Translation for "densite" to spanish
Translation examples
Ou bien utiliser, comme critère de valeur, la notion de densité : densité de l’imagination, densité des rencontres inattendues.
O también emplear, como criterio de valor, la noción de densidad: densidad de la imaginación, densidad de los encuentros inesperados.
Il y avait une telle densité.
De tanta densidad que había.
— La densité critique ?
—¿Densidad crítica?
Affaire de densité.
Cuestión de densidad.
La densité s’installait en moi.
Se instalaba en mí una densidad.
Sa texture, sa densité.
Su textura, su densidad.
Et cette densité si souple…
Y esa flexible densidad
- Ça signifie qu'elle aurait une densité de ...
–O sea que tiene una densidad relativa de…
Une densité qui est aussi transparence.
Una densidad que es también transparencia.
Tu règles le répulseur suivant la densité de l’atmosphère de l’endroit où tu vas.
Ajustas el repulsor de acuerdo con el espesor de la atmósfera a la que vas a llegar.
Peu à peu les objets dans la chambre reprirent corps, retrouvèrent leur densité et leurs contours. Il était sauvé.
Poco a poco los objetos del cuarto se fueron definiendo, cobrando espesor, contornos. Se había salvado.
L’obscurité régnait encore et la densité du feuillage n’arrangeait rien au manque de visibilité.
El bosque aún estaba a oscuras y el espesor de la vegetación no contribuía a facilitar la visibilidad.
L’un après l’autre se défaisaient ces nœuds serrés, anciens comme ceux des marronniers du Val-de-Grâce, qui s’étaient formés dans son corps, les larmes se mirent à couler sur ses joues, et un sanglot furtif, retenu, gagna en densité et en force, à mesure qu’elle courait désespérément dans la nuit obscure de Madrid.
Uno a uno iban desatándose esos nudos firmes, añosos como los de los castaños del Val-de-Grâce, que se habían formado en su cuerpo, las lágrimas comenzaron a resbalar por sus mejillas, lo que empezó como un sollozo furtivo, apretado, fue ganando espesor, fuerza, a medida que corría desesperadamente en la noche oscura de Madrid.
Les Américains s’étaient laissé surprendre par la densité du bocage, la hauteur des arbres qui composaient les haies, et les solides escarpements sur lesquels ils poussaient.
Los americanos no estaban preparados para la espesura del bocage, para la altura de los árboles de los setos y los duros y elevados terraplenes en los que crecían.
On respirait un air extrêmement étrange dans tout l’appartement, d’une triste densité, comme lorsqu’un être cher vient de s’éteindre.
y, en fin, se respiraba en toda la vivienda un aire extraño, de una espesura triste, como cuando acaba de fallecer un ser querido.
Il avait donc été stupéfié par l’humidité et la densité de la végétation, les averses, les chants d’oiseaux, les bruits d’insectes et le contact des pieds nus sur un sol mouillé.
Por eso le sorprendió la humedad, la espesura del follaje, los aguaceros, los sonidos de los pájaros y los insectos, la sensación de tierra mojada bajo pies descalzos.
Des hélicoptères les avaient survolés à plusieurs reprises, passant parfois juste au-dessus de leurs têtes, mais la densité des bois les dissimulait sans peine à la vue.
Gideon había seguido oyendo de cuando en cuando el ruido de los helicópteros que los sobrevolaban, a veces a muy escasa altura, pero el bosque era tan denso que no habían tenido problemas en ocultarse bajo la espesura antes de que los localizaran.
Pour profiter de la densité du feuillage, Tarzan décida de passer par l’étage moyen des arbres. En se balançant souplement et prestement d’une branche à l’autre, il ne tarda pas à se retrouver à la verticale des anthropoïdes.
Ante la espesura de la maleza Tarzán decidió avanzar por la zona intermedia de los árboles, y allí, columpiándose libre y velozmente entre las ramas, alcanzó a los gigantescos antropoides.
Je remonte, laissant derrière moi le grand nuage de fumée, les éventaires de pacotille et de sacs des trottoirs métissés de Broadway, avec leur densité humaine, leurs odeurs de friture et leurs musiques sonores de bazar africain.
Subo de nuevo, dejando atrás la gran nube de humo, los puestos de baratijas y bolsos de las aceras mestizas de Broadway, con su espesura humana, sus olores de fritangas, sus músicas rotundas de bazar africano.
C’était comme à Montréal, à Saint-Louis ou à La Nouvelle-Orléans, la même densité, une jungle d’odeurs et de présences humaines, une promesse de débauche et de voyages, de noms de bateaux et de villes qui rendaient vraisemblables ses mensonges les plus chers.
Era como estar en Montreal, en Saint Louis, en Nueva Orleans, una espesura parecida, una jungla de olores y presencias humanas, una promesa de disipación y viajes y nombres de barcos y de ciudades que volvía verosímiles las mentiras más queridas.
Mais l’animal-roi de Rominten, c’était le cerf que l’on chassait à l’affût et au rabat – seuls genres de chasse que permettait la densité du bois – et qui faisait l’objet de la part du grand veneur d’un culte à la fois amoureux, sacrificiel et alimentaire.
Pero el rey de los animales de Rominten era el venado, que se cazaba con puestos u ojeadores —únicos tipos de caza que la espesura del bosque permitía— y que era objeto, por parte del montero mayor, de un culto a la vez sacrificial, amoroso y alimenticio.
Le parc, la nuit, au centre de Manhattan, à peu de mètres de là où je me trouve, a quelque chose des forêts impénétrables des contes, de ces grandes forêts du cœur de l’Europe dans lesquelles, raconte Gibbon, ne pénétraient qu’avec terreur les soldats des légions romaines qui n’étaient pas habitués à leur densité, à l’épaisseur de leurs troncs, à la forme fantastique des branches, craignant toujours la subite apparition d’animaux sauvages ou de barbares hirsutes et enveloppés de fourrures qui sauteraient sur eux en criant comme des bêtes tout en agitant des haches de pierre.
El parque, de noche, en medio de Manhattan, a unos pocos metros de donde yo estoy, tiene algo de los bosques impenetrables de los cuentos, de los grandes bosques del corazón de Europa en los que según cuenta Gibbon se internaban con pavor los soldados de las legiones de Roma, no habituados a sus espesuras, a la anchura de los troncos, a las formas fantásticas de las ramas, temiendo siempre la aparición súbita de animales salvajes o de bárbaros greñudos y envueltos en pieles que saltaran sobre ellos gritando como bestias y agitando hachas de piedra.
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