Translation for "degré en" to spanish
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1° Un thermomètre centigrade de Eigel, gradué jusqu’à cent cinquante degrés, ce qui me paraissait trop ou pas assez.
Un termómetro centígrado de Eigel, graduado hasta 150°, lo cual me pareció demasiado e insuficiente.
Diplômé de l'École des Mines du Colorado, il avait au début de sa carrière parcouru le monde et les mines à la recherche de pierres précieuses, opales en Australie, émeraudes en Colombie, rubis en Tanzanie, avec des degrés variés de réussite.
Graduado en la Escuela Superior de Minas de Colorado, había pasado sus primeros años recorriendo el mundo, en prospecciones y trabajos en minas, en busca de piedras preciosas ópalos en Australia, esmeraldas en Colombia y rubíes en Tanzania, con diversa fortuna.
et, en dépit des efforts de vénérables collèges pour conserver à la science toute sa dignité, il arrivait que des jeunes gens, absolument dépourvus d’instruction, obtenaient des places de médecin à la ville, et qu’un beaucoup plus grand nombre encore acquérait le droit de pratiquer la médecine à la campagne ; le charlatanisme se faisait partout une place fructueuse ; la pratique professionnelle consistant surtout alors à administrer des drogues en abondance, le public en concluait que plus on aurait de drogues, mieux tout irait, pourvu qu’on les eût à bon marché, et il avalait en conséquence des mètres cubes de médecines prescrites par une ignorance peu scrupuleuse qui n’avait pris de degrés ni à Oxford ni à Cambridge.
Porque debe recordarse que era aquel un período sombrío y, a pesar de las venerables instituciones[41] que se esforzaban por garantizar la pureza de los conocimientos difundiéndolos lo menos posible, y por excluir el error mediante un rígido control en lo relativo a honorarios y nombramientos, sucedía que jóvenes caballeros muy ignorantes conseguían puestos de responsabilidad en las ciudades y muchos más lograban la autorización para practicar la medicina en amplias zonas del país. De la misma manera, el elevado prestigio de que gozaba ante la opinión pública el Colegio de Médicos, el cual daba su peculiar sanción a la formación —muy cara y muy esotérica— obtenida por los graduados de Oxford y Cambridge, no impedía que también prosperara el curanderismo; porque, como la práctica profesional consistía fundamentalmente en suministrar gran número de medicinas, los pacientes llegaban a la conclusión de que aún estarían mejor con más medicinas, con tal de poder conseguirlas a un precio módico, y de aquí que ingirieran grandes cantidades de remedios recetados por ignorantes sin escrúpulos, carentes de todo título.
On change de verbe… Je suis tu suis il ou elle suit ils suivent, autrement dit ils continuent d’être, sans penser… mais penser, est-ce la même chose qu’être conscient, non… Il existe une distinction entre la conscience passive, laquelle perçoit, identifie, organise les signaux transmis par les sens, la conscience d’être en vie, en éveil, qui réagit aux stimuli… donc pas réellement passive… mais qui n’élabore pas de pensées cohérentes… Disons par conséquent qu’il n’y a pas distinction mais continuum, un continuum entre l’état quasi végétatif, laissons de côté la broussaille, la conscience est étrangère aux plantes même si le prince Charles bavarde volontiers avec ses géraniums… Posons qu’il y a continuum entre le simple traitement des données fournies par les sens, j’ai chaud j’ai froid ça me démange, à un bout, et à l’autre la réflexion philosophique abstraite, en passant par tous les degrés d’une infinité de stades intermédiaires… Oui mais il nous est possible de faire les deux simultanément, par exemple en conduisant une voiture, on peut conduire sans avoir conscience de ce qu’on fait, changer de vitesse, freiner, accélérer, etc., de façon tout à fait efficace et sans danger, tout en réfléchissant à quelque chose de totalement différent, à la conscience, par exemple. Alors que faut-il en conclure ? Ah, un trou, un vrai trou, durant un instant, pas plus d’une seconde ou deux, aucune pensée décelable ni message sensoriel, comme on dit j’ai eu un passage à vide, je ne pensais à rien, je ne faisais que « suivre »… Donc, lorsque soudain le fil de la pensée s’interrompt se rompt on « suit » simplement, on passe en quelque sorte par un mode de veille, prêt à penser mais en suspens… comme le disque dur d’un ordinateur allumé mais dont on ne se sert pas, comme la machine à café bourdonnant toute seule prête à faire du café mais qui n’en