Translation for "dépouiller" to spanish
Translation examples
J’étais en train d’acheter une œuvre d’art, et une bande d’escrocs m’a dépouillé.
Estaba comprando un objeto de arte y una banda de ladrones me estafó.
La paranza le revendrait, peut-être aux mêmes Chinois qu’ils s’apprêtaient à dépouiller.
La banda lo revendería incluso a los mismos chinos a los que iban a dejar a dos velas.
Des bandes de renégats viennent attaquer et dépouiller les entrepreneurs, qui par conséquent doivent se regrouper en Convoi armé.
Bandas de desertores llegaban para atacar y robar a los esforzados viajeros, quienes entonces debían agruparse para formar un convoy armado.
Si elle avait peur de sortir dans la rue, pour aller au Jardin de toiture ou ailleurs, c’était à cause des bandes de plèberats, qui étaient prêtes à se jeter sur elle pour la dépouiller.
A Lucerne le daba miedo ir por la calle de un lugar Jardinero a otro por las bandas de plebiquillos que podían rodearte y largarse con lo que encontraran.
La population égyptienne semblait avoir dépouillé tous les palmiers du pays de ses frondes qu’elle agitait avec enthousiasme en chantant avec les musiciens.
La población egipcia parecía haber despojado a todas las palmeras del país de sus frondas, las que agitaban con entusiasmo mientras cantaban siguiendo a las bandas.
La pauvre, elle ne pouvait pas savoir que le Périmètre a sauté et que des gangs de hors-la-loi arpentent la campagne flingue à la main pour dépouiller les gens de leurs panneaux solaires.
Cómo iba a saber la pobre que ha caído el Cordón y que hay bandas de criminales vagando por el campo y llevándose los paneles solares a punta de pistola.
— Voici une question plus ardue. Les dépouilles étaient disséminées un peu partout dans le champ. Impossible de les différencier. Ces hommes sont tombés et on les a recouverts de terre.
—Me temo que eso es una pregunta más difícil de responder. Las víctimas estaban esparcidas por todo el campo, sin ninguna separación que pudiera indicar a qué bando pertenecían, y las cubrieron con tierra allí donde cayeron.
Je n’imaginais pas un instant d’être dépouillé par des brigands, car je représentais pour eux une trop maigre proie, et quant à un voleur de grand chemin je savais pouvoir m’en charger.
No temía de forma particular que me asaltara una banda errante, porque estaba seguro que los depredadores organizados desdeñarían una presa tan evidentemente poco provechosa, y creía poder cuidarme de un ladrón solitario.
Reuben arracha la gorge de sa dernière victime et l’abandonna quand arrivèrent les deux autres membres de la bande. Toutes lames dehors, ils se jetèrent sur lui pour tenter de le dépouiller de son « déguisement » hirsute.
Destripó la garganta del hombre y acabó con él antes de que llegaran los otros dos miembros de la banda. Puñales en mano, se lanzaron sobre Reuben, intentando arrancarle ese «disfraz» peludo.
Lui et ses hommes furent vite expédiés, et la bande se mit en devoir de partager les dépouilles. Dans le premier chariot, Marmaduke découvrit la délicieuse Sufrit qui lui avait causé tant de souffrance de cœur au Grand Masque.
Se les dio tiempo para arrepentirse de sus pecados, y después la banda se dedicó a repartirse los beneficios. »En la carreta delantera Marmaduke descubrió a la deliciosa Sufrit, que tantas aflicciones le había ocasionado en el baile de disfraces.
J’entrepris de l’en dépouiller tandis que les sirènes se rapprochaient. Le bougre était corpulent et j’avais un mal fou à lui enlever sa défroque.
Se cerraba con una sola cremallera que abrí, luego comencé a desvestir a la deforme y enorme figura. Las sirenas se acercaban.
Ce n’est pas comme s’il allait être au courant… » (Et s’il l’était ?) Les discussions sur sa dépouille avaient déjà commencé et il n’était même pas encore mort.
Tampoco es que vaya a enterarse, ¿no? —(Pero ¿y si lo hacía?). El tira y afloja sobre su cuerpo había empezado ya y ni siquiera estaba muerto.
Sur un fragment de fémur et une lanière de cuir trouvée auprès de la dépouille, qui provenait sans doute d’une chaussure ou peut-être d’un fourreau.
