Translation for "croisser" to spanish
Translation examples
Il ne faut pas qu’elle croisse à la manière d’un cristal.
No deben crecer como el cristal».
Pour que la societe fonctionne, pour que la competition continue, il faut que le desir croisse, s'etende et devore la vie des hommes.» II s'epongea le front, epuise;
Para que la sociedad funcione, para que continúe la competencia, el deseo tiene que crecer, extenderse y devorar la vida de los hombres.
Nous avons déjà croisé l’un d’eux, celui qui ressemble à Jean Bouise et qui, depuis l’autre jour, laisse pousser sa moustache pour parfaire ce mimétisme.
Ya nos hemos cruzado con uno de ellos, el que se parece a Jean Bouise y que, desde el otro día, se deja crecer el bigote para perfilar dicho mimetismo.
De temps à autre j’avais des fantaisies, cela oui, celle par exemple de me gratter sous les aisselles, ou de croiser les jambes, une fois même de me laisser pousser les moustaches en brosse.
por ejemplo, de rascarme la axila, o de cruzar las piernas, una vez incluso de dejarme crecer los bigotes en cepillo.
D’accord, alors si on la plaçait sur la trajectoire adéquate ? si on la maintenait à l’intérieur de la Terre, mais en l’équilibrant, afin qu’elle ne croisse plus, mais ne diminue pas non plus ? George regarda Alex. — Est-ce que c’est possible ?
Muy bien, pues, ¿y si la colocáramos en la trayectoria adecuada, para que se quedara dentro de la Tierra, pero equilibrada para no crecer ni reducirse? George miró a Alex. —¿Es posible?
Je commençais même à deviner que cette croissance commune s’opère selon des lois particulières, qui sont celles de l’amour telles que l’a décrit Jean Baptiste : “Il faut qu’il (en l’occurrence : qu’elle) croisse et que je diminue.”
Incluso empecé a pensar que este crecimiento común se opera según leyes particulares, que son las del amor tal como lo describe Juan el Bautista: “Él debe crecer (en este caso ella) y yo disminuir.”
La maison est située au croisement de deux chemins de terre goudronnés, elle est entourée d’un grand champ de maïs ; un oiseau était posé sur presque tous les plants à demi poussés.
La casa se encuentra en el cruce de dos caminos rurales asfaltados, rodeada de un gran campo de maíz donde se habían posado los gorriones en casi todas las plantitas aún a medio crecer.
Tandis qu’il explorait le nord de la Barcelone équivoque, Lebrun se trouvait peut-être au sud ou inversement, ils pouvaient croiser leurs points cardinaux toute la nuit, et pendant ce temps la stature de Claire ne cesserait de grandir sur le bureau de Contreras.
Mientras él rondaba el norte de la Barcelona equívoca, Lebrun podía estar en el sur o al revés, podían cruzarse los puntos cardinales durante toda la noche y mientras tanto crecer la estatura de Claire sobre la mesa de Contreras.
Celui qui a ramassé l’amour selon le Christ dans cette formule fulgurante, presque inadmissible : « Il faut qu’il croisse et que, moi, je diminue. » J’ai voulu que, le jour de son baptême, Hervé, son parrain, lise l’action de grâces entonnée le jour de la circoncision de Jean Baptiste par son père, le vieux Zacharie.
El que condensó el amor según Cristo en esta fórmula fulgurante, casi inadmisible: «Él debe crecer y yo disminuir.» Quise que el día de su bautismo Hervé, su padrino, leyera la acción de gracias que se entona el día de la circuncisión de Juan el Bautista a manos de su padre, el viejo Zacarías.
« Si j’ai mon enfant, l’enfant de Stan, il grandira pour être cahoté lui aussi le long de la 7e Avenue, sous un ciel en fer battu d’où la neige ne tombe jamais, et il regardera aussi les fruiteries, les enseignes, les maisons en construction, les camions, les femmes, les petits commissionnaires, les policemen… » Elle serre les genoux, s’assied droite sur le bord du coussin, les mains croisées sur son ventre plat.
