire du moindre recoin sombre et délabré, même de l’escalier glacial en béton par lequel on descendait aux toilettes.
Ella descubrió la sala de prácticas, en la puerta contigua, debajo del salón de pianos, donde pianistas legendarios como John Ogdon y Cherkassky atronaban el aire toda la mañana con sus escalas y arpegios, como estudiantes dementes de primer año. El Wigmore se convirtió en una especie de segundo hogar; se sentía posesiva con respecto a cada rincón sombrío y vulgar, y hasta con los escalones de cemento que bajaban a los lavabos.
Il était le protagoniste mystérieux, l’homme de paille, le bouc émissaire, le tueur à gages, une pièce d’un mécanisme ou d’un réseau dont les fils s’étendaient jusqu’à l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy à Dallas, « une machine à tuer sophistiquée » avait dit, lors d’une émission de télévision, un personnage aux manières de pédé et à la voix aiguë de nain, un écrivain apparemment spécialiste du crime : il existait une organisation qui imposait à ses tueurs un entraînement intensif et un lavage de cerveau pour leur faire supprimer l’un après l’autre des personnages publics ;
Él era el protagonista misterioso, el hombre de paja, el chivo expiatorio, el asesino a sueldo, una pieza en un engranaje o en una malla que extendía sus hilos al asesinato en Dallas de John F. Kennedy, «una sofisticada máquina de matar» había dicho en un programa de la televisión un sujeto con ademanes de marica y voz aguda de enano, un escritor al parecer experto en crímenes: había una organización que entrenaba intensivamente a sus ejecutores y les lavaba el cerebro para que mataran uno tras otro a personajes públicos;
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