La practicamos en un fragmento del fémur y en una tira de cuero que hallamos con el cuerpo, tal vez un fragmento del calzado o de la vaina de un arma.
Je regardai Marta à présent de ma hauteur, de celle d’un homme debout qui regarde quelqu’un d’allongé, je vis ses fesses arrondies et dures que faisait ressortir sa petite culotte, la jupe remontée et la position recroquevillée laissant voir tout cela, pas ses seins toujours couverts par ses bras, un rebut, une dépouille maintenant, quelque chose que l’on ne garde plus mais que l’on jette — que l’on incinère, que l’on enterre — comme tant d’objets lui ayant appartenu devenus soudain inutilisables, comme tout ce qui, se transformant sans cesse, échoue aux ordures, que l’on ne peut garder et qui pourrit — la peau d’une poire ou le poisson gâté, les premières feuilles d’un artichaut ou les entrailles d’un poulet, le gras du tendron irlandais qu’elle-même devait avoir versé de nos assiettes dans la poubelle peu de temps auparavant, avant que nous n’allions dans la chambre — une femme inerte et même pas couverte, même pas sous les draps.
Miré a Marta ahora desde mi altura, desde la de un hombre que está de pie y mira hacia alguien tumbado, vi sus nalgas redondeadas y duras que sobresalían de sus bragas pequeñas, la falda subida y la postura encogida dejando ver todo eso, no sus pechos que seguían cubriendo sus brazos, un desecho, ahora sí un despojo, algo que ya no se guarda sino que se tira -se incinera, se entierra- como tantos objetos convertidos en inservibles de pronto que le pertenecieron, como lo que va a la basura porque se sigue transformando y no se puede detener y se pudre -la piel de una pera o el pescado pasado, las hojas primeras de una alcachofa o la asadura apartada de un pollo, la grasa del solomillo irlandés que ella misma habría vaciado en el cubo desde nuestros platos hacía poco, antes de que fuéramos al dormitorio-, una mujer inerte y ni siquiera tapada, ni siquiera bajo las sábanas.
Son apparente piété est seulement politique, c’est tout, c’est pourquoi on doit attendre la disparition de Jerónimo pour introniser Iris avec son fils dans ses bras, même si les cardinaux me disent que non, qu’est-ce que ça peut me faire si je dispose de la fortune de Jerónimo, avec, je pourrai construire le sanctuaire qui fera perdurer le nom qu’ils ont voulu ensevelir, vous autres, en attendant, restez avec moi tranquilles, non, vous ne mourrez pas, l’enfant arrivera à faire son miracle avant votre mort pour vous emmener au ciel dans un endroit exactement pareil à ici, mais il faut attendre, attendre en chantant toutes et en priant, mais aussi en jouant au canodrome avec lequel je vous dépouille de tout, les vieilles grelottent de froid dans la chapelle, elles n’ont plus de chaussures, je fais un tas à côté de moi des affaires que je gagne et ensuite je les mets de côté pour l’enfant, rien n’est pour moi, tout sera pour l’enfant, maintenant des langues, du coton, de l’eau de Cologne, du talc de la meilleure qualité, des cierges, des fleurs, plus tard il aura d’autres besoins, il pourra avoir besoin d’un de ces effets que j’ai gagné aux vieilles, je suis toujours la chienne jaune, je ne peux pas m’en détacher, je suis obligée de la faire courir par monts et par vaux, à travers champs, de lui faire franchir des marais et des lacs, elle revit dans mes mains, ce n’est pas que je veuille vous gagner ces affaires, pauvres vieilles, pourquoi aurais-je besoin de ces saletés si ce n’est pour choisir la plus crasseuse et la plus mitée et remplacer un autre vêtement un peu moins sale et déchiré que j’avais sur moi, moi je ne veux pas gagner, c’est la chienne qui m’oblige à gagner en courant sur la piste, un, deux, trois, quatre, à l’eau, je recule, deux, trois, à toi, Rita, à toi Rosa, maintenant, à moi, l’ombre de la chienne jaune sur le mur est énorme, elle vibre et elle court tandis que se consument les cierges et que grandit mon tas de guenilles pour l’enfant, pour le cas où, car la chienne jaune me force à la faire servilement gagner, encore