fait pas… Évidemment, cette expérience est désespérément faussée car il est inévitable que la décision même d’enregistrer ses pensées détermine ou pour le moins modifie celles qui vont faire surface… Par exemple, je ressens en ce moment une petite raideur dans la nuque, je bouge la tête, je m’étire… je pivote sur mon siège… je me lève… je marche de mon bureau jusqu’à la fenêtre… toutes choses que je ferais normalement sans y penser, je les ferais « inconsciemment » comme on dit, mais ce matin j’en suis conscient parce que je tiens à la main un dictaphone, l’Olympus Pearl-corder, dans le but précis de… Il était bien, le topo d’Isabel à San Diego sur la modélisation des objets à trois dimensions, elle m’en avait envoyé le texte après coup, ça c’est d’une vraie scientifique, tu la rends folle de jouissance dans sa chambre d’hôtel et ensuite elle t’envoie en souvenir une copie de sa communication… Morte à présent cette pauvre Isabel Hotchkiss, cancer du sein m’a-t-on dit, saloperie, qui voudrait être une femme, une chance sur douze que ses seins la tuent ou qu’ils essaient… Et en plus ils étaient beaux, de charmants objets tridimensionnels je me souviens de lui avoir dit en lui enlevant son soutien-gorge et en les prenant dans mes mains… il faut que je cherche cette microcassette si je ne l’ai pas effacée, j’aimerais la réécouter en me branlant à la mémoire d’Isabel Hotchkiss.
El verbo ser… Yo soy tú él ella ellos, que significa meramente existir sin pensar… ¿pero pensar es lo mismo que ser consciente? No… Hay una distinción entre la conciencia pasiva, que recibe, identifica, organiza señales de los sentidos, la conciencia de estar vivo, de estar despierto, y que reacciona a estímulos… conque no es exactamente pasiva… pero tampoco formula pensamientos coherentes… Digamos entonces que hay no una distinción, sino un continuum, un continuum entre un estado casi vegetativo, no, borra eso, las plantas no son conscientes aunque al príncipe Carlos le guste charlar alguna que otra vez con los geranios… Digamos que es un continuum entre un mero procesado de datos de los sentidos, tengo calor tengo frío tengo picor, en un polo, y un pensamiento abstracto filosófico en el otro, con una serie infinitamente graduada de estados entre ambos… Sí, pero es posible hacer las dos cosas a la vez, conducir, por ejemplo, es posible conducir un coche sin ser consciente de que lo estás haciendo, cambiar de marcha, frenar, acelerar, etc. con absoluta eficiencia y seguridad, y pensar al mismo tiempo en algo completamente distinto, por ejemplo en la conciencia. Así que ¿adónde nos lleva esto? Ah, un claro, un espacio en blanco definido, por un instante, no más de un segundo o dos, no he tenido un pensamiento comunicable o una impresión sensorial, la mente, como solemos decir, se me ha quedado en blanco, no he pensado en nada, simplemente he existido… O sea que cuando una secuencia de pensamiento se rompe de repente, se desploma, uno solo existe, entra en una especie de modo pausa preparado para el pensamiento pero sin pensar… como el disco duro que gira en un PC que está enchufado pero que no se utiliza, como la máquina de café que tararea lista para hacer café pero sin hacerlo… Por supuesto, este experimento es irremediablemente artificial, porque la decisión de grabar tus pensamientos inevitablemente determina o al menos influye en los pensamientos que concibes… Por ejemplo, en este momento siento una pequeña rigidez en el cuello, muevo la cabeza, me estiro… giro en la silla… me levanto… voy de mi escritorio a la ventana… normalmente estas cosas las haría sin pensar. Las haría «inconscientemente», como suele decirse, pero esta mañana soy consciente de ellas porque tengo una grabadora en la mano, una Olympus Pearlcorder, con el propósito específico de… Fue una buena conferencia la de Isabel en San Diego… sobre modelar objetos de tres dimensiones, después me mandó una copia, eso sí que es una buena científica, te la tiras hasta perder el juicio en su habitación de hotel y te manda después una separata de su ponencia a modo de recordatorio… Ahora está muerta la pobre Isabel Hotchkiss, de cáncer de mama, me dijo alguien, qué puta lástima ser una mujer, una entre doce posibilidades de que las tetas te maten o lo intenten… Y además las tenía bonitas, bonitos objetos tridimensionales, recuerdo que le dije cuando le quité el sujetador y las cogí con las manos… tengo que buscar esa cinta si no la he borrado, me gustaría escucharla otra vez y masturbarme en memoria de Isabel Hotchkiss.
