Translation for "attrait" to spanish
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Et puis, dans ce lugubre jeu, il y avait une difficulté sans cesse renaissante, une sorte de risque aussi, dont Antoine ne pouvait s’empêcher de sentir l’attrait.
Por otra parte, en este juego lúgubre había una dificultad constante, así como cierto riesgo, cuyo atractivo no dejaba de seducir a Antoine.
Mais, ce faisant, il avait été séduit par l’attrait du jeu, par l’argent pompé dans le sol, follement investi, parfois pour des bénéfices rapides, plus souvent pour des avantages fabuleux mais futurs.
Pero al hacerlo se había dejado seducir por el placer del juego irresponsable; el dinero brotaba del suelo, se extendía rápido y sutil, a veces para retraerse en seguida y otras para quedar a la espera de fabulosas aunque futuras ganancias.
et l’on voit, par l’exemple de Rousseau, cet austère écrivain qui a inscrit en tête de tous ses ouvrages cette devise : Vitam impendere vero, que l’orgueilleuse philosophie elle-même peut se laisser séduire à l’attrait de cette maxime bien différente : La fin justifie les moyens.
y se vé, por el ejemplo de Rousseau, austero escritor que ha inscrito á la cabeza de todas sus obras esta divisa: Vüam impendere vero, que hasta la orgullosa filosofia puede dejarse seducir por el atractivo de esta otra máxima muy diferente; El fin justifica los medios.
Elles étaient parfois vaincues parce que l’attrait de la mer était trop puissant : cet appel lancé à des hommes depuis trop longtemps attachés à un piquet dans une terre trop aride, cette promesse de gain et d’aventure, la séduction des découvertes exotiques loin du regard de leurs aînés et de la Kirk.
A veces, las mujeres perdían la batalla, debido a que el señuelo del mar era demasiado atractivo, ya q e los hombres, cansados del duro trabajo en las tierras estériles, se dejaban seducir por las promesas de ganancias y aventuras, por la seducción de las experiencias exóticas, lejos de la vigilante mirada de sus mayores y del pastor.
Quand Virgile, dans son Énéide, composée quelques années après la victoire d’Octavien, imagine la reine Didon « se consumant d’amour » dans son royaume africain de Carthage et usant de ses attraits pour tenter de détourner Énée de son destin de futur fondateur de Rome, il y a là plus qu’un vague écho de la figure de Cléopâtre.
En la Eneida, escrita pocos años después de la victoria de Octaviano, encontramos algo más que un leve eco de Cleopatra cuando Virgilio imagina a la reina Dido «ardiendo de amor» en su reino africano de Cartago y tratando de seducir a Eneas para apartarlo de su destino de fundador de Roma.
C’est une sagesse sans attraits.
—Es una sabiduría sin atractivo.
L’exil n’était pas sans attrait.
No era que el exilio careciera de atractivos.
L’attrait des oeillets s’évaporait.
El atractivo de los claveles se evaporaba.
(L’attrait universel de la miniature !
(¡El atractivo universal de lo diminuto!
L’attrait du mystère. L’aventure.
El atractivo del misterio. La aventura.
ils ont perdu pour nous l’attrait du mystère.
Han perdido para nosotros el atractivo de lo secreto.
Ça faisait partie de son attrait.
Era parte de su atractivo.
Vous multiplierez l’attrait du jeu. »
Así multiplicará el atractivo del juego».
— Serait-ce là un attrait supplémentaire ?
—¿Debo suponer que es un atractivo adicional?
Jamais ne contenaient l’attrait mystérieux
Jamás contenían el atractivo misterioso
Plus encore que cet attrait partagé, peut-être y avait-il dans l’assurance péremptoire avec laquelle l’archéologue affirmait une hypothèse que tous ses collègues s’accordaient à juger comme la plus improbable de toutes, quelque chose de nature à fasciner Bartlebooth et à l’encourager dans sa propre entreprise.
Más aún que esa atracción compartida, tal vez había en la seguridad perentoria con que el arqueólogo afirmaba una hipótesis que todos sus colegas estaban de acuerdo en juzgar como la más improbable de todas algo capaz de fascinar a Bartlebooth y animarlo en su propia empresa.
— Quoi ? — Tu as bien entendu. Le sexe. Au bout de cent ans à peine, la fascination et l’excitation des premières années cède la place à l’ennui. Rien n’a plus l’attrait exaltant de la nouveauté, puisque tout est désormais connu… C’est alors que soudain survient la Conjonction des Sphères, et vous, les humains, faites votre apparition sur ces terres.
