Translation for "est sans utilisation" to spanish
Est sans utilisation
Translation examples
De toutes les cicatrices, il en est une survenue la dernière. Qui est la plus intacte. Elle est utile, et elle est utilisée.
Es la última de las cicatrices que ha surgido. La más intacta. Es útil, y la usa.
— Je pense avoir déjà rencontré peripety. Mais ce n’est pas vraiment de la langue courante et je ne crois pas que cela serait fort utile à Mowett.
–Me parece que he visto la palabra peripety, pero casi no se usa en el lenguaje corriente, y no creo que le aclare nada a Mowett.
Dana avait déjà entendu parler de ce genre d’utilisation des prismes, mais le plus souvent c’était pour chercher à justifier des actions en montrant qu’on aurait pu faire bien pire.
Dana sabía de gente que usa prismas de maneras parecidas, pero normalmente se trataba de alguien que justificaba sus acciones señalando que otros habían hecho cosas peores.
Et que le soussigné présentera un mémoire en défense invoquant sa vue basse car il ne voulait pas toucher le fugitif à la jambe, qui est toujours utile, mais à l’entrejambe, lequel ne sert qu’épisodiquement.
Y que el infrascrito presentará pliego de descargos basándose en su mala vista, pues no pretendía alcanzar al fugitivo en una pierna, siempre útil, sino en el pubis, que sólo se usa de vez en cuando.
Ils s’esclaffent à la piquance* de ces mots*, et goûtent au vin tandis que le Pair imbécile se dirige vers son destin, – c’est alors que survient un problème avec le mécanisme tout neuf de la trappe, dont c’est aujourd’hui la première utilisation publique.
Se ríen de lo piquant de esos mots y beben vino mientras el imbécil par avanza hacia su perdición, hasta que surge algún problema con el dispositivo de la trampilla, que hoy se usa por primera vez en una ejecución pública.
Une fois, dans un essai de 1922, il a esquissé en quelques traits l’événement démesuré alors en train de s’accomplir, que nul n’était capable de nommer et dont il allait lui-même être l’une des innombrables victimes : l’utilisation par la société de tout un chacun comme matériau de construction.
En una ocasión, en un ensayo de 1922, delineó en pocos rasgos el acontecimiento desbordante que estaba teniendo lugar, que nadie conseguía nombrar y del que él mismo iba a ser una de las innumerables víctimas: la sociedad que lo usa todo como material de construcción.
et si je crois que leur utilisation excessive, aujourd'hui très en vogue, rapproche le poète du simplet, on ne peut toutefois en méconnaître le caractère poétique, et cela montre bien que dans la poésie, c'est par le plaisir singulier que lui procure son esprit que l'idiot peut être représenté.
y, aunque creo que un exceso de ellos, como se usa actualmente, acerca al poeta al idiota, sin embargo, no se puede desconocer el elemento poético que hay en este último, y es significativo que en la poesía el idiota pueda aparecer representado con una extraña complacencia para su espíritu.
Il la laisse traîner toute la nuit sur la table de chevet, glissée entre deux piles de livres sur la tranche, et au matin il ne pense plus à elle, et le soir il l’utilise pour poser sa tasse à café (qui y imprime un sceau marron trop grand de trois tailles), et deux jours plus tard, tachée de cendre et de vin, les coins racornis parce que quelqu’un de la maison, pas lui en tout cas, a découvert combien elle était utile pour se nettoyer les ongles, elle fait déjà partie de cet autel modeste, hospitalier, où il thésaurise ses avoirs les plus personnels : sa collection d’oublis nocturnes.
La deja esa noche en la mesa de luz, acostada de canto entre dos pilas de libros, y a la mañana la olvida, y por la noche la usa para apoyar una taza de café (que le estampa un sello marrón tres talles más grande), y a los dos días, sucia de ceniza y vino y con dos de las esquinas dobladas, porque alguien en la casa, no él, ha descubierto lo útil que es para limpiarse las uñas, ya forma parte de ese altar modesto, hospitalario, donde atesora lo más personal que tiene: su colección de postergaciones nocturnas.