and Catherine T. MacArthur, l’un des trois seuls lauréats américains encore en vie du prix Nobel de littérature, 1m77, 82 kg, marron/châtain, le front inégalement dégarni suite à la tolérance ou au rejet capricieux de divers implants Hair Augmentation Systems, assis, ou allongé – ou peut-être, pour être plus exact, juste étendu –, en slip de bain Speedo noir au bord de la piscine en forme de haricot du jardin(1), sur la terrasse carrelée, dans une chaise longue pliable dont le dossier était présentement incliné au quatrième taquet pour former un angle de trente-cinq degrés avec le sol en mosaïque de la terrasse, à 10 h 20 le matin du 15 mai 1995, le quatrième poète le mieux représenté en anthologie de toute l’histoire des lettres américaines, près d’un parasol mais non pas dans l’ombre dispensée par celui-ci, en train de lire Newsweek(2), le magazine calé contre la modeste colline de son ventre, chaussé de tongs, une main derrière la nuque, l’autre qui pendait sur le côté et suivait le filigrane ocre et brun du luxueux carrelage en céramique espagnole de la terrasse, mouillant un doigt de temps à autre pour tourner la page, protégé par des lunettes de soleil à sa vue dont les verres traités chimiquement s’assombrissaient par paliers à proportion de la luminosité, au poignet mobile une montre de qualité et de valeur médiocres, aux pieds des tongs en caoutchouc de synthèse, jambes croisées aux chevilles et genoux légèrement écartés, sous le ciel sans nuages qui s’éclaircissait à mesure que le soleil montait et progressait vers l’ouest, humectant un doigt non pas avec sa salive ou sa sueur mais avec la condensation qui couvrait l’étroit verre givré de thé glacé encore à la lisière de l’ombre formée par son corps à gauche du dossier de la chaise longue et qui devrait être déplacé pour rester dans la fraîcheur, promenant le long du verre un doigt paresseux avant de le ramener humide et paresseux sur le magazine, tournant de temps à autre les pages du numéro du 19 septembre 1994 de Newsweek, s’arrêtant sur la réforme du système américain de Sécurité sociale et sur le sort tragique du vol 427 d’USAir, sur la brève critique positive des deux essais à succès Hot Zone et The Coming Plague, tournant parfois plusieurs pages à la suite, survolant certains articles et brèves, un illustre poète américain à quatre mois de son cinquante-septième anniversaire, un poète que le concurrent direct de Newsweek, Time, avait un jour de manière assez absurde appelé « notre plus sérieux prétendant vivant au titre de génie immortel », les tibias presque glabres, près de l’ombre en forme d’ellipse du parasol ouvert qui se resserrait lentement, le caoutchouc de synthèse de ses tongs texturé des deux côtés de la semelle, le front semé de gouttes de sueur, le bronzage dense et cuivré, l’intérieur des cuisses presque glabre, le pénis pelotonné dans l’étroit slip de bain, le bouc soigneusement taillé, un cendrier sur la table en métal, dédaignant son thé glacé, s’éclaircissant la gorge de temps à autre, remuant à peine sur la chaise longue pastel pour se gratter négligemment le cou-de-pied du gros orteil sans ôter les tongs ni regarder aucun des deux pieds, en apparence concentré sur le magazine, à sa droite la piscine bleue, à sa gauche, en diagonale, la baie vitrée coulissante en verre épais qui donnait sur le jardin, entre la piscine et lui une table ronde en fer forgé blanc percée d’un grand parasol de plage dont l’ombre ne touchait plus l’eau, un poète au sommet de son art, incontestablement, en train de lire un magazine dans une chaise longue sur la terrasse de la piscine derrière sa maison.
