Translation for "gentille" to spanish
Translation examples
On est gentil avec eux, et eux aussi sont gentils.
Son amables con ellos, y ellos también son amables.
Tu étais gentil avec les enfants, tu étais gentil avec elle.
Eras amable con las niñas y eras amable con ella.
“Les gens doivent être gentils, vraiment gentils, gentils tout plein.”
—Las personas son amables, amables, amables
Il a été gentil, si gentil, Scarlett.
Era amable, muy amable, Scarlett.
Sois gentil, sois gentil, par pitié !
amable, por favor, sé amable.
Et M. le curé, il est gentil avec vous? – Très gentil.
Y el señor cura, ¿es amable con vosotros? —Muy amable.
Les parents de Tamara sont gentils, très gentils même.
Los padres de Tamara son amables. Muy amables.
— C’est… très gentil. « Très gentil ? » Tue-le !
—Es usted… muy amable —¿Muy amable? ¡Mátalo!
— Merci. C’est gentil. — Non, ce n’est pas gentil.
—Gracias, es muy amable por su parte. —No, no es muy amable por mi parte.
Elle était gentille.
estaba siendo amable con ella;
— Je suis le gentil.
—Yo soy el buen tipo.
C’était un gentil garçon.
Era un tipo muy agradable.
— Elle est gentille. Mais ce n’est pas mon genre.
—Una chica simpática, pero no es mi tipo.
Quel gentil garçon !
¡Qué tipo tan estupendo!
— Un type d’une gentillesse folle.
—Era un tipo muy simpático.
Et c’était un si gentil
Además era un tipo tan agradable...
Tu as pourtant l’air gentil.
No pareces del todo mal tipo».
Donfrey était un type gentil.
Donfrey era un buen tipo.
Aaron est un gentil garçon.
Aaron es un buen tipo.
C’était un type sans malice, gentil.
Él era un tipo simpático y sin malicia.
Il fut soulagé mais dérouté par la gentillesse de ces propos.
—Se sintió aliviado, pero también un poco desconcertado, por aquella clase de preguntas—.
Si vous êtes gentils, je vous mettrai en première classe.
Si os portáis bien, os paso a primera clase.
J’ai parlé avec l’un d’eux, très gentil et poli, qui m’a fait des compliments sur mon niveau.
Fue muy simpático y me felicitó por mis intervenciones en clase.
or, je ne correspondais pas à l’image de la « gentille fille de classe moyenne ».
Yo no encajaba con las «chicas monas de clase media».
Andrew l’a remerciée pour sa gentillesse et a repris son cours.
Andrew le dio las gracias por su gentileza y siguió con la clase.
Je n’ai aucune admiration pour ce genre d’arrangement mais il est comme ça – plutôt faible et très gentil.
No admiro esa clase de tratos, pero el muchacho es así…, un poco débil y muy dócil.
especie
Ils m’ont l’air plutôt gentils.
Parecen una especie tan agradable...
Ses paroles étaient dures mais il dévisageait Jack avec une espèce de gentillesse attendrie.
Sus palabras eran bruscas, pero miró a Jack con una especie de velada bondad.
Il y avait de la joie de vivre en lui et une sorte de tendresse qui n’avait rien à voir avec la simple gentillesse.
Tenía una alegría de vivir y una especie de ternura no contaminada por la mera delicadeza.
Voilà pourquoi je t’aime, grand scélérat !... » Et elles accompagnent ces espèces d’aveux, de minauderies, de gentillesses, de...
Por eso te amo, tunantón.» Y acompañan esta especie de confesión de mimos, de niñerías, de...
Mais Fahdi avait des points forts – une espèce de gentillesse et, bien évidemment, ses muscles. Ils appelèrent un taxi.
Pero Fahdi tenía virtudes: una especie de bondad y, naturalmente, su fuerza muscular. Pidieron un taxi.
Elle le reconnaissait à une espèce de gentillesse affectée sous quoi Querelle n’arrivait pas à dissimuler son impatience.
Ella lo reconoció con una especie de gentileza afectada bajo la cual Querelle no llegaba a disimular su impaciencia.
Il croyait avoir reconnu en M. Aleksandre un tireur véritable et lui faisait toute sorte de gentillesses et de passe-droits.
Creía haber identificado en el señor Alexandr a un tirador de verdad y tenía para él todo género de gentilezas y favores.
Une trouvaille de ce genre le mettait en belle humeur, et il faisait des gentillesses et des gambades d’éléphant, à travers les meubles, autour du salon.
Un hallazgo de este género le ponía de buen humor, y daba saltos y zancadas de elefante por entre los muebles alrededor del salón.
Il faudrait quelque chose de ce genre, ou telle pensée enjouée, gentille ou tendre, dans le genre de “Père Adam était un bloc de terre”
Haría falta alguna cosa de este género, o algún pensamiento divertido, gentil o tierno, parecido al de «El Padre Adán era un bloque de tierra», o aquel que data del último año: «A la luz de la luna, en el Paraíso», dos de los más preciosos pensamientos de Dios.
