Translation for "connaître" to spanish
Translation examples
Nous devions les connaître.
Teníamos que saber.
Vous n’avez pas plus besoin de connaître ma vie que je n’ai besoin de connaître la vôtre.
A usted no le conviene saber nada de mí, así como a mí no me conviene saber nada de usted.
Pour connaître ton nom.
Para saber tu nombre.
J’aimerais la connaître.
Me gustaría saber más sobre ella.
Sans connaître la tristesse...
Sin saber lo que es tristeza.
Il voulait nous connaître ;
Quería saber de nosotros;
—Je ne désire pas les connaître.
– No quiero saber nada de eso.
Je veux les connaître.
Quiero saber los suyos.
Il était utile de les connaître ;
Era útil saber lo que eran;
— Tu vas la connaître, tu vas la connaître ! déclara Humfrey.
—¡La conocerás, la conocerás! —exclamó Humfrey—.
— Vous voulez connaître ce gamin. Pour connaître votre fille.
—Quiere conocer al chico, para así conocer a su hija.
Il doit connaître ces…
Tiene que conocer estos...
Avant de connaître son Autre Partie, elle voulait connaître les hommes et le monde.
antes de conocer a su Otra Parte, quería conocer a los hombres y al mundo.
Elle apprend à mieux connaître les femmes et à mieux connaître les amis.
Enseña a conocer mejor a las mujeres y a conocer mejor a los amigos.
Connaître sa famille ?
¿Conocer a su familia?
— Sans se faire connaître!
—¿Sin darse a conocer?
— On ne peut le connaître.
—No se le puede conocer.
(Elle ne semblait pas connaître le mot.)
—No parecía reconocer la palabra.
Il avait craint de connaître le visage, mais il ne le reconnut pas.
Temió reconocer la cara, pero no fue así.
Elle me regarda. Je commençais à connaître ses regards.
Me miró. Empezaba ya a reconocer sus miradas.
C’est bizarre, j’ai l’impression de connaître le directeur du centre.
Es curioso, creí reconocer al director del centro.
Comment peut-il connaître l’action d’un poison ?
¿Cómo va a reconocer la acción de un veneno?
Bon, un Noir ouvre la porte et j’ai l’impression de le connaître.
Me pareció reconocer al negro que abrió la puerta.
Nous avons la voiture de Rolf, mais la PS doit en connaître le numéro.
Tenemos el coche de Rolf pero la PSE reconocerá el número.
Et Brian songea : J’ai l’impression de connaître ce bruit, il me semble.
Y Brian pensó: «Creo reconocer ese sonido.
L'avait-il haï sans le connaître?
¿Odiaba pensar en él?
— Nous apprenions à connaître votre mode de pensée.
—Estábamos aprendiendo vuestro modo de pensar.
Nous ne nous sommes jamais rencontrés. Pourquoi crois-tu me connaître, hein ?
Nunca nos hemos visto, ¿qué le hace pensar que me conoce, Waits?
L’image de Renner sourit largement et dit : « Je pense connaître ce monsieur.
La imagen de la pajeña de Renner se paró a pensar.
Elle avait peu à peu l’impression de connaître Nijinski depuis des années.
Empezó a pensar que conocía a Nijinsky desde hacía años.
Dans mon enfance on m’a appris à connaître la vertu, mais non à la pratiquer ;
De niño me enseñaron a pensar bien, pero no a corregir mi temperamento.
Je suis simplement habitué à connaître de petites déceptions.
Simplemente estoy acostumbrado a padecer pequeñas decepciones.
Elles se mettent aussi à connaître des problèmes perceptifs comme l’hyperréalité. »
También empiezan a padecer problemas de percepción, como la hiperrealidad.
Pourquoi devraient-ils connaître une mort horrible au nom de nations qui furent oubliées dès avant leur naissance ? Je veux qu’ils vivent.
¿Por que habrían de padecer muertes horribles por naciones que ya habían caído en el olvido antes que ellos nacieran? Quiero que vivan.
Se connaître soi-même et, en retour, endurer le poids perpétuel de la solitude. Être rejeté. Errer seul.
Consiste en ser conscientes de nosotros mismos y, en consecuencia, de padecer el recordatorio perpetuo de nuestra soledad. Sufrir el destierro. Deambular solos.
Nous avons la chance, dans les climats tempérés, de connaître peu de fièvres endémiques plus graves que la grippe dont les effets sont suffisamment désagréables mais qui, Dieu merci, n'entraîne que rarement des délires profonds.
Nosotros, los que vivimos en climas templados, tenemos suerte de padecer pocas enfermedades endémicas más graves que el catarro común, que hace que uno se sienta suficientemente miserable, sin duda, pero que raras veces implica un delirio inmediato.
Ce dernier avait-il d’ailleurs eu le loisir de grandir pour connaître le terrible sort que lui réservait Himmler, ou même subir l’enfance d’un pupille privilégié et otage précieux de l’État allemand ? Hitler, Himmler et Goering jouèrent-ils jamais un rôle déterminant dans l’ascension politique de Lindbergh sous la bannière d’America First ou dans l’élaboration de la politique américaine pendant ses vingt-deux mois à la présidence ? Furent-ils les artisans de sa mystérieuse disparition ? Autant de questions controversées depuis plus d’un demi-siècle, encore que la controverse soit aujourd’hui bien plus restreinte et bien moins virulente qu’en 1946. Cette année-là, malgré Westbrook Pegler, doyen des journalistes d’extrême droite hostile à Roosevelt, qui traita le récit de « journal délirant d’un mythomane patenté », Ma vie sous Lindbergh, du rabbin Bengelsdorf, demeura près de huit mois en tête des best-sellers avec deux biographies de FDR, lequel était mort en exercice l’année précédente, à quelques semaines de la reddition inconditionnelle de l’Allemagne nazie aux Alliés, qui mit un terme à la Seconde Guerre mondiale en Europe. Octobre 1942 La peur perpétuelle
Que, a consecuencia de la valentía mostrada por la primera dama, su hijo raptado sufriera algún daño, que Charles hijo sobreviviera a su infancia para padecer el terrible destino que Himmler había prometido, y no digamos para soportar la infancia de un pupilo privilegiado y preciado rehén del Estado alemán, que Himmler, Goering y Hitler hubieran desempeñado un papel relevante en la ascensión de Lindbergh a la cumbre de la política como miembro de América Primero, o hubieran intervenido en la conformación de la política estadounidense durante la misteriosa desaparición de Lindbergh, ha sido objeto de controversia durante más de medio siglo, aunque a estas alturas sea un debate mucho menos apasionado y extendido que cuando, durante treinta y tantas semanas de 1946 (y a pesar de la descripción a menudo citada que hiciera de él Westbrook Pegler, el decano de los periodistas estadounidenses de derechas contrario a Roosevelt, como «el diario estrafalario de un mitómano redomado»), Mi vida bajo Lindbergh permaneció en lo alto de las listas de superventas norteamericanas junto con dos biografías personales de FDR, que había muerto en el ejercicio de su cargo el año anterior, solo unas semanas antes de que la rendición incondicional de la Alemania nazi ante los Aliados señalara el fin de la Segunda Guerra Mundial en Europa. Octubre de 1942
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test