Translation for "associant" to spanish
Associant
Translation examples
Car, s'associant fidèlement à la fortune de son ministre, il lui avait emprunté ce nous qu'il répétait volontiers.
Porque, asociándose fielmente a la fortuna de su ministro, le había copiado aquel plural que repetía de buen grado.
Les hommes, en convenant de s’associer, ou plutôt en s’associant par la volonté du législateur, ont donc un but très-précis.
Los hombres, al convenir en asociarse, ó mas bien asociándose por la voluntad del legislador, tienen pues un objeto muy determinado.
Si le Concordat ne prend pas, les créanciers nomment alors des Syndics définitifs, prennent des mesures exorbitantes en s’associant pour exploiter les biens, le commerce de leur débiteur, saisissant tout ce qu’il aura, la succession de son père, de sa mère, de sa tante, etc.
Si el concordato no se logra, entonces los acreedores nombran síndicos definitivos, y toman exorbitantes medidas asociándose para explotar los bienes y el comercio de su deudor, embargándole todo lo que tenga, la herencia de su padre, de su madre, de su tía, etc.
Même les Jedi ont compris qu’on n’a rien à gagner en s’associant avec un être qui ne peut comprendre ce que signifie être entre les mains de la Force. L’Ordre limite le mariage par dogme. Les Jedi disent qu’ils le font au service de la pureté d’Ashla.
Incluso los Jedi entienden que no se logra ningún beneficio asociándose con un ser que no posee la habilidad de entender lo que significa ser dominado por la Fuerza, por eso la Orden restringe el matrimonio por dogma, en servicio, eso dicen ellos, de la pureza de Ashla.
La plupart des derviches, comme les surnomma Le Dindon déchaîné, trouvaient qu’ils avaient assez fait en s’associant à ces circumductions, mais beaucoup arboraient en outre des péririons qui flottaient au-dessus de leur bicyclette ou dont ils fichaient la hampe dans leur ceinture, de façon à rouler ou à marcher surmonté par un slogan plus ou moins imaginatif : « Liberté pour Kournossov », « Non à l’imposture soviétique », « Relâchez ie Prisonnier anonyme », « Démasquez-le ou démasquez-vous », « Échangerions Marchais contre Kournossov », « Relâchez Kournossov, soignez Brejnev », « A bas les psykhouchkas », « Vous êtes pires que les tsars », et même le sibyllin « ABREJEZ ! ».
La mayor parte de los derviches, como les apodó El Pato Desencadenado, hallaron que ya habían hecho bastante asociándose a aquella noria, pero fueron muchos los que enarbolaban, además, pendones que flotaban por encima de sus bicicletas, o bien fijaban las astas en sus cinturones para rodar o caminar bajo un eslogan más o menos imaginativo: «Libertad para Kurnossov», «No a la impostura soviética», «Soltad al Prisionero anónimo», «Desenmascaradle o desenmascaraos», «Canjearíamos a Marchais por Kurnossov», «Soltad a Kurnossov. Ocupaos de Breznev», «Abajo aspsikhuchkas», «Sois peores que los zares», e incluso el sibilino «ABREJEZ!».
