Translation for "copiste" to spanish
Copiste
Translation examples
copista
Je suis un bon copiste.
Copio textos. Soy un buen copista.
— Il m’avait dit qu’il était copiste.
—A mí me dijo que trabajaba como copista, dijo.
— Oui, crièrent les trois copistes.
—Sí, gritaron los tres copistas.
— Je crois que j’aimerais être copiste.
—Creo que me gustaría trabajar de copista.
Bien sûr c’est une communauté, bien sûr c’est aussi l’œuvre de copistes, et de copistes de copistes, n’empêche que le texte, à un moment, il y a bien quelqu’un qui l’a écrit – et ce quelqu’un, dans l’histoire que je raconte, c’est Luc.
Por supuesto que hay una comunidad, por supuesto que es también la obra de copistas y de copistas de copistas, pero esto no es óbice para que, en algún momento, lo haya escrito alguien, y ese alguien, en la historia que cuento, es Lucas.
Copiste, il ne voulait pas faire autre chose.
No quería trabajar de otra cosa que no fuera eso: copista.
— Aujourd’hui, a poursuivi Choulika, on est des copistes.
—En la actualidad —prosiguió Choulika—, somos copistas.
Des documents, des archives, une revanche de copiste, rien de plus.
Documentos, archivos, la revancha de un copista, eso es todo.
Frater Lucius était le meilleur copiste du monastère.
Frater Lucius era el mejor copista del monasterio.
Et elle lui rappela que cela restait un travail, son travail de copiste.
Y le recordó que, en el fondo, se trataba de un trabajo, su trabajo como copista.
escribiente
Bartleby était un copiste, disait-elle, un copiste qui avait été engagé par un avocat connu de New York (un excellent praticien, ce dernier : actif, capable, libéral, « un de ces Américains du XIXe, dans la peau de qui Spencer Tracy est si à l’aise ») pour recopier pour lui des dossiers, des conclusions et ainsi de suite.
Bartleby era un escribiente —decía—: un escribiente empleado por un conocido abogado de Nueva York (profesional excelente, este último: activo, capaz, «liberal», «uno de esos americanos del siglo XIX en cuyo papel está tan bien Spencer Tracy») para que le copiara expedientes, memorias, etcécera.
— Chevalier, excusez-moi, mais cette fois, je m’en souviens bien, parce que le copiste avait déjà préparé l’ordre de capture et que je lui ai dit de le déchirer, étant donné que vous aviez décidé autrement.
—Discúlpeme, caballero, pero esta vez lo recuerdo bien, porque el escribiente ya había compilado la orden de búsqueda y captura y yo le dije que la rompiera, dado que usted había determinado otra cosa.
Le « copiste » ou « écrivain » est celui qui a le visage le moins intelligent mais le mécanisme le plus compliqué : son poignet bouge en trois directions, la plume d’oie trace les lettres avec les pleins et les déliés de la règle calligraphique, elle trempe dans l’encrier, change de ligne comme une machine à écrire, et un dispositif la bloque quand elle met un point.
El «escribiente» o «escritor» es el que tiene la cara menos inteligente pero el mecanismo más complicado: el muñeco se mueve en tres direcciones, la pluma de ganso traza las letras con los llenos y los vacíos de las normas caligráficas, se moja en el tintero, cambia de línea como una máquina de escribir y un dispositivo la bloquea cuando pone punto final.
Son maître d’école de père lui avait enfoncé assez d’alphabet dans la tête pour qu’il puisse gagner sa vie comme copiste. Sa mère ? Une prêtresse d’un culte obscur des bas quartiers pour immigrants, qui aurait dû être interdit par la loi ! Qui était-il donc pour se pavaner dans l’Assemblée, parmi des hommes instruits dans les écoles de rhétorique ? Il se faisait constamment acheter, sans aucun doute ; mais maintenant on n’en finissait plus de parler de ses ancêtres, eupatrides bien sûr – vieux mensonge usé jusqu’à la corde ! – ruinés dans la Grande Guerre, de ses exploits militaires en Eubée, et de sa fastidieuse liste de citations à l’ordre du jour de l’armée.
Su padre y maestro de escuela era un don nadie, un humilde criado que le había metido las letras a golpes para que consiguiera un sueldo miserable de escribiente, y su madre una sacerdotisa de algún culto extranjero y marginal proscrito por la ley. ¿Quién era él para jactarse ante los miembros de la asamblea, educados todos en las mejores escuelas de retórica de la época? Sin duda tuvo que mantenerse al margen de los sobornos, pero en aquella época uno jamás dejaba de oír hablar acerca de los  antepasados, eupátridas por supuesto —¡ese trillado cuento!—, arruinados a causa de la Gran Guerra, de sus hazañas militares en Eubea y de sus tediosas menciones en mensajes.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test