Translation examples
Nous étions, littéralement et figurativement, dans le même bateau.
Los dos estábamos literal y figuradamente en el mismo barco.
Je n’avais pas fait tout ce chemin pour discuter des défauts et des avantages de la vie en prison ou pour donner, figurativement parlant, une petite tape dans le dos de Sylvester Fulgoni.
No había recorrido tantos kilómetros para discutir los pros y los contras de la vida carcelaria ni para darle figuradamente una palmadita en la espalda a Sylvester Fulgoni.
Mais c'était finalement pour le mieux, car l'une de ces dames, Veda Dyer, en vint à s'animer à tel point en parlant du feu, c'est-à-dire de la damnation, que je me sentis obligé de sortir mon Calvin et de lire le passage sur le sort des réprouvés, qui explique que leurs tourments nous sont "décrits figurativement par des phénomènes physiques" tels que les flammes inextinguibles afin d'exprimer "comme il est malheureux de se retrouver privé de tout lien avec Dieu".
Pero incluso aquello fue para bien, puesto que una de las mujeres, Veda Dyer, entró en un estado de considerable excitación hablando de las llamas, es decir, de la perdición, de modo que me vi obligado a abrir los Institutos y leerles el pasaje sobre el destino de los réprobos, sobre que sus tormentos «nos son expresados figuradamente mediante fenómenos físicos», el fuego eterno y demás, para darnos a entender «lo espantoso que es estar separado de toda compañía de Dios».
Si un nombre croissant de responsables dans chaque ville ne pouvaient pas me trouver avant l’heure du déjeuner, ils avaient reçu la consigne de mon éditeur d’alerter le détective de l’hôtel où je me trouvais pour ouvrir la porte de ma chambre – et si j’avais mis la chaîne ou bloqué une chaise sous le loquet, ils étaient autorisés à la « défoncer » – pour s’assurer que j’étais encore vivant et, bien sûr, j’étais toujours encore vivant (littéralement, sinon figurativement), mais tellement parti que les gens des relations publiques devaient me porter sur leur dos de la limousine à la station de radio, à la librairie où j’entamais ma lecture effondré sur une chaise, marmonnant dans le micro, pendant qu’une libraire nerveuse se tenait près de moi pour claquer les doigts sous mon nez au cas où j’aurais tourné de l’œil (et parfois pendant les signatures, elles me tenaient la main, la guidant pour dessiner un nom reconnaissable quand je n’avais qu’une envie, c’était de faire une croix).
Si el número creciente de cuidadores designados en cada ciudad no daban conmigo a la hora del almuerzo, tenían instrucciones de la editorial de ordenar al detective del hotel donde me alojase que abriera la puerta de mi habitación —y si había pasado la cadena o colocado una silla contra el picaporte, debía «entrar a patadas»— para asegurarse de que seguía vivo y, por supuesto, yo siempre seguía con vida (literal, no figuradamente) pero tan hecho polvo que los relaciones públicas tenían que llevarme a cuestas de la limusina a la emisora de radio y a la librería, donde iniciaba la lectura desmoronado sobre una silla, farfullando ante un micrófono, mientras el empleado de turno permanecía de pie junto a mí, muy nervioso, listo para chasquear los dedos ante mis narices si me dormía (y a veces, mientras dedicaba libros, el empleado me sostenía la mano guiándola para hacer una firma reconocible cuando yo lo único que quería escribir era una X).
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