Translation for "aimez" to spanish
Translation examples
— aimez-vous les uns les autres…
… de amor los unos a los otros,
– Voulez-vous me prouver que vous m’aimez?
—¿Quiere darme pruebas de ese amor?
Ô vous qui vous aimez, tout cela est dans l’amour.
¡Oh, tú que amas, todo esto está en el amor!
— Vous aimez quand nous faisons l’amour ?
—¿Me quieres cuando hacemos el amor?
Dites-moi, Flora, qui est celui que vous aimez ?
dime, Flora, ¿cuál de ellos es tu amor?
Inutile de décider maintenant pourquoi vous m'aimez. »
No tenemos por qué precisar ahora los motivos de tu amor.
Non. L’amour rend-il heureux la personne que vous aimez ?
No. ¿El amor hace feliz a la persona que amas?
Que vous coûte-t-il de me dire que vous m’aimez, puisque l’amour pour vous n’est qu’un mot ?
¿Qué os cuesta decirme que me amáis, ya que el amor no es para vos más que una palabra?
Il ne s’agit pas de « aimez-moi maintenant, tuez-moi plus tard », pas du tout.
Nada de «hazme el amor ahora y mátame luego», nada parecido a eso.
amar
Aimez-vous les uns les autres”, par exemple.
Debéis amaros los unos a los otros es uno de ellos.
Vous aimez mieux mépriser qu’aimer.
Te agrada más despreciar que amar.
Vous m’aimez, vous m’aimerez toujours ;
Me ama usted y siempre me amará;
Aimez-la mieux que je n’ai su aimer ma mère.
Amadla mejor de lo que yo supe amar a la mía.
Vous l’aimez ; vous pouvez donc en aimer un autre. »
Tú lo amas, de modo que puedes amar a otro.
Aimez la Garde et elle vous aimera, riposta Bonin.
—Ama a la Guardia y ella te amará a ti —lo reprendió Bonin.
Vous aimez-vous vous-mêmes assez pour qu’on ait envie de vous aimer ?
¿Os amáis a vosotros mismos lo bastante como para que una sienta deseos de amaros?
Aimez la beauté pour elle-même et laissez les revues tranquilles.
Hay que amar la belleza por sí misma —le aconsejó luego— y dejar en paz a las revistas.
— Vous aimez beaucoup, il faut aimer plus encore : renoncer à elle...
—Usted ama mucho; es necesario amar más aún: renunciar a ella…
Permettez-moi donc d’aimer cette dame autant que vous l’aimez vous-même.
Permitidme, pues, amar a esa dama tanto como la amáis vos mismo.
Vous n’aimez personne et personne ne vous aime.
Nadie a quien querer, nadie que te quiera.
Pourquoi ? Je vous le demande. Vous aimez une femme, il n’y a point péché à cela.
¿Por qué? No es pecado querer a una mujer.
— Parce que vous avez une femme et un enfant, parce que vous avez une vie et des personnes qui vous aiment et que vous aimez, parce que vous avez tout, Daniel.
—Porque tiene usted una mujer y un hijo, porque tiene usted una vida y gente que le quiere y a quien querer, porque lo tiene usted todo, Daniel.
— Vous pensez que personne ne peut vous aimer parce que vous ne vous aimez pas vous-même, voilà ce qu’il a dit. Vous croyez que personne ne vous a jamais aimée. Et vous en voulez à la terre entière.
—Dijo que usted no cree que nadie la pueda querer porque no se quiere a sí misma y que piensa que nunca nadie la ha querido. Y que no se lo perdona al mundo.
