Translation for "ansée" to spanish
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La photo d’Aoife, Örvar et d’elle-même à dix ans devant une excavation à L’Anse aux Meadows.
La foto muestra a Aoife, a Örvar y a Lorelei con diez años sobre el fondo de una excavación en L’Anse aux Meadows.
Vous n’êtes que tous les deux, ici, observe le gamin, alors, elle lui parle de son époux qui s’est noyé dans l’anse, à deux pas de la maison, c’était il y a vingt ans.
¿Vivís los dos solos aquí?, le pregunta, y entonces ella empieza a hablarle de su marido, que se ahogó en la orilla de la cala, justo aquí, fuera de casa, hace veinte años.
Pendant des années, une jeune fille avait entendu, malgré elle, les bavardages qu’on échangeait autour du puits, à Fézana, ou dans l’anse de la rivière où les femmes lavaient leur linge.
A lo largo de los años, una niña había oído, contra su voluntad, habladurías junto al pozo en Fezana, o en la zona poco profunda del río donde las mujeres lavaban la ropa.
— Il y a des années que je ne l’écoute plus, répondit la femme en écartant les mains devant elle dans un geste désabusé. Nous avons un petit voilier dans une anse, à une demi-lieue d’ici.
—Dejé de escucharlo hace muchos años —respondió ella con un gesto de impotencia—, pero ha desaparecido un pequeño yate que atracamos en una cala, a un kilómetro y medio de aquí, de modo que supongo que se habrá marchado en él.
Et parce que l’anse peut ne pas se pointer avant des semaines, des mois, voire des années, j’ai une petite boîte dans un coin de mon esprit rempli de tasses inachevées, chacune d’elles protégée par cet emballage mental unique que l’on appelle la mémoire.
Como el asa puede tardar semanas, meses o incluso años en presentarse, en el fondo de la cabeza tengo una cajita llena de tazas inacabadas, protegidas todas ellas con ese material de embalaje mental único que llamamos memoria.
Ses errances d’île en île dans les Antilles, ses trois années d’exil en Caroline du Sud et à présent, enfin, ce séjour à Londres – le cadre de sa jeunesse devenu au fil du temps un lieu saturé de méfiance et de peur –, tout cela lui était plus supportable depuis qu’elle avait trouvé une anse où s’abriter, un port dans un océan de drames et de remords.
Su vida de vagar sin hogar primero en las Indias, más tarde, durante tres años, en Carolina del Sur, y ahora, finalmente, en Londres —el hogar de su juventud, pero ahora el lugar del mundo más cargado de sospechas y miedo—, se había visto aliviada para ella con el descubrimiento de un puerto seguro, uno solo, una isla en un mar de tumulto y remordimiento.
– Sûr. Je vous promets que je n’ai pas d’armes… Je veux savoir si un événement que je crois avoir vécu il y a long­temps a pu vraiment avoir lieu ou si cela ne s’est pas passé comme cela, et il lui raconta le souvenir du jour où il avait vu Hemingway descendre du Pilar dans l’anse de Cojímar et dire au revoir à un homme qui devait être Ruperto en personne.
– Seguro. Mire, vengo desarmado… Yo quiero saber si algo que yo creo que me pasó hace muchos años pudo ocurrir de verdad o si son imaginaciones mías -y le contó su recuerdo del día en que había visto a Hemingway bajar del Pilar en la caleta de Cojímar, y despedirse de un hombre que debía de ser el mismo Ruperto.
Mieux valait choisir un set de petites serviettes, ou un ensemble de supports en métal argenté, en forme de spirale, avec de jolies anses, pour boire un verre de thé sans se brûler les doigts, voilà un présent modeste et esthétique, très pratique, qu’on ne jetterait pas aux ordures mais qui servirait de longues années avec à chaque fois, peut-être, une petite pensée pour nous.
Tal vez lo mejor fuera llevar sencillamente unas servilletas, o un pequeño juego de portavasos, de metal plateado, con filigrana y bonitas asas, donde se pudiera servir té hirviendo: un regalo modesto, estético y práctico al mismo tiempo, que no se estropeaba sino que se usaba durante muchos años, y quizá cada vez que lo usasen nos recordarían por un instante con cariño.
— Puis-je vous aider ? » dit-il, et il voulut s’emparer du seau, mais elle prévint son geste : « Non, c’est mon travail. » Tout en lui souriant familièrement, elle empoigna l’anse, balança un peu le seau comme par fanfaronnade si bien qu’elle renversa un peu d’eau de lessive sale sur le carrelage jaune, puis porta rapidement le récipient au cabinet dont elle laissa la porte ouverte. On l’entendit vider l’eau dont la mousse devait disparaître dans une profondeur de plus en plus grande, de plus en plus noire jusqu’à complet écoulement. Entre temps, Andréas s’était rapproché de la fenêtre sous laquelle, à son idée, devait se trouver le jardinet aux guêpes.
—¡Oh, ni hablar! Ése es mi trabajo. Y, sonriendo sin desconfianza, levantó el asa y agitó un poco el cubo de acá para allá, de forma que cayeron unas gotas de la sucia agua jabonosa sobre las baldosas amarillas. Lo llevó con rapidez al retrete y echó el agua con la puerta abierta, o sea, que se oyó perfectamente cómo caía y se sumergía más y más en la profundidad oscura. Andreas se dirigió a una ventana por la que creía se tenía que ver el jardincito con las abejas, y le pareció lógico que hubiera en el alféizar una maceta con tierra no renovada desde hacía años y en la que, como una repetición de lo que esperaba ver abajo, había todavía unas ramitas secas.
