Translation examples
¡Tengo un hijo que criar!
J'ai un fils à élever, moi !
¿Criar a tus hijos?
D’élever tes gosses ?
Pero ya no quiero criar más.
Mais je ne veux plus élever d’enfants.
Había trabajado para criar a su hijo.
Elle avait travaillé pour élever son fils.
—Tú no sabes lo que es criar a una niña.
— Tu ne sais pas ce que c’est, que d’élever un enfant.
Tenía derecho a criar a su hija.
il avait le droit d’élever sa fille.
Criar hijos sería mi carrera.
— Élever des enfants serait ma carrière. 
Y tengo dos hijos que criar.
Et j’ai deux enfants à élever.
Soy incapaz hasta de criar cerdos.
Je suis incapable d'elever des porcs.
Para criar solo a su hijo.
D’élever seul son fils.
Era una historia que fácilmente podía llegar a los estudiantes, a los oídos de los amigos de Tai: dos princesas que se envían como esposas a los bogü a cambio de que estos satisfagan la necesidad urgente de caballos para criar y para la caballería, y de un número creciente de nómadas para que sirvan en el ejército kitan cobrando una paga.
Cette histoire aurait très bien pu atteindre le cercle des apprentis lettrés et les oreilles des amis de Tai : deux princesses envoyées chez les Bogü en tant qu’épouses en échange de chevaux dont la cavalerie et les élevages kitans avaient un besoin urgent, ainsi que d’une augmentation du contingent de nomades à la solde de l’armée.
Aunque yo le enviaba dinero suficiente para que pudieran vivir sin estrecheces, no gastaba ni un centavo más de lo estrictamente necesario para cubrir sus necesidades más básicas. Una vez terminada la guerra siguió cultivando la huerta, empezó a criar gallinas e incluso hacía su propio miso para no tener que comprar nada más que arroz. Sus hijos e hijas ya éramos adultos trabajadores e independientes, y cada vez que nos reuníamos no podíamos evitar criticar y censurar la extrema austeridad de nuestro padre, pero no conseguimos que cambiara. Queríamos ayudar a nuestros padres para que pudieran disfrutar de una vejez lo más confortable posible, pero ellos no gastaban el dinero que les enviábamos y, si les regalábamos prendas de vestir o ropa de cama, utilizaban lo mínimo y guardaban el resto. Al final, pues, decidimos mandarles sólo comida. La comida se echaba a perder, así que tendrían que comérsela. La vida de mi padre, que había durado ochenta años, se podría describir como «pura». Nunca otorgó tratos de favor ni se granjeó enemistades.
Il le faisait la mort dans l’âme. J’avais beau augmenter son pécule, il s’en tenait au strict nécessaire. Outre son potager, il élevait des poulets et allait jusqu’à fabriquer du miso(1), se refusant à gaspiller de l’argent pour les aliments qui n’étaient pas indispensables. Mon frère, mes sœurs et moi, qui avions acquis notre indépendance en nous intégrant à la société, chaque fois que nous le revoyions, nous lui en faisions le reproche, sans jamais réussir à le convaincre de changer de style de vie. Dans le désir d’adoucir les vieux jours de nos parents, nous n’hésitions pas à leur envoyer de l’argent, mais ils ne l’utilisaient pas. Si nous expédiions des futon(2) ou des vêtements, ils les considéraient comme trop précieux et les reléguaient, pour la plupart, dans un coin, sans beaucoup s’en servir, si bien que nous nous rabattions sur la nourriture. Comme elle aurait fini par pourrir, mon père se résignait à la manger et ne pouvait empêcher ma mère d’en faire autant. Je pense qu’il convient de dire que les quatre-vingts années que vécut mon père furent sans tache.
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