Translation for "garré" to spanish
Translation examples
me demanda-t-il sans crier gare. Aussitôt, j’eus honte. — Esmé m’en veut-elle beaucoup ?
Me sentí avergonzado en cuanto me hizo la pregunta. —¿Esme está muy disgustada conmigo?
Cela me gênait de débarquer comme ça du ciel, sans crier gare.
Me sentí avergonzado por entrometernos de aquella manera y aparecer de repente llovidos del cielo.
Puis, embarrassée, elle resta debout près de la voiture, à regarder la gare, mains enfoncées dans les poches de son imper.
Luego, avergonzada, se quedó fuera de la camioneta, mirando hacia la estación, con las manos metidas en los bolsillos del abrigo.
— Vous voulez des réponses ? vous en avez assez des questions ? s’enquiert Executor en souriant. Il est partagé entre le plaisir et le désagrément de se retrouver impliqué dans une histoire qui leur est tombée dessus sans crier gare.
–¿Quieren respuestas o basta con las preguntas? – inquiere Verdugo sonriente, un poco avergonzado de querer y no querer involucrarse en la historia que sin pedir- les permiso ya los encarceló.
Il possédait aussi une Porsche flambant neuve dont il avait fait l’acquisition, avec une certaine gêne, au tarif diplomatique et qu’il avait garée, malgré la virulente désapprobation de l’ambassadeur, dans le parc de stationnement de l’ambassade.
Además, era dueño de un Porsche alemán que acababa de estrenar, coche que había comprado, algo avergonzado, a precio diplomático y aparcado, pese a la estrepitosa desaprobación del embajador, en el aparcamiento de la Embajada.
« Je ne sais pas de quelle nation ils parlent, mais ce n’est pas la mienne, lui dit un ami à qui il était venu dire au revoir à la gare. Ce n’est pas non plus la tienne, même si tu n’as pas le courage de partir la défendre. » Mataix rentra chez lui honteux.
«No sé de qué nación hablan, pero no es la mía —le dijo un amigo al que acudió a despedir a la estación—, y tampoco la tuya, aunque no tengas el valor de salir a defenderla». Mataix regresó a su casa avergonzado de sí mismo.
Honteuse, je m’étais aussitôt ressaisie, mais ce compliment était resté là, intact, dans ma tête, et il y était encore, à la gare, sur le quai, tandis que je plaçais les bagages dans notre compartiment et que tous deux se parlaient par la fenêtre, jusqu’à la dernière minute.
Yo me recuperé enseguida, avergonzada, pero el cumplido ahí se había quedado, intacto en mi cabeza, y allí siguió, en la estación, en el andén, mientras colocaba el equipaje en el compartimento y ellos seguían hablándose por la ventanilla, hasta el último minuto.
Un détective vétéran de l’agence faisait son rapport à Bell, d’un ton embarrassé, lorsqu’un de ses collègues arriva en courant. — Isaac ! Le patron demande que vous l’appeliez en longue distance depuis le bureau privé du chef de gare. Veillez à être seul dans le bureau. — Vous êtes bien seul ? demanda Van Dorn au téléphone quelques minutes plus tard.
Un veterano detective de Chicago estaba informando avergonzado cuando otro entró corriendo. — ¡Isaac! El viejo dice que lo llames desde el despacho privado do del jefe de estación. Y que te asegures de que estás solo. Bell hizo lo que le dijo. — ¿Estás solo? —preguntó Van Dorn.
Mais, lorsqu’il s’aperçut que des malheureux venaient mendier à chaque gare et qu’ils étaient réellement réduits à la mendicité par la guerre, il prenait soin, avant chaque halte, de se munir de tout un stock de petite monnaie et, d’un air embarrassé et tout en se moquant de sa faiblesse à l’égard de ces imposteurs, il distribuait tout ce qu’il avait dans les poches.
Su empresa podía estar segura de que no le cargaría un céntimo más de lo que había gastado, pero al ver la cantidad de pobres que acudían a mendigar por las estaciones en que se detenía el tren, y viendo el mísero estado en que la guerra les había sumido, cuidaba de echarse en el bolsillo antes de cada parada cierta cantidad de monedas, mientras que decía, un poco avergonzado de su caridad y como burlándose de sí mismo al dejarse engañar por los falsos mendigos:
Joss s’adossa à sa chaise, décontenancé, comme lorsqu’une lubie ou un rêve vous abandonne d’un coup sans crier gare.
Joss se apoyó en su silla, desconcertado como cuando una quimera o un sueño nos abandona sin avisar.
Des centaines de gamins avec leur petite étiquette, leur masque à gaz et leur valise, et les mères qui avaient changé d’avis, qui accouraient à la gare, hurlaient aux gardes de laisser repartir leurs enfants.
