Translation for "gibus" to spanish
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Maigre et efflanqué, il portait un gibus et une cape sur son habit de soirée.
Era delgado y enjuto, y encima del traje llevaba una capa y un sombrero de copa.
– Mon grand-père avait un gibus dans son armoire, raconta le discret porteur de lunettes de soleil, prenant la parole pour la première fois.
«Mi abuelo guardaba un sombrero de copa plegable en el armario», explicó el señor discreto de las gafas de sol, que todavía no había intervenido nunca.
Le portier de l’Hôtel d’Espagne, un géant de couleur resplendissant dans une tunique bleu pâle accompagnée d’un pantalon blanc et d’un gibus noir, s’avança l’air digne lorsque Frost arrêta la TR 7.
El portero del hotel Spanish Bay, un gigante negro, resplandeciente en su uniforme celeste, pantalones blancos y sombrero de copa negro, se adelantó majestuoso cuando Frost detuvo su TR 7.
Tous ces vêtements fripés dans lesquels on dormait, on se vautrait dans la paille pour des siestes de désespoirs personnels, on faisait les corvées d'eau et de tinettes, habillaient les membres d'une société qui gardait ses gibus, ses catogans, ses anglaises, ses casquettes de voyages et ses fausses rondeurs de gestes.
Esas ropas ajadas con las que dormían, con las que se revolcaban en la paja en largas siestas llenas de desesperación personal, con las que se hacían los servicios de agua y de retrete, vestían a los miembros de una sociedad que conservaba sus sombreros de copa, sus coletas, sus tirabuzones, sus gorras de viaje y sus gestos pretendidamente elegantes.
Un vieux bonhomme aux yeux torves avec une barbe d’un pied de long et un pilon reste derrière avec un pedzouille à moustache toute fine coiffé d’un gibus cabossé et, tandis que Belle retourne à sa coiffeuse pour attacher le rubis à sa joue, ils s’approchent pour le hisser hors du lit.
Un viejo de torva mirada con barba de treinta centímetros y pata de palo se queda allí con un palurdo de bigote fino y sombrero de copa arrugado, y mientras Belle vuelve al tocador a prenderse el rubí en la mejilla, se acercan a levantarlo de la cama.
Tous portent des vêtements des années trente ou à la mode il y a encore plus longtemps, et en outre des couvre-chefs qui ne siéent absolument pas à leurs tenues – bonnets d’aviateur, casquettes à visière, gibus, protège-oreilles, bandeaux croisés sur le front et bonnets de laine tricotés main.
Todas ellas llevan vestidos de los años treinta o modas aún más antiguas, y se cubren la cabeza con tocados que no casan en absoluto con sus trajes: gorras de aviador o de visera, sombreros de copa, monteras con orejeras, cintas cruzadas en la frente y gorras de lana hechas a mano.
Il touche le bord de son Stetson pour leur rendre leur salut, serre sa carabine armée dans son autre main, pas encore très sûr des véritables intentions de ces hommes. Ils traînent un type corpulent au visage rouge avec un gibus cabossé et un costume trois-pièces vers un gibet qu’on est encore en train de construire au milieu de la rue poussiéreuse.
Se toca el borde del sombrero para responder, apretando con la otra mano el fusil amartillado, aún no muy seguro de las verdaderas intenciones de esos tipos. Llevan a rastras a un hombre rollizo de cara roja con un arrugado sombrero de copa y traje con chaleco hacia un cadalso sin erigir del todo en medio de la calle polvorienta.
Dis, Gaston… Regarde… Nous sommes rue Puits-en-Sock… Je suis peut-être saoul, mais je la reconnais, car c’est la rue des Mamelin et là-bas, où il y a un gros gibus rouge au-dessus de la porte, c’est chez mon grand-père… À côté, c’est chez Gruyelle-Marquant… Tu crois que tu sais des tas de choses et tu ne sais rien du tout… Veux-tu que je te dise ?
Dime, Gaston… Mira… Estamos en Puits-en-Sock… Quizás esté borracho, pero la reconozco porque es la calle de los Mamelin, y allí, donde hay un gran sombrero de copa rojo sobre la puerta, es la casa de mi abuelo… La de al lado es la de los Gruyelle-Marquant… Crees saber un montón de cosas y no sabes nada… ¿Quieres que te lo explique?
Rabbit se souvient encore du temps où cette enseigne était un Mister Cacahuète géant, le doigt pointé vers un magasin tout en longueur où des cacahuètes salées s’étalaient dans de petites vitrines, noix du Brésil, noisettes et noix de cajou entières meilleur marché que celles en morceaux, un secteur formidable le canton de Diamond pour le commerce des noix, pas tellement formidable n’empêche, le magasin avait fait faillite. Sa carcasse avait été démantelée puis agrandie de moitié pour accueillir un night-club et l’enseigne avait été repeinte, conservant le gibus, mais transformant Mister Cacahuète en un fêtard affublé d’une cravate blanche et d’une queue de pie.
Conejo recuerda los tiempos en que la indicación era un Mister Peanut[4] gigantesco señalando hacia una tienda baja en donde urnas de cristal contenían cacahuetes salados, nueces de Brasil y avellanas, y en donde se vendían a precio más barato anacardos enteros o incluso partidos; Diamond County era una zona magnífica para los frutos secos pero no hasta ese punto: la tienda quebró. Su estructura fue demolida, se dobló su tamaño y se convirtió en un night club; el cartel fue pintado de nuevo, conservando el sombrero de copa pero sustituyendo a Mister Peanut por un muñeco con frac y corbatín blanco.
Une grande baie de trois fenêtres à quatre vitres donne sur le cœur endormi de la ville : là où jadis les néons d’une botte, d’une, cacahuète, d’un gibus, et d’un tournesol géant coiffaient Weiser Square de leurs guirlandes publicitaires, seuls maintenant les projecteurs de la banque locale, la Brewer Trust, braqués sur la façade de granit, signalent le centre de la ville, quatre immenses piliers pareils à quatre doigts blancs plongés dans une somptueuse pâte noire, la plaque sombre des arbres plantés sur l’aire du pseudo-centre commercial. De ce centre, le cœur de la ville, les lampadaires à sodium qui éclairent toutes les rues divergent, trame rectilinéaire qui s’estompe à mesure qu’elle s’éloigne vers la courbe du fleuve pour, au-delà, s’enfoncer dans les quartiers périphériques dont la lueur s’aplatit jusqu’à rejoindre un horizon avalé par des collines qui se fondent aux nuages de la nuit.
Un gran mirador de tres ventanas con cuatro cristales cada una domina el mortecino corazón de la ciudad: donde el neón perfilaba antaño la forma de una bota, un cacahuete, un sombrero de copa, y un gran girasol formaban una guirnalda de anuncios sobre Weiser Square, ahora sólo los almenares de Brewer Trust, enfocados sobre su propia fachada de granito, señalan el centro urbano, cuatro grandes columnas como cuatro dedos blancos hundidos en un delicioso pastel negro, el oscuro retazo que componen los árboles plantados en el llamado paseo comercial. Las habituales farolas amarillas de sodio de las calles se extienden hacia fuera, como una red rectilínea que retrocede cuesta abajo hacia el río sinuoso y llega a los suburbios, cuyo resplandor se aplana hasta un horizonte devorado por colinas que se mezclan con las nubes nocturnas.
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