Ils se connaissent et se serrent la main comme s’ils engageaient une partie de bras de fer. Nous sommes introduits dans le bureau du capitaine, après avoir dépassé des vitrines où sont exposées des maquettes de tankers si longs que l’équipage est sans doute obligé de bivouaquer trois nuits de suite pour se rendre de la poupe à la proue. Les hublots du bureau sont aussi larges que des couvercles de puits et placés de telle sorte qu’on aperçoit en contrebas les massifs de fleurs de Sankt Annse Plads. Je réalise alors que ce décor maritime d’opérette, le plus saugrenu que j’aie jamais vu, se situe au deuxième étage d’un immeuble bourgeois donnant sur le palais royal d’Amalienborg. Un gamin de quatorze ans au plus, le nez couvert de taches de son et les cheveux roux clair plaqués en arrière comme ceux d’un premier communiant, trône derrière un bureau aux bords relevés pour empêcher qu’une houle hypothétique n’envoie les stylos en or valdinguer par terre.
Él la conoce. Se dan la mano de una manera que parece que estén a punto de echar un pulso y después proseguimos hasta el camarote del capitán. De camino pasamos junto a unas vitrinas con maquetas de petroleros, de esos en los que la tripulación se ve obligada a acampar tres veces para ir de un extremo a otro. Aquí dentro, los ojos de buey son grandes como las tapas de los pozos, y más bajos, para que puedas pasear la mirada por los arbustos del pequeño parque que hay en medio de la plaza de Santa Ana y recordar que toda esta parafernalia marítima se encuentra en un segundo piso de un palacete cuya parte trasera da a Amalienborg, y que constituye la peor extravagancia de interiorismo que recuerdo haber visto en toda mi vida. Detrás del escritorio, provisto de listones de madera para que los bolígrafos dorados no puedan rodar al suelo durante el imaginario oleaje, está sentado un niño que no parece tener más de catorce años, repeinado y con la confirmación recién superada, cabello color arena y pecas en la nariz.
Il avait cessé de marmonner quand il croisa une femme en deuil qui entrait, c’est toujours comme ça, les uns arrivent, les autres partent, elle lui dit, Bonjour, monsieur Cipriano, cette salutation respectueuse s’explique autant par la différence d’âge que par le fait que c’est l’usage à la campagne, et il répondit, Bonjour, s’il ne dit pas le nom de la femme ce n’était pas parce qu’il ne le connaissait pas, mais parce qu’il pensait que cette personne en grand deuil de son mari ne participera pas aux sombres événements qui s’annoncent, ni au récit qui en sera fait, encore qu’il soit certain qu’elle au moins a l’intention d’aller à la poterie le lendemain pour y acheter une cruche, comme elle l’annonce d’ailleurs, Demain j’irai là-bas acheter une cruche, mais j’espère qu’elle sera de meilleure qualité que l’autre, quand je l’ai soulevée l’anse m’est restée dans la main, la cruche s’est cassée en morceaux et m’a inondé toute la cuisine comme vous pouvez l’imaginer, il faut dire que la pauvre était déjà bien vieille, la vérité m’oblige à le reconnaître, et Cipriano Algor répondit, Vous n’aurez pas besoin d’aller à la poterie, je vous en apporterai une neuve pour remplacer celle qui s’est cassée, vous n’aurez pas à la payer, c’est un cadeau de la maison, Est-ce parce que je suis veuve que vous dites ça, demanda la femme, Non, quelle idée, c’est juste un cadeau, rien de plus, nous avons une masse de cruches que nous n’arriverons peut-être jamais à vendre, Si tel est le cas, je vous remercie beaucoup, monsieur Cipriano, Il n’y a pas de quoi, Une cruche neuve c’est quelque chose, Oui, c’est quelque chose, mais sans plus, Alors à demain, je vous attends, et encore une fois merci beaucoup, À demain.
Ya iba callado cuando se cruzó con una mujer vestida de luto que entraba, siempre ha sido así, unos que llegan, otros que parten, ella dijo, Buenas tardes, señor Cipriano, el tratamiento de respeto se justifica tanto por la diferencia de generación como por la costumbre del campo, y él retribuye, Buenas tardes, si no dijo su nombre no fue por desconocimiento, antes bien por pensar que esta mujer de luto cerrado por un marido no irá a tener parte en los sombríos acontecimientos futuros que se anuncian ni en la relación que de ellos se haga, aunque también es cierto que, al menos ella, tiene intención de acercarse mañana a la alfarería a comprar un cántaro, según está anunciando, Mañana iré a comprar un cántaro, pero ojalá sea mejor que el último, que se me quedó el asa en la mano cuando lo levanté, se partió en pedazos y me inundó toda la cocina, imagínese lo que fue aquello, es verdad, para ser sinceros, que el pobrecillo ya tenía una edad, y Cipriano Algor respondió, Excusa ir a la alfarería, yo le llevo un cántaro nuevo que sustituya al que se ha roto, y no tiene que pagarlo, es regalo de la fábrica, Dice eso porque soy viuda, preguntó la mujer, No, qué idea, es sólo una oferta, nada más, tenemos una cantidad de cántaros que a lo mejor nunca llegaremos a vender, Siendo así, le quedo muy agradecida, señor Cipriano, No hay de qué, Un cántaro nuevo es algo, Sí, pero es únicamente eso, algo, Entonces hasta mañana, allí le espero, y una vez más muchas gracias, Hasta mañana.
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