Todos con nuestras tarjetas de identificación, nuestras caras desconcertadas y nuestros equipajes. Las madres, arrepentidas, corrieron a la estación para pedir a gritos al guardia que les permitiera bajar a sus hijos;
Qu’est-ce que je peux dire de cette fille, juste avant que le chauffeur de la colonie n’arrête sa voiture devant la gare, qu’elle s’y précipite après avoir embrassé rapidement sa mère pour prévenir sa volonté manifeste de monter aussi, laissant celle-ci décontenancée sur le trottoir, le navrement répandu sur sa figure dépoudrée par le voyage ?
¿Qué puedo decir de esa chica, justo antes de que el chófer de la colonia pare frente a la estación el coche en el que ella se monta corriendo después de besar a toda prisa a su madre para evitar que se suba también, dejándola desconcertada en la acera, con el desconsuelo reflejado en su rostro cuarteado por el viaje?
La valise dans une main et le chapeau dans l’autre, il reste un peu étourdi tandis que le train se remet en marche avec lenteur, déconcerté de ne voir personne, craignant de s’être trompé de gare malgré toutes les précautions prises, confronté à l’ampleur et à la solitude de la rive du fleuve, au silence de la forêt qui s’impose dès que le train a disparu.
Se queda algo aturdido mientras el tren se pone de nuevo en movimiento con lentitud, la maleta en una mano, el sombrero en la otra, desconcertado al no ver a nadie, temiendo haberse equivocado de estación, a pesar de todas las precauciones, confrontado con la amplitud y la soledad de la orilla del río, con el silencio del bosque que se impone en cuanto el tren ha desaparecido.
Du coin de l’œil, elle aperçut également l’homme et l’enfant qui roulaient vers le caniveau, la camionnette qui braquait brutalement à droite, la gardienne du carrefour hébétée qui lâchait sa pancarte, la camionnette qui ricochait contre une voiture garée de l’autre côté de la rue, l’homme et l’enfant qui s’immobilisaient près du trottoir, la camionnette qui se renversait et dévalait la côte dans une cascade d’étincelles jaunes et bleues – mais durant tout ce temps, son attention resta focalisée sur cette tennis qui voltigeait, se découpant sur le ciel bleu, qui se stabilisait au point culminant de sa course durant un instant interminable, puis se remettait à tourbillonner et commençait à redescendre.
En un segundo término era consciente del niño y el hombre rodando hacia la cuneta, del camión desviándose bruscamente hacia la derecha, de la desconcertada guardia urbana dejando caer la señal de stop en forma de paleta, del camión rebotando contra un coche aparcado en la calle, del hombre y el niño deteniéndose en el bordillo, del camión volcado deslizándose cuesta abajo entre cascadas de chispas amarillas y azules; pero, en todo momento, su atención permaneció esencialmente fija en aquel zapato que giraba hacia arriba, hacia arriba, en el aire, recortándose contra el cielo azul, quedando suspendido en la cúspide de su vuelo por un espacio de tiempo que le pareció una hora, para luego bajar lentamente, muy lentamente.
Il reculerait seulement s’il avait quarante ans de moins et qu’il était un enfant, un enfant très peureux, qui n’aime pas trop parler, avec des cheveux raides et blonds, et qui, tout juste descendu d’un train à la gare de Barrancas de Belgrano, croisait un homme plus âgé que lui en train de tordre une casquette entre ses mains et de lui dire à brûle-pourpoint la même chose que le garçon au sweat à capuche, puis lorsque lui, complètement décontenancé, lui répond que non, qu’il n’aimerait pas, l’autre insiste à nouveau, et tandis qu’il observe dans toutes les directions, avec des yeux avides de rongeur noyé, histoire de ne pas rater une éventuelle autre proie, tout en espérant encore persuader celle qui est en train de lui résister, il lui demande avec une extrême amabilité, presque en le suppliant, s’il n’aurait pas quinze ou vingt minutes de son temps à lui consacrer.
Retrocedería si tuviera cuarenta años menos y fuera un chico, un chico asustadizo, de pocas palabras y pelo lacio y rubio y, recién bajado de un tren en la estación Barrancas de Belgrano, se cruzara con un hombre mayor que estruja una gorra negra entre las manos y le dice a boca de jarro la misma frase que el muchacho de buzo, y cuando él, completamente desconcertado, contesta que no, que no le gustaría, arremete de nuevo, y mientras mira con sus ávidos ojos de roedor ahogado hacia todas partes, cosa de no perderse una posible presa por seguir porfiando en hacer caer a la que se le resiste, le pregunta con una amabilidad extrema, casi suplicando, si no tendría quince o veinte minutos de su tiempo para darle.
turbado
sans doute s’était-il dirigé vers la gare. « Je me demande pourquoi cette précipitation. » Luke était évidemment troublé et ennuyé ; quant à Edna, elle se demandait s’il avait une mission de Scotland Yard à Doncaster.
Sin duda tomó alguno de los tranvías que iban a la ciudad. —¿Qué urgencia será esa? Luke estaba notoriamente turbado y molesto, y lo único que podía preguntarse la joven era en qué consistía exactamente la misión de éste en Doncaster.
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