Si tengo un hijo, el hijo de Stan crecerá para que le zarandeen a él también por la Séptima Avenida, bajo un cielo plomo batido, de donde nunca cae la nieve, y mirará las fruterías, los carteles, los edificios en construcción, los camiones, las mujeres, los recaderos, los policías… Junta las rodillas, se sienta derecha en el borde del asiento, cruza las manos sobre el vientre esbelto.
Elle avait également renoncé à tenter de nouveaux croisements.
Tampoco intentaba cultivar nuevas variedades.
Ils feraient n’importe quoi pour que cela croisse et embellisse.
Harían todo lo que pudieran por aumentar su gloria.
Le regard de Jill a croisé les nôtres, l’un après l’autre, comme pour attiser le suspense.
Jill nos miró una a una como para aumentar la intriga.
En admettant que cette rente fût équitable à l’origine, dit-on, elle finit par devenir abusive, parce que le propriétaire, qui reste désormais les bras croisés, la voit grossir d’année en année, par le seul fait de l’accroissement de la population, impliquant un accroissement dans la demande du blé.
Admitiendo que esta renta fuese equitativa en su origen, se dice, concluye por hacerse abusiva , porque el propietario, que permanece en adelante con los brazos cruzados, la ve aumentar de año en año, por el solo hecho del aumento de la poblacion, que supone un aumento en el pedido de trigo.
— Oui. Surtout si ce prêtre ne comprend pas ses propres pouvoirs, concéda Cadderly. Sur le chemin du retour, le jeune érudit fut surpris de croiser Sans-Nom. Il croyait le mendiant à Carradoon ou reparti voir sa famille pour partager avec elle son aubaine.
—Moderación. Cadderly se sorprendió de encontrarse a Innominado vagando todavía por la carretera entre la torre del mago y Carradoon. Esperaba que el mendigo se hubiera ido a Carradoon para aumentar lo conseguido ese día, o hasta su mujer y sus hijos para disfrutar de un descanso en el poco envidiable estilo de vida que había adoptado a la fuerza.
Ils formaient un groupe beaucoup plus homogène que tous ceux que Gentle avait pu voir jusqu’à présent : un croisement entre des Oethacs et des Homo sapiens en majorité, des hommes massifs, voire bestiaux, qui en nombre suffisant pouvaient sans aucun mal écraser le bataillon de Quaisoir. Gentle hissa Huzzah sur ses épaules alors qu’ils se joignaient à l’attroupement, de crainte qu’elle ne soit piétinée. Plusieurs dockers sourirent à la fillette, et d’autres s’écartèrent pour faire une place à sa monture au milieu de la foule. Un petit groupe de soldats avait été chargé de tenir les curieux à l’écart du théâtre des opérations, et ils s’efforçaient d’obéir aux ordres, mais ils étaient largement surpassés en nombre, et, à mesure qu’elle enflait, la foule repoussait le cordon de sécurité vers le lieu des hostilités, un entrepôt situé à une trentaine de mètres dans la rue, visiblement assiégé.
Componían un grupo bastante más homogéneo del que Cortés había visto hasta el momento; la mayoría eran híbridos de oethac y horno sapiens, hombres enormes de aspecto rudo que, en número suficiente, podrían dar una buena paliza al batallón de Quaisoir, sin duda alguna. Cortés alzó a Hurra sobre su espalda en cuanto se unieron a la multitud, por temor a que la niña resultara pisoteada. Algunos de los trabajadores de los muelles miraron a Hurra con una sonrisa mientras que otros les dejaron paso con el fin de que se encaramaran a un lugar más seguro entre el gentío. Cuando volvieron a ver el batallón, la muchedumbre los ocultaba por completo. A un pequeño contingente de soldados se le había asignado la misión de mantener a los espectadores alejados del perímetro donde iba a desarrollarse la acción;