La maison mortuaire se trouve là, mais elle est fermée, ils ont tout bouclé et emporté la clé, nous ne pouvons pas entrer, Bonjour, monsieur Ourique, vous êtes encore au travail, C’est vrai, mais comment faire, des gens ne meurent pas tous les jours, mais tous les jours il faut arranger leurs lits, balayer les allées, bref, J’ai vu là-haut votre femme Cesaltina et votre fils, vous avez un bel enfant, C’est la vérité, Un joli mot que celui-là, monsieur Ourique, C’est la vérité, Alors dites-moi si c’est la vérité que le corps qui se trouve dans la maison mortuaire est mort de mauvais traitements ou simplement parce que son ancien patron a décidé de le pendre, C’est la vérité que mon fils est un bel enfant avec cette habitude qu’il a de vouloir jouer au soleil, c’est la vérité que le corps qui se trouve là-bas a été pendu, c’est la vérité que dans l’état où il était il n’aurait pas eu la force de se pendre, c’est la vérité que ses parties sont complètement éclatées, c’est la vérité qu’il n’est plus qu’une pâte sanguinolente, c’est la vérité que même après sa mort les enflures dues aux coups, grosses comme des œufs de perdrix, n’ont pas désenflé et c’est la vérité que moi je serais mort pour beaucoup moins, or j’ai davantage l’habitude de la mort, Merci, monsieur Ourique, vous êtes fossoyeur et vous êtes un homme sérieux, peut-être parce que vous aimez tellement votre fils, dites-moi donc de qui est ce crâne que vous tenez dans les mains, est-ce celui du fils du roi, Cela je ne le sais pas, il n’est pas de mon temps, Au revoir, monsieur Ourique, ça va être l’heure de fermer le portail, rappelez-moi au bon souvenir de Cesaltina et embrassez votre fils parce qu’il aime tant jouer au soleil.
El depósito está allí, pero está cerrado, ellos lo cierran todo, y se han llevado la llave, no podemos entrar, Buenas tardes, señor Ourique, todavía trabajando, Es verdad, qué se le va a hacer, no todos los días muere gente, pero todos los días hay que cuidarles las camas, barrer las calles, en fin, Vi arriba a su mujer, Cesaltina, y a su hijo, un muchacho majo, Es verdad, Buena palabra ésa, señor Ourique, Es verdad, Dígame entonces si es verdad que el cuerpo que está en el depósito murió de malos tratos, o sólo porque su antiguo amo decidió ahorcarlo, Es verdad que mi hijo es un chiquillo muy majo, con esa costumbre suya de querer estar siempre jugando al sol, es verdad que el cuerpo que está ahí fue ahorcado, es verdad que en el estado en que se hallaba ni fuerzas tendría para ahorcarse, es verdad que tiene sus partes todas reventadas, es verdad que todo él es un amasijo de sangre, es verdad que ni después de muerto se le redujeron los verdugones, cardenales como huevos de perdiz, y es verdad que con mucho menos habría muerto yo, pese a que estoy habituado a la muerte, Gracias, señor Ourique, usted es enterrador y hombre serio, quizá por querer tanto a su hijo, dígame de quién es esa calavera que tiene en las manos, será del hijo del rey, Eso no lo sé, que ya no es de mi tiempo, Buenas tardes, señor Ourique, va siendo hora de cerrar el portón, déle recuerdos a Cesaltina y un beso al hijo por gustarle tanto jugar al sol.
si vous les aimez, vous aurez le plaisir de voir le mien, le plus charmant du monde, assurément ;
Si le gustan, le encantará ver a mi hija… la niña más deliciosa del mundo.
— Si vous aimez les contours tracés à la craie, vous adorerez l’œuvre de Jane.
—Pues si le gustan las siluetas de tiza, le va a encantar el trabajo de Jane.
Ça devrait vous plaire. Si vous aimez les explosions, bien sûr. — J’adore ça.
Le encantará verlo cuando todo estalle, suponiendo que le gusten las explosiones, claro. —Sí, me encantan las detonaciones de todo tipo —contestó—.
La plupart du temps, elle engageait la conversation sur les informations télévisées : « Un avion a été détourné, vous en avez entendu parler ? », « Ils passent des images de l’accident d’autobus », « Nous sommes en train de suivre la visite du Premier ministre en Égypte »… Si j’arrivais avant le début des informations, Tante Nesibe avait une phrase qu’elle répétait chaque fois avec la même conviction : « Ah, vous arrivez juste à temps, les informations vont commencer ! » Parfois, elle disait des choses du genre : « Il y a des sigara böreği comme vous aimez » ou « Ce matin, Füsun et moi avons préparé de très bonnes feuilles de vigne farcies, vous allez adorer. » Si cette phrase me paraissait prononcée pour masquer l’étrangeté de la situation, je gardais un silence honteux. La plupart du temps, je lui répondais par un « Vraiment ? » ou bien « Ah, j’arrive donc pile à l’heure ». Je montais à l’étage, entrais dans l’appartement et, en voyant Füsun, je répétais ces mêmes paroles avec un enjouement exagéré pour dissimuler le bonheur et la gêne que j’éprouvais à cet instant.