Vous serez gentille ? » Elle tourna la tête et fit signe que oui. Un contact métallique, glacial, contre sa peau ; le souffle d’un couteau qui tranche l’étoffe, et ses bras furent libérés. Puis ce fut le tour des jambes.
¾Te portarás bien? Dio vuelta la cabeza hacia donde provenía la voz y asintió. Sintió el frío del acero contra su piel y el rasguido de un género al ser cortado y sus brazos quedaron libres. Después sus piernas.
Mais l’image qu’en donna Greenpeace – celle d’un créateur de pollution, monstrueux, géant et rouillé, qui chassait les gentils militants verts vrombissant autour de lui comme des moustiques acharnés – captiva l’attention du public et lui donna une occasion opportune et unique de s’arrêter pour réfléchir à la proposition.
Pero la imagen que generó Greenpleace —la de un enorme generador de contaminación, deforme y oxidado, que resistía los embates de los ecologistas buenos que lo atacaban como mosquitos porfiados— atrapó la atención de la gente y les dio una ocasión oportuna y rara de detenerse a pensar sobre la propuesta.
Doc, il y a ce groupe de délinquants juvéniles qui semblent vivre sur un perron à quelques maisons d’ici (je ne veux pas parler de délinquants juvéniles bidons, ceux-ci ne sont pas de gentils jeunes gens sortis de West Side Story, ces gars vous arracheraient les yeux pour un rien) et quand je suis rentré ce soir, eh bien, d’habitude ils se moquent de moi et qu’est-ce que ça fait, ils trouvent que je suis un emmerdeur, et alors, et ce soir quand je suis passé près d’eux, je pensais qu’avec le sang et tout j’aurais droit à un peu de respect et tu sais quoi ?
Doc, creo haberte hablado ya de un grupo de delincuentes juveniles, que al parecer viven en una escalera a unas pocas puertas de la casa en donde vivo (no me refiero a esos adocenados delincuentes juveniles que parecen sacados de West Side Story, estos son de cuidado, capaces de rebanar la nuez a su abuelito, el día de su santo). Pues bien, cuando vuelvo a casa todas las noches, esos críos suelen abuchearme y burlarse de mí, llamándome pasmado, atontado y otros calificativos del mismo género, pero yo no les hago caso y paso de largo.
si la France l’a connue aussi au XIXe, après des siècles de préliminaires et d’affrontements meurtriers et fratricides, comme il se doit, car ce sont les batailles des fratries qui fondent l’idée paternelle de la patrie, lorsque les héritiers légitimes des Jacobins – Thiers n’était rien d’autre, rien d’essentiel, du moins – ont écrasé en 1871 les Communards, nous, Espagnols, par contre, n’avons connu ce genre de guerre civile-là, qui tranche le nœud gordien de l’histoire, longtemps enchevêtré, et fonde la modernité, nous ne l’avons connue qu’au XXe siècle, il n’y a guère, avec un retard qui rend d’emblée anachronique cette modernité-là, qui la marque de traits archaïques, retard qui permet aux descendants policés d’un siècle de massacres impitoyables en France, par exemple, aux descendants des septembriseurs et de la Terreur blanche, parfumés aujourd’hui à la lavande des droits de l’homme, qui les autorise, croient-ils, à nous regarder de bien haut, se pinçant le nez entre leurs doigts délicats, dégoûtés, ô hypocrites oublieux, par la cruauté de l’Espagne – mais enfin, l’Espagne, n’en déplaise à la gentillesse de Valéry Larbaud, ne peut être la seconde patrie de personne, pas même des Espagnols…
si bien Francia la conoció también en el siglo XIX, tras siglos de preliminares y de enfrentamientos mortales y fratricidas, como debe ser, pues son las batallas de las fratrías las que fundan la idea paternal de la patria, cuando los legítimos herederos de los jacobinos —no otra cosa, no otra cosa esencial al menos, era Thiers— aplastaron en 1871 a los comuneros, nosotros, los españoles, por el contrario, no hemos conocido ese género de guerra civil, que corta el nudo gordiano de la Historia, durante largo tiempo enredado, y funda la modernidad, no la hemos conocido hasta el siglo XX, no hace mucho, con un retraso que ya de entrada hace anacrónica esa modernidad, que la marca con rasgos arcaicos, retraso que permite a los civilizados descendientes de un siglo de matanzas implacables en Francia, por ejemplo, a los descendientes de los septembristas y del Terror blanco, perfumados hoy con la lavanda de los derechos del hombre, que les autoriza, creen, a miramos por encima del hombro, tapándose la nariz con sus delicados dedos, remilgosos, hipócritas olvidadizos, a quienes repugna la crueldad de España…, pero, en fin, España, no obstante la gentileza de Valery Larbaud, no puede ser la segunda patria de nadie, ni siquiera de los españoles…
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