et encore, que ne cesse de grandir le tas de saletés que les sorcières me remettent en pleurnichant, leurs pauvres talismans dont je ne veux pas, moi, mais la chienne qui court sur les murs de la chapelle désaffectée où trônent Iris et l’enfant, occupant la présidence, et les vieilles pleurent, elles doivent jouer, elles aussi bien que moi, on obéit à la chienne, on est avides, nos mains arrachent des vêtements, s’emparent de montres pourries, du calendrier qui porte encore la dernière page d’il y a sept ans, des chaussons, du bas unique, du bonnet de bain framboise, j’ai gagné, j’ai gagné, la chienne jaune a encore gagné car elle est invincible et je crie et je leur arrache ce qu’elles me supplient de ne pas leur prendre, quoique je ne veuille pas, moi, abuser de ces vieilles, que je ne veuille pas les dépouiller, mais la chienne jaune le veut, je lui obéis parce qu’elle court comme ça, qu’elle aboie et hurle à la Lune et franchit des mares, un, deux, trois quatre, cinq, six, c’est encore à moi, quelle chance, misiá Inesita, ça y est, elle démarre, cinq, un, deux, trois, quatre, cinq, son ombre est énorme sur le mur, les vieilles ne voient pas combien grande et vivante est l’ombre de la chienne, car elles ne voient que le terrain de jeu et leur peur que je prenne possession de quelques baleines de parapluie, d’un cache-nez déteint, c’est ça qu’elles voient, cours, cours, chienne, allez, Iris, laisse ton enfant, qu’on le change, viens jouer avec moi, qu’est-ce que tu paries, moi, eh bien, j’aimerais ton manteau café contre ces pantoufles qui viennent de Rosa Pérez, joue la première, quatre, un, deux, trois, quatre, maintenant la chienne blanche, un, deux, pas de chance, et la chienne bleue court sur le terrain, et la chienne rouge sur le terrain, mais la chienne jaune ne cesse de courir, elle se met les pattes en sang pour arriver la première au but, et ainsi j’ai arraché le manteau café des épaules d’Iris qui essaie de m’en empêcher, j’ai froid, mais je m’en moque, bien que j’aie de la peine que la bienheureuse ait froid, je me bats pour te l’enlever parce que la chienne le veut, qu’est-ce que ça peut faire que tu aies froid, Iris, maintenant tu as eu ton enfant, ce qui fait que tu n’es plus grosse, eh bien si tu veux, à titre de grande faveur, comme c’est toi la bienheureuse, demain je te donnerai la revanche, on verra si tu peux regagner le manteau pour ne pas avoir froid, toi avec ton bébé amoureux dans ton lit, pour sûr que tu ne vas pas te refroidir, les bébés, ça tient très chaud quand ils dorment dans le lit de leur maman, et moi rien ne me réchauffe, mes os ne cessent de se refroidir davantage, toujours davantage, et je ne sais que faire pour les réchauffer.
Su aparente piedad es sólo política, nada más, y por eso tenemos que esperar que desaparezca Jerónimo para entronizar a la Iris con su hijo en brazos, aunque me digan que no los cardenales a mí qué me importa si tengo la fortuna de Jerónimo en mis manos y puedo construir con ella el santuario que haga perdurar el nombre que ellos quisieron sepultar, ustedes, mientras tanto, aquí conmigo, tranquilas, no, no se van a morir, el niño va a alcanzar a hacer su milagro antes de que mueran para llevarlas al cielo, a un sitio exactamente igual a éste, pero tenemos que esperar, esperar todas cantando y rezando, pero también jugando al canódromo con que las voy despojando de todo, las viejas tiritan de frío en la capilla, no tienen zapatos, yo hago un montón a mi lado con las cosas que voy ganando y después las guardo para el niño, nada es para mí, todo será para el niño, ahora pañales, algodón, colonia, talco del mejor, cirios, flores, después serán otras sus necesidades y puede necesitar alguna de estas cosas que les he ido ganando a las viejas, yo siempre soy la perra amarilla, no puedo desprenderme de ella, tengo la obligación de hacerla correr por los montes y los caminos y por los campos y hacerla vadear esteros y lagos, en mis manos revive, no es que quiera ganarles las cosas, pobres viejas, para qué necesito mugres