Translation for "année à venir" to spanish
Translation examples
Je compte revendre ces actions au cours de l’année à venir, date à laquelle leur valeur aura considérablement augmenté.
El año que viene venderé dichas acciones, que para entonces habrán aumentado considerablemente de valor.
« Les gens donnent de bon cœur toute leur garde-robe d’été, pour pouvoir s’en payer une autre pour l’année à venir.
—La gente dona con gusto toda la ropa de verano para comprar más el año que viene.
Des personnes qui pourraient les orienter quant au genre de produits bon marché que Murcig pourrait lancer pour l’année à venir.
Personas que pudieran orientarlos sobre el tipo de productos baratos que Murcig podría lanzar para el año que viene.
Mais j’aime à caresser l’idée que l’année à venir, que l’on dit être celle de la Bête et de mille prédites calamités, sera pour moi année de noces.
Pero me gusta alimentar la idea de que el año que viene, el que dicen que será el de la Bestia y el de las mil calamidades profetizadas, será para mí un año de boda.
Mais vous aussi vous aurez votre tour, mon cher Hollier. Je vais battre de nouveau les cartes. Ensuite, vous ferez votre choix et nous verrons ce que l’année à venir vous réserve. »
Pero no vamos a dejarte fuera de juego a ti, querido Hollier. Voy a barajar las cartas otra vez, después sacas tú y veremos lo que te depara el año que viene.
— Je rentre d’une réunion à Launceston, dit-il, réunion qui fait suite à un grand nombre d’autres du même ordre qui ont eu lieu durant ces quelques dernières années, et les assistants ont été informés enfin que le gouvernement de sa Majesté était déterminé à prendre certaines mesures pour l’année à venir.
—Vuelvo de una reunión celebrada esta noche en Launceston —dijo—, que no era más que una de las muchas reuniones similares celebradas durante estos últimos años. Y los presentes hemos sido informados, al fin, de que el Gobierno de su Majestad se prepara para tomar ciertas medidas el año que viene para vigilar las costas del país.
Ils entrent, ils sortent, ils te changent ceci, cela, je sais même pas ce qu’ils me mettent, d’ailleurs je demande pas, c’est humiliant, il me manque plus que les couches, moi, je voulais pas, pourquoi maman ne vient pas me sortir de là ? pourquoi les gens qui me rendent visite ne me regardent pas dans les yeux ? le pire, c’est que tout ça ne m’a rien appris, ce que j’éprouve, c’est de la rancœur, avant, comment dire, je croyais que souffrir était utile à quelque chose, comme une sorte de balancier, tu vois ? une souffrance en échange d’un enseignement, une faiblesse en échange de telle connaissance, merde, tout ça est une vraie merde, et puis quelle vanité, comme si on pouvait exploiter la douleur, non, la douleur est pure, elle n’a aucune utilité, c’est une des rares choses que je peux te garantir, mon fils, toi, n’apprends pas à souffrir, n’apprends jamais, regarde, dès l’instant où on te colle un diagnostic, le monde se divise en deux groupes, celui des vivants et celui des gens qui vont bientôt mourir, tout le monde se met à te traiter comme si tu ne faisais plus partie de leur club, t’es passé dans le camp d’en face, dès que je m’en suis rendu compte, je n’ai plus rien voulu dire à personne, je ne voulais pas de compassion, tout ce que je voulais, c’était un peu de temps, au travail, par exemple, si tu le racontes au travail, tes collègues cessent de t’entretenir de leurs problèmes, ils cessent de te demander des services même si t’es encore en état de les leur rendre, ils cessent de t’exposer leurs projets pour l’année à venir, bref, ils t’excluent des affaires du club, ce n’est pas seulement la maladie qui te prive d’avenir, c’est aussi les autres, y compris ta famille, tu vois ? ils ne te demandent plus ton avis sur rien, tu n’es plus un membre de la famille, juste un problème collectif, et à l’hôpital, eh bien, que veux-tu que je te dise, ça devient encore plus criant, les vivants observent ceux qui vont mourir, mon fils, voilà à quoi se résument les activités de ce putain d’endroit, je veux partir d’ici, je veux bien me pisser dessus, mais sous mon propre toit, les vivants observent ceux qui vont mourir, c’est tout, enfin, si on y réfléchit bien, il existe un troisième club, ici, le club de ceux qui pensent qu’ils peuvent être sauvés, entre les deux autres il y a un petit pont, tu vois, et ce petit pont est bondé de gens en robe de chambre qui s’étirent le cul à l’air.
Entran, salen, te cambian esto, lo otro, no sé ni qué me ponen, ya ni les pregunto, es humillante, sólo me faltan los pañales, yo no quería, ¿por qué mamá no viene y me saca de aquí?, ¿por qué las visitas no me miran a los ojos?, lo peor es que todo esto no me ha enseñado nada, lo que siento es rencor, antes, cómo decirte, creía que sufrir servía para algo, como una especie de balanza, ¿entiendes?, un sufrimiento a cambio de alguna conclusión, una debilidad a cambio de tal conocimiento, mierda, todo eso es una mierda, y además qué vanidoso, como si uno pudiera organizar el dolor, no, el dolor es puro, no tiene utilidad, es de lo poco que puedo asegurarte, hijo, tú no te enseñes a sufrir, no aprendas nunca, mira, desde el día en que te dan el diagnóstico, el mundo se divide inmediatamente en dos, el grupo de los vivos y el grupo de los que van a morirse pronto, todos empiezan a tratarte como si ya no formaras parte de su club, ahora eres del otro, en cuanto me di cuenta no quise decirle nada a nadie, yo no quería compasión, lo único que quería era un poco de tiempo, en el trabajo, por ejemplo, si lo dices en el trabajo los compañeros dejan de hablarte de sus problemas, dejan de pedirte cosas aunque todavía puedas hacerlas, dejan de comentarte los planes para el año que viene, en fin, te borran de los asuntos del club, no es sólo la enfermedad, los demás también te quitan el futuro, incluso en la familia, ¿sabes?, no te consultan nada, ya no eres un pariente, eres sólo un problema colectivo, y en el hospital, bueno, ¿qué te voy a decir?, aquí es más evidente todavía, los vivos miran a los que van a morirse, hijo, en eso se resumen las actividades de este puto lugar, quiero irme de aquí, quiero mearme en mi propia casa, los vivos miran a los que van a morirse, ya está, o pensándolo bien, aquí existe un tercer club, el club de los que piensan que pueden salvarse, entre los otros dos hay un pequeño puente, ¿no?, y ese puente está repleto de tipos en bata, estirando los brazos con el culo al aire.
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