—¿Cómo? —Has oído bien. El sexo. Al cabo de menos de cien años acaba por hacerse aburrido. Nada hay en ello que pudiera fascinar y excitar, que tuviera la belleza excitante de la novedad. Ya se ha hecho de todo... De una u otra forma, pero todo. Y entonces, de pronto, tiene lugar la Conjunción de las Esferas y aparecéis vosotros aquí, los humanos.
Ils ne disposent d’aucun attrait pour faire venir de nouveaux colons ni de quoi renforcer leurs effectifs de plus en plus affaiblis.
No tienen nada de valor que pueda atraer a nuevos habitantes, ningún refuerzo para sus mermadas filas.
Tout le jour elle courut, essayant toutes les ruses et jouant les canards boiteux pour entraîner la rapide Vénus à se détacher de la Manche. Mais rien à faire. Hamelin refusait l’attrait romanesque du combat singulier et ne voulait se battre qu’à son avantage. Les deux Français, toujours à moins d’un demi-mille l’un de l’autre, poursuivirent obstinément la Boadicea de Maurice à la Réunion.
Continuó navegando con rapidez todo el día, tratando inútilmente de atraer a la veloz Vénus con astucia, con toda clase de ardides, para lograr que dejara atrás a la Manche; pero nada sirvió. A Hamelin no le parecía nada romántico un combate en solitario y estaba decidido a luchar con ventaja, y aunque las fragatas francesas persiguieron obstinadamente a la Boadicea a través de las aguas que separaban Mauricio de Reunión, se mantuvieron siempre a media milla de distancia la una de la otra.
Terrassée par l’émotion, les mains tremblantes, elle ôte sa chemise de nuit de malade imaginaire et enfile ses propres vêtements et, sans un regard en arrière, elle se précipite vers l’entrée du port par laquelle elle avait pénétré la veille, qu’elle trouve verrouillée, sans doute par crainte que des clandestins ne s’y glissent pour embarquer vers l’outre-mer. Elle rebrousse chemin en direction du portail opposé, qu’elle a eu la présence d’esprit de repérer en plein jour, et l’énorme hangar, qu’elle considérait hier comme une métaphore de la condition humaine, n’est pas aussi impressionnant qu’elle l’imaginait dans son fauteuil roulant car, au bout de quelques mètres, elle se retrouve devant le portail opposé que le vigile imposant a déserté. La porte-tambour barrant la sortie dissimulée au bout du quai, qui, hier, déversait les dockers l’un après l’autre, lui fait entendre son grincement rouillé et l’expulse vers la réalité qui n’est, pour l’heure, qu’une rue étroite et déserte. Mais elle est persuadée qu’une main de femme tendue dans une rue sans passants offre un attrait suffisant aux yeux d’un conducteur matinal et, jusqu’à l’arrivée de cette proie facile, elle lève les yeux vers les cieux de l’aube pour y dénicher, comme son père le lui a appris, la planète scintillante qui lui a donné son nom.
Muda por la impresión, las manos temblorosas, se despoja del camisón de paciente imaginaria para volver a ponerse su verdadera ropa y, sin mirar atrás, se apresura hacia la entrada principal por la que llegó ayer, pero al encontrarla cerrada con llave, quizá por miedo a que se cuelen por la noche los seres que viven allende el mar, se dirige inmediatamente hacia la puerta trasera, de cuya existencia tenía prueba. El inmenso almacén, que anoche parecía una metáfora de la humanidad, no resulta tan grande como con las ruedas de su silla imaginaria, porque en cuestión de minutos sus piernas la han llevado a la entrada trasera, ahora abandonada por el enorme guardia de seguridad. La misma puerta giratoria situada al final del muelle, que anoche vomitó uno a uno a los trabajadores del puerto, la devuelve a la realidad con un chirrido oxidado. A estas horas las calles de la ciudad se muestran solitarias, pero Noga está segura del poder de un pulgar femenino levantado, que atraerá sin duda a algún conductor madrugador. Mientras aparece, alza los ojos hacia el cielo intentando encontrar, tal y como le había enseñado su padre, la brillante estrella con la que comparte nombre.
Les enfants restèrent un bon moment, assis par terre, a examiner la porte dans les moindres détails. Ils avaient sué sang et eau, comme on dit, pour la mériter. Ils avaient dû pousser l'armoire, manifestement placée devant exprès, ce qui conférait à leur découverte un attrait irrésistible.
Los chicos la estuvieron mirando un buen rato sentados en el suelo. Les había costado el sudor, la sangre y las lágrimas proverbiales apartar el armario lo justo para que quedara enteramente al descubierto. Todo parecía indicar que el armario había sido colocado en aquel lugar solo para ocultarla. Ahora que la habían descubierto, esa intención confería a la puerta una fascinación muy especial.