Le feu vient de cesser, nous pourrions passer sans crainte majeure, mais d’où partaient les tirs descend un individu qui d’après ses façons et manières est un homme du peuple, il traverse le vallon, ce parterre lisse de terre très sombre, il avance sur un petit pont bordé d’un parapet bas, au-dessus d’un ruisseau large de trois pas seulement, et il commence à remonter de l’autre côté dans une broussaille épineuse traversée par un mauvais sentier qui s’y perd, Que va donc faire là-bas cet homme sans houe ni pioche, sans hache ni serpe, asseyons-nous ici pour souffler un instant pendant qu’il grimpe, il devra forcément redescendre et alors nous saurons, tout ça est laissé à l’abandon, a-t-il dit, C’est parfaitement vrai et qu’on n’aille pas croire que le sentier qui serpente entre les ronces sera d’une grande utilité pour le laquais qui vient de passer, C’est un laquais, Oui, monsieur, c’est un laquais, Mais il ne portait pas de livrée, C’était une habitude ancienne, qui date du temps où la comtesse a armé ses fils chevaliers, je ne sais pas si vous êtes au courant, ces laquais-ci s’habillent comme n’importe qui d’entre nous, pas comme vous, monsieur, qui êtes de la ville, ici les gens ne les reconnaissent qu’à leurs actes, Mais pourquoi dites-vous que le sentier ne lui sera pas très utile, Parce que ce qu’il va chercher se trouve en dehors du chemin et il ne peut pas revenir sur ses pas, ce serait encore pire, il doit aller tout droit, c’est l’ordre qu’il a reçu, il a un bâton de berger pour abattre les arbustes, c’est comme s’il n’avait rien, Pourquoi fait-il ça, Parce qu’il est un laquais et qu’il sera d’autant plus apprécié qu’il apparaîtra bientôt complètement égratigné. Se comporte-t-on aussi comme ça ici, Oui, mais pour en revenir à notre conversation, je vous disais que tout ça était laissé à l’abandon, or sachez qu’il n’en a pas toujours été ainsi, il fut un temps où tout ça était couvert de cultures maraîchères jusqu’en bas, la terre est bonne et les sources ne manquent pas, sans parler du ruisseau, Alors comment en est-on arrivé à ce désert, Eh bien, il se trouve que le père des propriétaires de ce terrain, de ceux qui tiraient des coups de fusil, s’était tellement démené qu’il avait fini par s’emparer de tous les environs, le processus habituel, il y avait par ici des petits agriculteurs qui avaient des difficultés d’argent, et alors lui, je ne me rappelle plus bien comment il s’appelait, Gilberto, ou Adalberto, ou Norberto, un nom dans ce genre, leur prêtait de l’argent qu’ensuite ils étaient incapables de rembourser, des années de vaches maigres, et lui peu à peu accaparait tout, Ça paraît impossible, Ce n’est pas impossible du tout, ça s’est toujours fait dans le latifundium, le latifundium est comme les mules qui ont la manie de mordre leurs compagnes, Vous m’en racontez des choses, Pas tant que ça, si je vous racontais tout, nous passerions ici le reste de nos jours à en parler et l’histoire devrait se poursuivre jusqu’à nos petits-enfants, je ne sais pas si vous en avez, mais, attention, voilà le laquais qui arrive, suivons-le.