Pendant des mois, continua Austerlitz, m’adressant à l’Imperial War Museum et autres établissements, j’ai tenté en vain de retrouver des traces de ce film, car, bien qu’avant de quitter Prague je sois encore monté à Theresienstadt et que j’aie étudié jusqu’à sa moindre note la description rédigée par Adler avec le soin qu’on sait, il m’a été impossible de me replonger dans l’atmosphère du ghetto et de m’imaginer qu’Agáta, ma mère, ait pu à l’époque se trouver en cet endroit. Je ne cessais de penser que si seulement le film refaisait surface je pourrais peut-être voir, ou pour le moins avoir une idée de ce que cela avait été en réalité, et je me prenais constamment à songer que sans le moindre doute Agáta m’apparaissait, sous les traits d’une femme jeune, comparée à l’homme que j’étais devenu, parmi les clients à la terrasse du faux café, ou en vendeuse d’articles de mode, en train d’extraire précautionneusement une paire de gants d’un des tiroirs, ou encore en Olympia dans le spectacle des Contes d’Hoffmann, qui, ainsi que le relate Adler, a été représenté à Theresienstadt dans le cadre de l’action d’embellissement. Je croyais également la voir, dit Austerlitz, marchant dans la rue en robe d’été et manteau de gabardine légère : seule, au milieu d’un groupe de flâneurs du ghetto, elle venait directement à ma rencontre et s’approchait pas à pas jusqu’à ce que pour finir j’eusse l’impression qu’elle sortait du film et se fondait en moi. Ce genre d’hallucinations explique que je me sois retrouvé dans un état d’extrême agitation le jour où l’Imperial War Museum réussit, par l’intermédiaire des Archives fédérales de Berlin, à se procurer une copie sur cassette du film de Theresienstadt que je recherchais. Je me revois encore dans une des cabines vidéo du musée, dit Austerlitz, glissant la cassette de mes mains tremblantes dans la fente noire du magnétoscope, puis, sans que je sois en mesure d’enregistrer quoi que ce soit, regardant défiler sous mes yeux diverses scènes d’ouvriers au travail, à la forge devant l’âtre et l’enclume, dans l’atelier de poterie et de sculpture, dans la maroquinerie – succession incessante et insensée de gestes et de bruits, coups de marteau, tintements de pierres à aiguiser, grésillements de soudure, découpage d’empiècements, encollage, couture –, voyant surgir à la chaîne pour une fraction de seconde ces visages étrangers, les ouvriers et les ouvrières sortir des baraquements, le travail fini, et traverser un terrain vague sous un ciel plein de nuages blancs et immobiles, des jeunes jouer au football dans la cour intérieure d’une caserne devant un public nombreux, massé en rangs serrés sous les arcades du rez-de-chaussée, du premier et du second étage, des hommes se douchant aux bains publics, des livres empruntés à la bibliothèque par des messieurs bien mis, un véritable orchestre jouant un concert, et, à l’extérieur, au pied des remparts, dans les potagers baignés par la lumière de l’été, quelques dizaines de personnes occupées à ratisser les plates-bandes, à arroser les plants de tomates et de haricots, à débarrasser les feuilles des choux des chenilles de piérides, et ensuite, le soir venant, les gens installés sur des bancs devant leurs maisons, apparemment contents, les enfants à qui l’on permet encore de s’ébattre quelque temps, un homme lisant son livre, une femme discutant avec une voisine, d’autres tout simplement appuyées les bras croisés au rebord de leur fenêtre, comme c’était naguère l’usage à la tombée du jour.
