Translation for "acupuncteur" to spanish
Translation examples
— Pas tout à fait. Mme Zarco prétend que son mari avait une liaison avec l’acupunctrice du club, poursuivit l’inspecteur chef Byrne.
—Aún no. La señora Zarco dice que su marido tenía una aventura con la acupunturista del club —añadió Byrne—.
Il annonçait à Claire sa décision de rompre, et il était évident, d’après les réponses de l’acupunctrice, que la fin de cette liaison l’avait beaucoup peinée – et lui aussi.
Escribió a Claire que aquella aventura se había acabado, y por las respuestas de nuestra acupunturista, el final de aquel amor le había dolido bastante, igual que a él.
Le fait que Zarco eût une liaison avec Claire Barry, l’acupunctrice du club, était devenu de notoriété publique à Hangman’s Wood – tellement publique que j’avais éprouvé le besoin de lui en toucher un mot.
El hecho de que Zarco tuviera una aventura con Claire Barry, la acupunturista del club, era de dominio público en Hangman’s Wood, tanto que había tenido que hablar con él del tema.
“Ce que je veux vous suggérer, a dit don Chente après avoir souligné les vertus thérapeutiques de la mémoire et en se redressant sur sa chaise, c’est d’essayer l’hypnose.” C’était bien la dernière chose à laquelle je m’attendais, les diplômes accrochés au mur attestaient de ses qualités de chirurgien, de psychologue et d’acupuncteur, et voilà qu’il était aussi hypnotiseur.
«Lo que yo le quiero sugerir», dijo don Chente luego de referirse a las virtudes terapéuticas de la memoria y arrellanándose en su silla, «es que probemos con la hipnosis.» Era lo último que me esperaba, pues los títulos en la pared lo acreditaban como médico cirujano, sicólogo y acupunturista, pero ahora resultaba que también era hipnotizador.
m’a demandé don Chente tandis que j’observais encore les étagères de livres et que j’examinais les diplômes qui confirmaient que l’homme en face de moi était chirurgien, psychologue et acupuncteur, une diversité de connaissances qui m’a surpris en bien, et qui m’a fait caresser l’espoir que j’étais face à celui qui pouvait complètement guérir le mal qui me rongeait.
«¿En qué puedo servirle?», me preguntó don Chente mientras yo aún observaba los anaqueles de libros y me fijaba en los títulos que acreditaban a la persona que tenía enfrente como médico cirujano, sicólogo y acupunturista, una variedad de conocimientos que no dejó de sorprenderme positivamente y que me hizo acariciar la esperanza de que estaba ante quien podía curarme pronto del mal que me aquejaba.
Ils devaient se débarrasser des meubles et des choses qui n’émettaient déjà plus les signaux corrects de leur position sociale et de leur opulence, jeter des canapés, des tables et des tableaux, il fallait changer les lampes comme d’autres changent de chaussettes, et remplacer les réfrigérateurs (maintenant on en fabriquait en aluminium et acier poli, sans peinture comme les avions d’American Airlines), rénover les décors, moderniser les lits et les toilettes et même changer de médecin, de professeur de yoga, d’acupuncteur et de chirurgien esthétique parce que leur célébrité montait ou descendait avec autant de caprices que les humeurs gastriques des appareils digestifs ou des actions de la Bourse.
Había que irse despojando de muebles y cosas que ya no emitían las señales correctas de posición social, de desahogo, de opulencia, y había que salir de sofás, de mesas y de cuadros, había que cambiar las lámparas como quien se cambia de medias, y reemplazar las neveras (ahora se usaban con el aluminio y el acero pulido a la vista, sin pintura, como los aviones de American), renovar los adornos, modernizar las camas y los sanitarios, y hasta cambiar de médico, de instructor de yoga, de acupunturista y de cirujano plástico, porque su fama y su prestigio subían o bajaban con tanto capricho como los humores gástricos de su aparato estomacal o las acciones en la Bolsa.