Paró ahora el fuego, podemos pasar sin temor, pero del sitio donde disparaban baja un hombre que por el trato y modo es del pueblo común y atraviesa el valle, esta lisura oscurísima de tierra, pasa por un puentecillo de antepecho bajo, el río es tan sólo un arroyuelo de tres pasos, y empieza a subir por este lado, mato espinoso donde sólo un mal carril serpentea, hasta perderse, Qué irá a hacer allí aquel hombre, sin azada ni azadón, sin hacha ni podadera, sentémonos aquí a descansar mientras él sube, forzosamente ha de bajar y entonces lo sabremos, Esto está muy abandonado, fue lo que dijo, Sí que está, y no se crea que el caminillo que va entre los zarzales servirá de mucho al lacayo que ha pasado, Es un lacayo, Sí señor, es un lacayo, Pero no lleva librea, Eso de la librea eran costumbres antiguas, del tiempo de la condesa que armó a sus hijos caballeros, no sé si la conoce, estos lacayos de ahora visten como cualquiera de nosotros, no como el señor, que es de la ciudad, aquí la gente sólo los distingue por los actos, Pero por qué dice que no va a servirle de mucho el caminillo, Porque lo que él va a buscar está fuera del sendero, y no puede dar la vuelta, todavía sería peor, tiene que ir derecho, ésas son las órdenes que tiene, lleva un cayado para abrirse paso en los zarzales, es como si no llevara nada, Y por qué hace eso, Porque es lacayo, y será tanto más estimado cuanto más arañado vuelva dentro de poco, También aquí se usa eso, También, pero volviendo a lo que hablábamos, le decía yo que esto está hecho un abandono, mire que no fue siempre así, puede creerlo, hubo un tiempo en que las huertas se extendían hasta allá al fondo, la tierra es buena, y no faltan fuentes por aquí, sin hablar ya del río, Entonces, cómo se ha llegado a este desierto, Bueno, sucedió que el padre de los amos de esto, aquellos que estaban dando tiros, tanto anduvo que acabó por tomar posesión de este sitio todo, lo de siempre, había aquí unos pequeños agricultores, tenían sus dificultades de dinero, y entonces él, ni me acuerdo ya de cómo se llamaba, era Gilberto, o Adalberto, o Norberto, o algo así, les prestaba dinero, luego no le podían pagar, fueron malos años, y él se iba quedando con todo, Parece imposible, No parece nada imposible, siempre se ha hecho así en el latifundio, el latifundio es como las mulas que tienen querencia por morder a las que van al lado, Mucho me cuenta, No crea, si le contara mucho, nos quedaríamos el resto de la vida charlando, y la historia debería continuar hasta nuestros nietos, no sé si usted los tiene, pero atención que ahí viene el lacayo, vamos tras él. El ruido era de algo pesado, con arrastrar de pies y grandes resbalones por la cuesta, una vez cayó y fue rodando hasta allí abajo, con riesgo de matarse, Qué lleva a cuestas, Es un bidón, el bidón es el blanco de que se sirven los dueños de esto y del lacayo, Pero la esclavitud se ha acabado ya, Eso es lo que usted cree, Pero cómo una persona se presta a esto, Pregúnteselo a él, Claro que se lo pregunto, oiga, amigo, qué es lo que lleva a cuestas, Es un bidón, Pero está lleno de agujeros, no sirve para agua o cualquier líquido, acaso lo quiere llenar de piedras, Es el blanco de mis amos Alberto y Angilberto, ellos disparan, yo voy a buscar el bidón para contar si han acertado o no, y luego vuelvo a ponerlo en el mismo sitio, y cuando el bidón está ya hecho una criba, llevo otro, y así, Y usted acepta esto.
Le langage lui était utile à présent.
Era bueno poder usar las palabras.
– C’est parce que tu sais rien d’utile pour eux actuellement.
—Es porque de momento no tienes nada que puedan usar.
Je me demande en quoi elle va m’être utile.
Me pregunto para qué lo puedo usar.
Il est individuel, mobile et d'utilisation souple.
Es individual, movible y cómodo de usar.
— Nous nous servirons d’ODESSA en temps utile.
Usará a ODESSA cuando llegue el momento.
Quelqu’un d’autre suggéra l’utilisation de gaz toxique.
A otro se le ocurrió usar gas tóxico.
L’utilisation de la cortisone dans le traitement des fistules anales ?
¿Usar cortisona para tratar las fisuras anales?
J’avais l’impression de faire quelque chose d’utile avec ma colère.
Creía que era una forma útil de usar mi rabia.
Toutefois, notre utilisation de la Force requiert de la délicatesse.
Aun así, debemos usar ese poder con delicadeza.
Dès qu’on dépassait un g, l’utilisation de l’échelle devenait dangereuse.
Usar la escalerilla manual a más de un g era peligroso.
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