Aquellas frases de inicio, como «¿Ha oído que han secuestrado un avión?», «Lo ponen como si fuera un accidente de autobús…», o «Estamos viendo el viaje del presidente del gobierno por Egipto», solían tener relación con las noticias de la tele. Si llegaba antes de que empezaran las noticias, había una frase que la tía Nesibe repetía siempre con la misma convicción: «Ay, ha llegado justo a tiempo, ¡ahora empiezan las noticias!». Y a veces añadía algo como «Hay de esos hojaldres que tanto le gustan» o «Esta mañana Füsun y yo hemos rellenado unas hojas de parra riquísimas, le van a encantar». Si yo pensaba que se trataba de una frase pronunciada para ocultar lo anómalo de la situación, me callaba avergonzado. La mayoría de las veces respondía con un «¿En serio?» o «Menos mal que he llegado justo a tiempo», subía al piso superior, entraba en la casa y, al ver a Füsun, repetía muy exageradamente lo que acababa de decir para ocultar la felicidad y la vergüenza del momento.
si vous les aimez, c’est que vous aimez sans doute vivre à ciel ouvert.
si te gustan, probablemente te gustará la vida al aire libre.
Vous aussi, vous aimez sûrement vous asseoir à la fenêtre, non ?
A usted le gustará sentarse junto a la ventana, ¿no es así?
Je sais que vous aimez toutes les deux le cinéma. Cette vie te plaira, May, j’en suis sûr.
Sé que os gustan las películas. Te gustará, May.
« Vous n’aimez pas cette sorte de film, je pense ? Ce n’est pas quelque chose intelligent assez pour vous ? »
– Supongo que no le gustará esta clase de películas… No deben ser bastante inteligentes para usted.
Vous l’aimez tant que, si cet ange fait une faute, vous vous sentez prêt à la justifier.
Gustarás tan cordialmente de ella que, si este ángel alguna vez cometiera una falta, estarás dispuesto a pensar que aun entonces tiene razón.
La Legion of Decency n’aime peut-être pas le terme merde, et si ça se trouve, vous ne l’aimez pas non plus ;
A la Legión de la Decencia no le gustará la palabra «cagar», y puede que a ti tampoco mucho, pero hay veces en que no hay otra salida.
Vous avez aimé, vous aimez encore tout ce que vous trouvez en moi d’agréable, mes attentions pour vous, mon admiration, mon souci de vous plaire, ma passion, le don complet que je vous ai fait de mon être intime.
Habéis amado y amáis aún en mí lo que de agradable tengo, mis atenciones para vos, mi admiración, mi cuidado en gustaros, mi pasión y el abandono completo que os he hecho de mi ser íntimo.
J'allais dire : de faire ce qui me plaira... Mais si vous n'aimez pas ça... Enfin jurez de ne pas faire ce qui ne me plaira pas. — Je jure tout ce que vous voudrez. — Alors je vous crois.
Iba a decir: que hará lo que me plazca… Pero si a usted no le gustara eso… En fin, júreme que no hará lo que no me plazca. —Juro todo lo que quiera. —Pues le creo. Me quedo.
« Allons, ma chère », dit-elle au bout d’un instant, lorsque j’eus reposé le livre, « ne me dites pas que vous aimez cette nouvelle poésie que l’on trouve partout ces temps-ci, ces vers affreux où il est question de gens affreux et de sentiments communs – ils ne vous plaisent pas vraiment, dites ? »
—Alargó la palabra hasta que se convirtió en poema por sí sola. —Vamos, querida —dijo, al cabo de un rato, cuando cerré el libro—, no te gustará esa nueva poesía que corre por ahí, de versos horrorosos sobre gente horrorosa y emociones vulgares, ¿verdad?
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