Translation for "cravate sur" to spanish
Cravate sur
Translation examples
Simpson, dans son équipée, avait perdu sa cravate ; Straker l’avait ramassée avec l’idée, peut-être, de s’en servir pour bander la jambe du cheval.
Simpson, al huir, había perdido la corbata, y Straker la recogió con alguna idea, quizá con la de atar la pata del animal.
Ses chaussures étaient poussiéreuses, sa chemise blanche tachée et sa cravate lie-de-vin s’effilochait à force d’être nouée et dénouée.
Los zapatos estaban llenos de tierra, la chaqueta blanca manchada y la corbata rojo oscuro gastada por el constante atar y desatar.
Allez attacher nos chevaux à des arbres en haut de cette petite colline, et nouez-leur à chacun un mouchoir autour de la bouche, dit-il en lui tendant sa cravate ;
Usted vaya a atar nuestros caballos a unos árboles por encima de esta loma y áteles a cada uno un pañuelo alrededor del hocico —díjole, entregándole su corbata—;
En montant sur sa table Lucien pouvait atteindre à la partie vitrée de sa fenêtre, en détacher deux verres ou les casser, de manière à trouver dans le coin de la première traverse un point d'appui solide. Il se proposait d'y passer sa cravate, de faire sur lui-même une révolution pour la serrer autour de son cou, après l'avoir bien nouée, et de repousser la table loin de lui d'un coup de pied.
Subiéndose a la mesa, Luciano podía alcanzar la parte envidriada de la ventana y arrancar dos vidrios y romperlos, de modo que el travesano le ofreciese un punto de apoyo sólido, donde atar la corbata, en la cual haría un lazo corredizo para pasárselo por el cuello y darle después una patada a la mesa a fin de alejarla de sí.
Pendant les quinze années au cours desquelles il avait appris à parler anglais, à boutonner et déboutonner une veste, à faire un nœud de cravate, à connaître les rudiments du base-ball, le nom des principales marques de voitures et d’innombrables autres éléments d’information, dont beaucoup s’étaient révélés n’être pas nécessaires, pendant toutes ces années il n’avait jamais douté de lui-même, n’avait jamais remis en question le plan qu’il avait choisi d’exécuter.
Durante aquellos quince años que había pasado aprendiendo a hablar inglés, aprendiendo a abrochar botones, a atar un cordón de zapato, aprendiendo los nombres de marcas de automóviles y otros incontables detalles y menudencias que en su mayor parte habían resultado innecesarios, durante todo aquel tiempo nunca había dudado de sí mismo, ni había dudado del plan para cuya realización había sido elegido.
Mais bien entendu ces moments passent toujours, comme celui-ci a passé, si bien que je me suis remis sur pied, traîné dans mes chaussures pas lacées vers la porte que Dawn Devonport avait laissée ouverte, l'ai refermée, puis suis revenu sur mes pas, ai éteint la lampe, me suis recouché toujours habillé, toujours avec ma cravate nouée, et ai immédiatement sombré dans une bienheureuse inconscience, comme si un panneau s'était ouvert dans la paroi de la nuit et qu'on m'eût placé sur une plaque pour m'enfourner et me boucler dans les ténèbres.
Pero siempre, naturalmente, ese momento acaba pasando, igual que pasó entonces, y me puse en pie y arrastré mis zapatos sin atar hasta la puerta que Dawn Devonport había dejado abierta, y la cerré, y regresé y apagué la lamparilla, y volví a echarme, todavía vestido, con el nudo de la corbata aún sin deshacer, y enseguida me sumí en una bendita inconsciencia, como si se hubiera abierto un panel en el muro de la noche y me hubieran deslizado sobre una losa en la oscuridad y me hubieran encerrado allí.
Il passait des heures à sa table habituelle, dans un coin discret au deuxième étage du café Atara, rue Ben Yehouda, vêtu d’un costume bleu sombre, d’une cravate à pois, tout rose, souriant, pomponné, bichonné, embaumant le shampoing, le talc et le parfum, éblouissant dans sa chemise blanche raide d’amidon, avec sa pochette immaculée et ses boutons de manchette en argent, entouré de sa suite de quinquagénaires ou sexagénaires bien conservées, moulées dans leur gaine et leurs bas nylon à couture apparente, des divorcées soigneusement maquillées, des dames superbes, parées de bagues, de boucles d’oreilles et de bracelets, manucurées, pédicurées, permanentées et frisottées, des matrones qui écorchaient l’hébreu avec l’accent hongrois, polonais, roumain ou balkanique.
Pasaba horas en su mesa de la discreta segunda planta del café Atara, en la calle Ben Yehuda, con un traje azul oscuro, una corbata de lunares, sonrosado, sonriente, pulcro, bien arreglado, oliendo a champú, talco y perfume, cautivador con su camisa blanca almidonada como una tabla, con su impecable pañuelo en el bolsillo de la chaqueta, con sus gemelos de plata en los puños, rodeado siempre de un séquito de mujeres bien conservadas de unos cincuenta o sesenta años: viudas con corsés apretados y medias de nailon con costura, divorciadas bien maquilladas, damas elegantes llenas de sortijas, pendientes y pulseras que se hacían la manicura, la pedicura, la permanente y se marcaban el cabello, matronas que hablaban un hebreo macarrónico con acento húngaro, polaco, rumano o balcánico.
morts en pyjama, morts en tricot de corps, morts en cravate et en col dur, morts aux paupières fermées ou aux yeux grands ouverts, certains avec la mâchoire détendue comme par un éclat de rire, d’autres avec une espèce de sourire somnambule, morts tombés sur le dos ou le visage enfoncé dans le sol ou couchés sur le côté, les genoux relevés, avec un seul trou dans la nuque ou la poitrine éclatée par les balles, morts tombés dans une flaque de sang ou aussi proprement que si un éclair ou une crise cardiaque les avait foudroyés, morts au ventre aussi gonflé que celui des cadavres d’ânes ou de mulets, morts isolés ou entassés les uns sur les autres, morts irréprochablement propres ou morts au pantalon taché d’urine ou d’excréments, du vomi séché sur la chemise, tous égalisés dans l’opacité grisâtre de leur peau : morts inconnus, photographiés de face et de profil, classés dans les registres de la Direction générale de la Sûreté, où un photographe et son assistant se rendaient chaque après-midi pour coller sur de grandes feuilles de carton les photos qu’ils venaient de développer, celles qu’ils avaient prises depuis l’aube dans les terrains vagues de Madrid.
muertos en pijama, muertos en camiseta, muertos con corbata y cuello duro, muertos con los párpados apretados o con los ojos muy abiertos, algunos con las mandíbulas distendidas como en una carcajada, otros con una especie de sonrisa sonámbula, muertos caídos boca arriba o con la cara hincada en el suelo o echados a un lado y con las piernas encogidas, con un solo agujero en la nuca o con el tórax abierto por los disparos, muertos caídos en un charco de sangre o tan limpiamente como si un rayo o un ataque al corazón los hubieran fulminado, muertos con los vientres tan hinchados como los cadáveres de burros o de mulos, muertos solos o amontonados los unos sobre los otros, muertos irreprochablemente limpios o con los pantalones manchados de orines y de mierda y con vómitos secos sobre las camisas, todos iguales entre sí tan sólo en la grisura opaca de la piel: muertos desconocidos, fotografiados de frente y de perfil, clasificados en los registros de la Dirección General de Seguridad, donde un fotógrafo y su ayudante llegaban cada tarde para pegar en las grandes hojas de cartulina las fotos recién reveladas, las que habían tomado desde el amanecer por los descampados de Madrid.
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