si no es para elegir la más mugrienta y apolillada para cambiarla por otra prenda un poco menos sucia y rota que llevaba puesta, yo no quiero ganar, es la perra la que me obliga a ganar corriendo por la pista, uno, dos, tres, cuatro, agua, atrás, dos, tres, tú, Rita, tú Rosa, a mí ahora, la sombra de la perra amarilla es enorme sobre el muro y vibra y corre mientras los cirios se consumen y mi pila de harapos para el niño, por si acaso, porque la perra amarilla me impone la servidumbre de hacerla ganar una y otra vez, crece y crece mi montón de porquerías que las brujas me entregan llorosas, sus pobres talismanes que no quiero yo sino la perra que corre por las paredes de la capilla execrada donde la Iris y el niño presiden entronados, y las viejas lloran, tienen que jugar, ellas, como yo, obedecemos a la perra, somos ávidas, nuestras manos arrancan vestiduras, se apoderan de relojes descompuestos, del calendario con la última página de hace siete años, de las zapatillas, de la media impar, de la gorra de bañista color frambuesa, gané, gané, la perra amarilla ganó otra vez porque es invencible y yo grito y les arrebato lo que me ruegan que no les cobre aunque yo no quiero abusar con estas ancianas, no quiero despojarlas, pero la perra amarilla quiere, yo la obedezco porque así corre y ladra y le aúlla a la luna y vadea charcos, uno, dos, tres, cuatro, cinco, seis, me toca otra vez, qué suerte misiá Inesita, ya empezó, cinco, uno, dos tres, cuatro, cinco, enorme en la pared su sombra, las viejas no ven qué grande y qué viva es la sombra de la perra porque ellas sólo ven mi tablero y el miedo de que les arrebate unas varillas de paraguas, una bufanda desteñida, eso ven, corre, corre, perra, ya Iris, deja a tu niño para que te lo cambien, ven a jugar conmigo, qué cosa apuestas, bueno, me gusta tu abrigo café, contra él van las zapatillas estas que eran de la Rosa Pérez, tira tú primero, cuatro, uno, dos, tres, cuatro ahora la perra blanca, uno, dos, mala suerte, y corre la perra azul por el tablero y la perra colorada por el tablero, pero la perra amarilla corre y corre ensangrentándose las patas para llegar primero a la meta y así yo arranqué el abrigo café de los hombros de la Iris que trata de impedírmelo, tengo frío, pero a mí no me importa aunque me da pena que la beata tenga frío, lucho por quitártelo porque la perra lo quiere, qué te importa que te dé frío, Iris, ya tuviste a tu niño así es que ya no estás inflada, bueno, si quieres, como un gran favor, porque eres la beata, mañana te daré la revancha para ver si me puedes ganar el abrigo de vuelta para que no tengas frío, tú con tu guagua amorosa en tu cama sí que no vas a pasar frío, las guaguas calientan mucho cuando duermen en la misma cama que su mamá, y yo no me caliento con nada, mis huesos se van enfriando más y más y más y más y no sé qué hacer para que se calienten.
Tandis que la voiture se traînait jusqu’au sommet, puis redescendait vers la maison de George l’Anglais, il dut lui apparaître que le caractère de l’homme devait nécessairement, à l’instar des montagnes, se dépouiller pour atteindre au plus haut.
Algo debió de haberle dicho, según iban arrastrándose hasta pasar el alto y bajar hacia English George's, que tanto el carácter como las montañas tenían que desnudarse para los cielos.
non, beaucoup d’entre eux avaient déjà accompli toutes sortes d’actions méritoires et profitables, mais à la faveur des loisirs du voyage, ils avaient presque entièrement dépouillé ce qu’ils étaient ailleurs, trouvant une entière jouissance à se dénuder, et seule était restée intacte leur arrogance aveugle dans les ténèbres de l’avidité, dans l’assoupissement ténébreux gorgé d’avidité.
no, muchos de ellos habían prestado ya meritorios y loables servicios de toda clase; pero de lo que eran de ordinario, habían borrado la parte mayor durante la inacción del viaje, con una manera casi sibarítica de desnudarse a sí mismos, y les había quedado intacto solamente su ciego orgullo en confusa codicia, en un crepúsculo lleno de avidez.