Nous devons nous employer à éviter que vous ne vous ennuyiez. Dundridge se figea sur le divan et s’efforça de détourner les yeux de Lady Maud dont les attraits le fascinaient. — Je vais vous resservir, souffla-t-elle doucement. Et à nouveau il se sentit défaillir sous les bouffées de l’alcool et de son parfum. Ce qui le subjuguait vraiment, c’était son assurance : elle était grosse, elle était autoritaire, elle n’avait rien d’une belle femme selon ses critères à lui, et pourtant, elle n’en était pas moins sûre d’elle.
Tenemos que hacer todo lo que esté en nuestra mano para evitar que se aburra aquí.  La posibilidad de aburrirse le pareció muy remota a Dundridge. Permaneció sentado rígidamente en el sofá y procuró apartar la vista de la incomprensible fascinación que sobre él ejercía aquel cuerpo.  —Voy a prepararle otra copa —susurró ella, y una vez más Dundridge tuvo la sensación de estar siendo derrotado por Lady Maud.  Lo que más le fascinaba, aparte de los efectos de la bebida y de las ráfagas de perfume que le llegaban, era la fuerza del aplomo de aquella dama.
L’être paré d’un attrait particulier aux yeux d’Alvin, en l’occurrence, n’était nullement la promise, mais le futur beau-père, fin négociateur, prêt à le délivrer du monde des machines à sous – où, assisté par deux gros bras qui soulevaient la marchandise et écartaient les malfaisants, mon cousin était employé à transporter et installer les machines illégales – pour faire de lui un restaurateur chic d’Atlantic City, portant costume sur mesure en soie de Hong Kong et chemise blanche à monogramme ton sur ton. Mr Schapp avait lui-même fait ses débuts dans les années vingt sous le nom de Billy Schapiro des Flippers, petit malfrat associé aux pires voyous, dont l’oncle de Shushy Margulis, des quartiers les plus lépreux dans les rues les plus violentes des zones déshéritées du sud de Philadephie, mais voilà, en 1942, les flippers et autres machines à sous rapportaient plus de quinze mille dollars non déclarés par semaine, et Billy des Flippers s’était réincarné sous l’identité de William F. Schapp II ; ce très honorable membre du Country Club de Green Valley, de la fraternelle organisation juive Brith Achim (le samedi soir, il y emmenait sa dynamique épouse dans ses bijoux gigantesques danser sur la musique de Jackie Jacobs et ses Jolly Jazzers), était également un fidèle de la synagogue de Har Zion, dont les pompes funèbres lui avaient vendu une concession dans un coin magnifiquement paysagé du cimetière attenant. Il était aussi le maharaja d’une demeure de dix-huit pièces dans une banlieue nommée Merion, et l’hiver, vraie revanche du petit pauvre, il partait en villégiature dans une suite au dernier étage que lui réservait à l’année l’Eden Roc de Miami Beach.
En cualquier caso, ese alguien especial no era allí la futura esposa sino el futuro suegro, un poderoso negociante dispuesto a apartar a Alvin del negocio de las máquinas de juego (donde, ayudado por dos matones intimidantes que transportaban la carga y mantenían a raya a los malhechores, mi primo trabajaba como transportista e instalador de las máquinas ilegales) y convertirlo en un restaurador de Atlantic City vestido con un traje de seda de Hong Kong a medida y camisa blanca con monograma. Aunque el señor Schapp inició su carrera en los años veinte como Flipper Billy Schapiro, un estafador de tres al cuarto asociado con los peores matones de las hileras de casas más ruinosas en las calles más violentas de las malas tierras de Filadelfia Sur (entre ellos el tío de Shushy Margulis), en 1942 los beneficios de las máquinas del millón y tragaperras ascendían a más de quince mil dólares sin declarar cada semana, y Flipper Billy se había regenerado como William E Schapp II, miembro altamente estimado del club de campo Green Valley, de la organización fraternal judía Brith Achim (donde los sábados por la noche, en compañía de su dinámica esposa cargada de joyas, iba a bailar al ritmo de la música de Jackie Jacobs y sus Jolly Jazzers) y de la sinagoga Har Zion (a través de cuya sociedad funeraria adquirió una parcela familiar en un rincón bellamente ajardinado del cementerio de la sinagoga), así como el marajá de una mansión de dieciocho habitaciones en el barrio residencial de Merion y el ocupante en invierno —el sueño de todo muchacho pobre— de una suite en la planta superior, reservada para él cada año, en el Eden Roc de Miami Beach.
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