Translation for "bringue" to spanish
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Il a fait ses aveux à son officier responsable (O.R.) un lendemain de bringue.
Le hizo la confesión a su oficial superior después de una borrachera.
La relation que Hansa Olsen avait avec l’alcool, sa passion pour ses clients, son manque d’amitiés et sa bande de camarades de bringue.
La relación de Hansa Olsen con el alcohol, su apego a los clientes, su falta de amigos y su gran cantidad de compañeros de borrachera.
La bringue, les fredaines, les beuveries… À chaque pleine lune on volait jusqu’au village et on buvait, s’attachant à qui bon semblait.
Jarana y retozo, libación y borrachera, cada luna llena volába­mos a la aldea y bebíamos de donde caía.
Alors il est sorti faire une dernière bringue à tout casser, il a révolutionné toute la ville et il a fini en prison.
De modo que él se embarcó en una última y monumental borrachera, revolucionó toda la ciudad y acabo en chirona.
Oui, peut-être était-elle un peu plus forte – un peu bouffie – mais elle sortait d’une bringue de trois semaines, trois semaines où elle n’avait sifflé que de l’alcool, un sacré paquet de calories…
Bueno, quizás estuviera ahora un poco más gordita —más abotargada—, pero sin duda se debía a que esta última borrachera había durado tres semanas, y después de pasarse tres semanas bebiendo algo tan repleto de calorías como es el alcohol…
À en juger par son haleine, il n’a pas encore dessaoulé de sa nuit de bringue, sans doute avec les concierges de l’université, mais comme toujours sans que rien ne le trahisse dans son apparence, qui évoquerait plutôt un bretteur appliqué et sensible destiné à mourir dans la fleur de l’âge.
A juzgar por su aliento, no se ha sacudido aún la borrachera después de una noche de juerga, probablemente en compañía de los bedeles de la universidad. Sin embargo, como de costumbre, eso no se trasluce en su aspecto. Por su aspecto se diría que es un duelista susceptible y calculador a punto de morir demasiado joven.
J’aimais ces moments de bringue et de noire splendeur du flamenco où on perd la notion de l’heure, où tout paraît réfléchi ou immergé dans une transparence trouble, dans la lumière convulsée des lampes à huile, quand le rythme des pieds et des mains bat directement dans les tempes et que la gorge des chanteurs semble sur le point de se déchirer, dans la claustrophobie des tavernes closes, des ivresses primitives d’eau-de-vie et de cognac.
Me gustaban esos momentos de resplandor tenebroso de las juergas flamencas en los que ya no se sabe qué hora es y todo parece reflejado o sumergido en un cristal turbio, en una claridad convulsa de luces de aceite, cuando los zapateos y las palmas retumbaban directamente en las sienes y parecía que se desgarraban las gargantas de los cantaores, en una claustrofobia de tabernas cerradas y borracheras primitivas de aguardiente y coñac.
Everett et Henry Sears (qui était en train de dormir pour récupérer de la grippe et d’une bringue de quatre jours quand Everett était venu cogner à la porte du cottage du contremaître en criant Sears espèce d’enfoiré Sears sors-toi de là) portaient le cercueil : une longue malle de marin à poignées en cordage, qui durant les trente années passées avait contenu le trousseau de Mildred McClellan, son linge, des chutes de dentelles, une boîte de perles noires provenant d’une robe, et l’éventail en ivoire que l’arrière-grand-mère de Martha Currier avait amené au bal inaugural de Leland Stanford1 en 1862 ;
Transportaron el ataúd Everett y Henry Sears (que había estado durmiendo para recuperarse de la gripe y de una borrachera de cuatro días cuando la noche anterior Everett se había puesto a golpearle la puerta de la casita y a gritarle: Sears, hijo de puta, Sears, sal de ahí): un baúl marinero alargado y con asas de cuerda, que durante los últimos treinta años se había usado para guardar las sábanas de Mildred McClellan, sus puntas de encaje, una caja de cuentas negras de un vestido y el abanico de marfil que había usado la tatarabuela Currier de Martha en el Baile de Investidura del gobernador Leland Stanford en 1862;
C’était à la fin d’une de ses bringues.
Fue después de una de sus juergas.
— La bringue toute la nuit ?
—¿De juerga toda la noche?
Par bonheur, il n’était pas porté sur la bringue.
Felizmente, no le daba por la juerga.
— Ou sinon il s’est réellement offert une belle bringue.
—O realmente estuvo de juerga.
Ils ont commencé à bringuer et à baiser.
Empezaron a salir de juerga y a follar.
Il est parti faire la bringue, et un film.
Está por ahí de juerga y haciendo películas.
Je vous promets une de ces bringues chez le vieux Rastigaïev !
¡Te prometo una de esas juergas en lo del viejo Rastigaiev…!
— On appelle ça une bringue. Ça semble clair.
—Lo que se dice una juerga. Parece claro.
Silaïev et lui font la bringue dans un bordel très joyeux.
Silaiev y él están corriéndose una juerga en un burdel muy alegre.
Encore un gringo ivre qui revient d’une bringue sur Avenida Revolución.
Otro gringo borracho más que regresa de una juerga en la avenida Revolución.
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