Anna-Lise posait des questions, méthodique comme à son habitude : si la nature a horreur du vide, ce qui reste à prouver, elle avait horreur du flou, c’est par contre évident, curieux pour quelqu’un dont le flou est le domaine, je dirais presque la spécialité, le flou du flux des réponses des écrivains à ses brèves questions précises, mais Anna-Lise ignorait jusqu’à l’existence de Yannick de Kerhuel, il fallut que Penthésilée lui expliquât, cet imparfait du subjonctif surgissant ici comme le signe ironique et complice d’un Narrateur qui tient à souligner que le monologue intérieur n’est qu’un artifice du récit, Carlos-María ne pouvant en aucun cas s’occuper des imparfaits du subjonctif dans cette espèce d’hémorragie verbale, langagière du moins, par laquelle il se remémore, pour le bénéfice instructif du lecteur autant que pour son propre besoin de mise au point intime, les épisodes qui séparent le moment présent de l’instant où nous l’avons laissé dans une position à la fois difficile et plaisante, avec les truands corses encore dans l’escalier de l’immeuble, d’une part, mais Élizabeth d’autre part s’avançant vers lui, à genoux, l’œil impudique et souriant, la bouche souriante et goulue, et il avait pensé aux volumes de théâtre élizabethain, justement, qu’il avait eu le temps de distinguer dans la lourde armoire vitrée contre laquelle il s’adosse à présent, les coudes en arrière pour prendre appui sur l’une des étagères de la massive armoire dont les battants de portes étaient restés ouverts, et il avait remarqué tout à l’heure, en les ouvrant précisément pour observer de plus près les titres des livres qui s’y trouvaient, remarqué que les portes étaient montées sur des gonds fixés à une espèce de colonne torsadée, de chaque côté de la lourde armoire, pour prendre appui en arrière, tandis que ses genoux commençaient à trembler, qu’il tendait le ventre en avant pour s’enfoncer, non, c’est elle qui venait vers lui, qui le happait, le dévorait, mais les coudes en arrière, le visage dressé, essayant de penser à autre chose, ou plutôt à ça, mais d’une autre façon, plus détournée, essayant d’obnubiler, d’oblitérer, d’obscurcir toutes les images qui foisonnaient dans ce qu’on appelle esprit, cerveau, mémoire, imagination, comme on voudra, lieu clos quoi qu’il en soit, sombre, où naissent, fulgurantes, les images s’associant sans cesse à d’autres éclaboussures, éclats, éclatements ensoleillés, ainsi cette image d’un autre jour, rue des Bourdonnais, le souvenir d’une autre bouche aussi délicieusement avide que celle-ci, le soleil de l’après-midi tombait latéralement sur le lit, mais comment est-ce possible ?
Anna-Lise hacía preguntas, metódica como de costumbre: si la naturaleza tiene horror al vacío, lo cual está por demostrar, ella tenía horror a lo impreciso, curioso para alguien que tiene en lo impreciso su terreno propio, yo diría casi su especialidad, lo impreciso del flujo de las respuestas de los escritores a sus preguntas breves y precisas, pero Anna-Lise ignoraba hasta la existencia de Yannick de Kerhuel, fue necesario que Pentesilea le explicara, imperfecto del subjuntivo que surge aquí como el signo irónico y cómplice de un Narrador deseoso de subrayar que el monólogo interior no es más que un artificio del relato, ya que Carlos María no podía, en ningún caso, ocuparse de los imperfectos del subjuntivo en esta especie de hemorragia verbal, lingüística al menos, con la que rememora, en beneficio instructivo del lector, tanto como por su propia necesidad de concreción íntima, los episodios que separan el momento presente del instante en que le habíamos dejado en una situación a la vez difícil y placentera, con los rufianes corsos todavía en la escalera del inmueble, por una parte, pero con Elisabeth, por otra, avanzando hacia él, de rodillas, impúdica y sonriente la mirada, sonriente y golosa la boca, y él había pensado en los volúmenes de teatro isabelino, precisamente, que había tenido tiempo de distinguir en el pesado armario encristalado contra el que ahora se adosa, con los codos echados hacia atrás para apoyarse en uno de los estantes del macizo armario cuyas puertas habían quedado abiertas, y había observado hacía un instante, precisamente al abrirlas para examinar más de cerca los títulos de los libros que se encontraban en él, observando que las puertas se hallaban montadas sobre goznes fijados a una especie de columna torneada, a ambos lados del pesado armario, para apoyarse hacia atrás, mientras empezaban a temblarle las rodillas y tendía el vientre hacia delante para hundirse, no, era ella quien venía hacia él, quien le atrapaba en su boca, le devoraba, pero los codos hacia atrás, el rostro erguido, intentando pensar en otra cosa, o más bien en eso, pero de otra manera, más distante, intentando obnubilar, obliterar, oscurecer todas las imágenes que pululaban en lo que se llama espíritu, cerebro, memoria, imaginación, como se quiera, lugar cerrado, de todos modos, sombrío, en el que nacen, fulgurantes, las imágenes asociándose sin cesar a otros fulgores, fulguraciones, estallidos luminosos, como esta imagen de otro día, en la calle de Bourdonnais, el recuerdo de otra boca tan deliciosamente ávida como ésta, el sol de la tarde caía lateralmente sobre la cama, pero ¿cómo es posible?
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