Durante meses, eso dijo Austerlitz, he buscado inútilmente en el Imperial War Museum y en otros lugares indicios del paradero de esa película, porque, aunque antes de salir de Praga fui a Theresienstadt y a pesar del relato de las circunstancias de allí, escrito por Adler con tanto esmero y leído atentamente por mí hasta la última nota, me resultaba imposible situarme en el gueto e imaginarme que Agáta, mi madre, hubiera estado entonces en aquel lugar. Continuamente pensaba, si volviera a aparecer la película, quizá pudiera ver o adivinar cómo fue realmente, y de forma alternativa me imaginaba que reconocería sin lugar a dudas a Agáta, una mujer joven en comparación conmigo, quizá entre los clientes del falso café, como vendedora en una tienda de accesorios de moda, donde estaría sacando con cuidado de un cajón un precioso par de guantes, o como Olympia en Los cuentos de Hofmann, que, como cuenta Adler, se representó durante la campaña de embellecimiento en Theresienstadt. También me imaginaba, dijo Austerlitz, verla en la calle con vestido de verano y una gabardina ligera: sola en un grupo de habitantes del gueto que callejeaban, se dirigía directamente hacia mí, acercándose paso a paso, hasta que finalmente, como creía sentir, salía de la película y entraba dentro de mí. Esas fantasías fueron la razón de que entrara en un estado de gran excitación cuando el Imperial War Museum, a través del Archivo Federal de Berlín, consiguió facilitarme un vídeo de la película de Theresienstadt que buscaba. Todavía recuerdo muy bien, dijo Austerlitz, cómo, en una de las cabinas de vídeo del Museo, metí la casete en la negra abertura del aparato, con manos temblorosas, y cómo entonces, sin poder absorber nada de aquello, vi desarrollarse diversos trabajos en una fragua, en el yunque y la forja, en los talleres de cerámica y talla, en la guarnicionería y la manufactura de zapatos —un continuo, absurdo martillear y batir, soldar, cortar, encolar y coser—, cómo, durante segundos, aparecían ante mí aquellos rostros desconocidos en sucesión ininterrumpida, cómo los trabajadores y trabajadoras salían al fin de la jornada de las barracas y atravesaban un campo desierto, bajo un cielo lleno de nubes blancas inmóviles, cómo jugaban al fútbol en el patio interior de un cuartel ante un público numeroso, que se agolpaba en las arcadas a nivel del suelo y en el primero y segundo pisos, cómo los hombres estaban bajo las duchas en la casa central de baños, cómo caballeros de aspecto cuidado tomaban libros a préstamo en la biblioteca, cómo una orquesta daba un auténtico concierto, cómo fuera, en los huertos situados ante los muros de la fortaleza, bañados por la luz del verano, una docena de personas se dedicaba a rastrillar las remolachas, regar los arbustos de judías y tomates y examinar las hojas de col buscando orugas de mariposa blanca, cómo después de comenzar la velada, la gente se sienta, aparentemente contenta, en bancos delante de sus casas, cómo los niños pueden todavía corretear un poco, uno lee un libro, otro habla con la vecina y más de uno se echa sencillamente junto a la ventana, con los brazos cruzados, como era antes habitual al caer la noche.
MatinLumièreMontagne lui-même fut le découvreur de la pollinisation croisée, qui permettait de produire plus et mieux.
El propio MontañadelaLuzdelaMañana fue el que descubrió la polinización cruzada como método de incrementar el rendimiento y criar nuevas variedades.
Il avait envisagé une existence toute de tranquillité rurale sans autres problèmes que le choix des croisements et des semences, que l’ordinaire tâche d’élever ses enfants.
Había aspirado a una vida campestre y tranquila. Los únicos problemas que había previsto eran los derivados de criar ganado y plantar cosechas, y de educar a sus hijos.
Non, peut importe la motivation, nos coutumes sont ainsi faites : on ne peut croiser les êtres humains comme s’il s’agissait d’animaux. Cela ne serait pas toléré. — Oui, je le sais, dit Barstow. C’est pourtant tout ce que nous pouvons vous offrir.
No, deseemos lo que deseemos, nuestras costumbres son como son. No podemos criar a los hombres como a los animales; no lo soportarían. –Entiendo – admitió Barstow -, pero es todo lo que tenernos para ofrecer… compartir nuestra fortuna a través de la inseminación artificial. –Sí.
Elaine prit conscience que sa mission à la campagne passait forcément par la conversation ; pour apprendre aux paysans à élever des poulets à chair tendre (en les enfermant au lieu de les laisser courir partout), convaincre les acteurs politiques de construire une école avec des fonds locaux (personne n’attendait plus rien du gouvernement central) ou faire en sorte que les riches cessent de les considérer comme des croisés anticommunistes, il fallait tout d’abord s’installer autour d’une table et boire jusqu’à ce que les propos deviennent inintelligibles.
Elaine descubrió que todo el trabajo en el campo se hacía hablando: para enseñarles a los campesinos a criar pollos de carne blanda (encerrándolos en lugar de dejarlos correr salvajemente), para convencer a los políticos de construir una escuela con recursos de aquí (ya que nadie esperaba nada del Gobierno central) o para tratar de que los ricos no los vieran simplemente como cruzados anticomunistas, había primero que sentarse alrededor de una mesa y beber, beber hasta que ya no se entendieran las palabras.
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