Elles franchissent de très vieilles forêts, plongent en profonds canyons tapissés de maints cours d’eau, se reposent au creux de ravissantes petites vallées et, suivies par de grands vents, parcourent de hauts plateaux ; mais elles laissent en arrière tous ces détails du monde inférieur lorsqu’elles commencent de se dépouiller pour monter vers les cieux. Alors, dans la solitude, débarrassées des contingences, tels les saints hommes du temps jadis, elles s’élèvent vers leur transfiguration. » Force m’est de voir dans ce passage autre chose qu’un ornement littéraire ;
Van ascendiendo a través de antiguas florestas y se sumergen en cañones enmarañados de cursos de agua y descansan en pequeños valles como gemas y avanzan atendidas por poderosos vientos a través de las altas mesetas, pero todo ese tipo son incidentes del mundo de abajo que dejan tras ellas cuando empiezan a desnudarse para llegar al cielo: como los santos de la antigüedad, ascienden solas y desprovistas de toda circunstancia al encuentro de su transfiguración. No puedo evitar leer esto como algo más que un adorno literario;
Demain matin, nous pourrons déshabiller les corps et nous occuper de leur dépouille.
Por la mañana, podemos desnudar a los muertos y deshacernos de los restos mortales.
Bill la dégagea de son environnement, s’efforça de la dépouiller virtuellement de la forêt qui l’occultait.
Bill lo extrajo de sus alrededores, intentando desnudar el bosque en el que estaba inmersa.
À peine était-il monté à sa place que des traînards achevaient de dépouiller le postillon et l’unijambiste (que le baron avait poussé dans la neige).
Apenas se había subido al carruaje cuando ya unos vagabundos acababan de desnudar al postillón y al de una sola pierna (al que el barón había arrojado a la nieve).
Ensuite apparurent des soldats munis de masques, une section ou deux au maximum, qui se mirent à dépouiller les cadavres et à piller les magasins… Une véritable orgie de destruction insensée.
Luego aparecieron tropas enmascaradas, un pelotón o dos, y procedieron a desnudar cadáveres, saquear tiendas… En fin, una orgía de desenfrenada destrucción.
Dépouiller Amy de ses vêtements serait une longue et excitante entreprise, comme d’ouvrir un paquet cadeau coûteux, à l’emballage compliqué, bruissant de diverses couches de papier de soie odorant, dans l’obscurité.
Desnudar a Amy de sus ropas sería una tarea lenta y excitante, igual que desempaquetar un costoso regalo intrincadamente envuelto en muchas capas de crujiente papel de seda en la oscuridad.
Donc, Éléphénor, fils de Chalcodon, trente-huit ans en juin dernier, commandant des Abantes et seigneur d'Eubée, traîne le cadavre d'Echépole derrière les rangs achéens et se met à le dépouiller.
Así Elefenor, el hijo de Calcodonte, que cumplió treinta y ocho años este junio pasado, comandante de los abantes y señor de Eubea, arrastra el cadáver de Equepolo eras la pantalla de atacantes aqueos y empieza a desnudar el cuerpo.
Dans la mesure où ce qu’il restait de moi, de ce moi qui lui aussi s’était écroulé, comprenait intuitivement que de dépouiller l’écriture pour retrouver la spécificité nue contribuait à la récupération de ce que j’avais perdu et constituait un moyen de guérir et reprendre force, il n’y avait pas même de choix.
Mientras el resto de mi persona, que también se había colapsado, intuyera que desnudar la escritura para plasmar los hechos concretos sin el menor barniz sería útil para recobrar lo perdido, un medio de recuperación y un camino para ir en busca de la fuerza disipada, ni siquiera existiría posibilidad de elección.
Mais les vingt-deux centimètres de lame en forme de machette du V-44 sont parfaitement inadaptés à ce genre de corps à corps – à savoir, dénuder les aisselles et le bas-ventre – et on lui a bien dit de veiller à ne pas écorcher la dépouille, si bien qu’il est obligé de se rabattre sur son coutelas de Marine, un Raider dont la fine lame à double tranchant de dix-huit centimètres et demi semble avoir été conçue tout exprès pour ce genre de procédure, même si au bout d’un moment la poignée oblongue en métal massif commence à geler au contact de la paume moite de Shaftoe.
Pero la hoja de nueve pulgadas y media, casi un machete, del V-44 es completamente impropiada para la lucha realmente cercana —por ejemplo, desnudar las axilas y la ingle— y le han dicho que tenga cuidado y que no produzca rasguños, por lo que ahora debe hacer uso del estilete USMC Marine Raider, cuya esbelta hoja doble de siete pulgadas y cuarto parece haber sido diseñada expresamente para ese tipo de procedimientos, aunque el mango en forma de pez, fabricado de metal sólido, comienza a congelarse al cabo de un rato pegándose a las sudorosas palmas de Shaftoe.
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