y Catherine McArthur, uno de los tres únicos americanos vivos que cuentan en su haber con un Premio Nobel de Literatura, de metro setenta y noventa kilos, pelo y ojos castaños, frente desigualmente despejada debido a la aceptación/rechazo inconsistente de diversos sistemas de regeneración del cabello/trasplantes capilares, sentado, o tumbado —o tal vez sería más preciso decir simplemente «reclinado»— con un bañador negro Speedo junto a la piscina en forma de riñón de la casa,[1] en la terraza embaldosada de la piscina, en una hamaca portátil cuyo respaldo estaba ahora inclinado cuatro muescas en un ángulo de 35 grados respecto al mosaico de baldosas de la terraza, a las 10.20 del 15 de mayo de 1995, el cuarto poeta más antologado de la historia de las belles lettres americanas, junto a un parasol pero no en la misma sombra del parasol, leyendo la revista Newsweek,[2] usando la ligera curva de su abdomen como soporte inclinado para la revista, provisto también de unas chanclas, con una mano detrás de la cabeza y la otra colgando a un lado y rozando la decoración afiligranada pardusca y ocre del caro embaldosado de cerámica española de la terraza, humedeciendo ocasionalmente un dedo para pasar la página, con unas gafas de sol graduadas cuyas lentes habían sido tratadas químicamente de la luz a la que estuvieran expuestas, con un reloj de pulsera de calidad y precio medios en la mano colgante, con chanclas de imitación de goma en los pies, con las piernas cruzadas a la altura del tobillo y las rodillas ligeramente separadas, bajo el cielo sin nubes y cada vez más luminoso a medida que el sol matinal se elevaba hacia lo alto y hacia la derecha, humedeciendo un dedo no con saliva ni sudor sino con la condensación del esbelto vaso de té helado que ahora reposaba al borde de la sombra de su cuerpo en la parte superior izquierda de la silla y que pronto habría que mover para que continuara estando dentro de aquella sombra fresca, pasando ociosamente un dedo por el costado del vaso antes de llevar ese mismo dedo húmedo ociosamente hasta la página, pasando de vez en cuando las páginas del ejemplar del 19 de septiembre de 1994 de la revista Newsweek, leyendo sobre la reforma del sistema sanitario de Estados Unidos y sobre el trágico vuelo 427 de USAir, leyendo un sumario y una reseña favorable de los populares libros de no ficción Zona caliente de Richard Preston y La plaga que viene de Laurie Garrett, pasando eventualmente varias páginas de una vez, saltándose ciertos artículos y sumarios, eminente poeta americano a quien ahora le faltaban cuatro meses para su quincuagésimo séptimo cumpleaños, poeta a quien la principal competidora de Newsweek, la revista Time, una vez había calificado absurdamente de «lo más parecido a un inmortal literario que vive hoy en día», con las espinillas casi desprovistas de pelo, con la sombra elíptica del parasol haciéndose un poco más densa cada vez, con la goma de las chanclas provista de granitos por los dos lados, la frente llena de gotitas de sudor, el bronceado intenso y oscuro, la parte interior de los muslos casi desprovista de pelo, con el pene enroscado sobre sí mismo en el interior del bañador ajustado, con la barba en punta casi al rape, con un cenicero sobre la mesa de hierro, sin beberse su té helado, carraspeando de vez en cuando, cambiando de postura a intervalos en la hamaca de color pastel para rascarse ociosamente el empeine de un pie con el dedo gordo enorme del otro pie sin sacarse las chanclas y sin mirarse los pies, aparentemente concentrado en la revista, con la piscina azul a su derecha y la gruesa puerta corredera de cristal de la casa en ángulo oblicuo a su izquierda, con una mesa redonda de barrotes blancos de hierro entrelazados entre él y la piscina, empalada en el centro por un enorme parasol de playa cuya sombra ahora ya no tocaba la piscina, poeta de talento indiscutible, leyendo su revista en su silla en su terraza junto a su piscina de detrás de su casa.
Quelques degrés. Un degré simplement, un unique degré ;
Algunos grados. Un grado solamente, un solo grado;
Pas au même degré ?
¿Que no en el mismo grado?
Voilà le premier degré de mon ordre, le degré de la jeunesse héroïque.
Es el primer grado de mi Orden, el grado de la juventud heroica.
Seulement cinq degrés de déclinaison et cent degrés d’ascension droite.
No más de cinco grados de declinación, y cien grados de ascensión.
À des degrés divers.
En distintos grados.
– C’est une question de degré.
—Es una cuestión de grado.
le degré de décomposition…
El grado de descomposición...
Il y avait des degrés d’amidonnage.
Había grados de almidonado.
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