Au moment où j’ai supposé que don Chente en avait fini avec ses petites questions du style, est-ce que je préférais les boissons chaudes ou froides, j’en ai profité pour lui dire que des années auparavant un médecin homéopathe m’avait soumis au même type de questionnaire, mais que d’après les diplômes que je voyais sur les murs, lui était chirurgien, acupuncteur et psychologue, et pas homéopathe, ce à quoi don Chente m’a répondu que, à près de soixante-dix ans, il était un étudiant assidu en dernière année d’homéopathie à l’Institut polytechnique national, qui était le seul endroit où mener ce type d’études, et que c’était un merveilleux domaine de connaissances, qui n’avait rien à envier aux autres domaines qu’il avait étudiés, révélation qui m’a amené à me dire que ce petit vieux était une véritable boîte de Pandore et qu’il serait pour moi un aussi bon médecin que Pico Molins qui avait disparu dans la nature.
Y en el momento en que supuse que don Chente había terminado con sus preguntitas al estilo si yo prefería las bebidas calientes o frías, aproveché para decirle que ese mismo tipo de interrogatorio me lo había hecho muchos años atrás un médico homeópata, pero que según los títulos que yo miraba en la pared él era cirujano, acupunturista y sicólogo, no homeópata, ante lo que don Chente me reveló que a sus casi setenta años de edad él era un puntual estudiante del último año de homeopatía en el Instituto Politécnico Nacional, que era el único sitio donde tal carrera podía estudiarse, y que le parecía un conocimiento maravilloso al igual que los demás en los que había incursionado, revelación que me hizo pensar que este viejito era una verdadera caja de Pandora y que probablemente me resultara tan buen médico como el desaparecido Pico Molins.
“Moi je l’ai connu aux jeunesses communistes”, a dit Mario Varela, qui avait envie de continuer à parler de mon médecin, et non des activités d’entremetteur de Muñecón, sans se rendre compte que cette phrase lancée au vol était pour moi une véritable révélation qui donnait une autre dimension à la figure de don Chente : le vieux n’était pas seulement médecin, chirurgien, psychologue, acupuncteur, hypnotiseur et étudiant en homéopathie, mais en plus il avait été communiste, un vrai Paracelse moderne ! me suis-je dit avec enthousiasme, moi qui avais lu quelques mois plus tôt une biographie de l’énigmatique figure de la Renaissance, quelqu’un qui connaissait l’intérieur et aussi l’extérieur et qui sans aucun doute devait guérir mes maux, ceux du corps comme ceux de l’esprit. J’ai supposé que c’était ce militantisme communiste qui avait conduit à son arrestation pour avoir soigné un guérillero en 1980 et ensuite à son exil, ainsi que Muñecón me l’avait raconté quand je lui avais demandé quelques renseignements sur le médecin avant de me placer entre ses mains, mais Mario Varela m’a tiré rapidement de mon erreur en disant que don Chente avait été un bon cadre des Jeunesses du parti “jusqu’à ce qu’il se marie avec une fille de l’oligarchie et qu’il déserte”, une chose dite avec un tel mépris que Muñecón lui-même a laissé tomber ses souvenirs d’entremetteur pour mettre sa logorrhée au service de la défense de notre médecin, peut-être parce qu’il avait perçu une allusion indirecte, le signal d’une nouvelle estocade, vu que lui aussi avait été membre du parti dans sa jeunesse, avant de leur dire au revoir et de devenir un compagnon de route, selon l’expression consacrée.
«Yo lo conocí en la juventud del partido», dijo Mario Varela, con ganas de seguir hablando de mi médico y no de los oficios celestinos del Muñecón, sin enterarse de que esa frase dicha al vuelo era para mí toda una revelación que acrecentaba la figura de don Chente: el viejillo no sólo era médico cirujano, sicólogo, acupunturista, hipnotizador y estudiante de homeopatía, sino que también había sido comunista, ¡una especie de moderno Paracelso!, me dije con entusiasmo, que unos meses atrás había leído yo una biografía del enigmático personaje renacentista, alguien que conocía lo de adentro y también lo de afuera, y que sin ninguna duda curaría mis dolencias tanto del cuerpo como del espíritu. Supuse que había sido esa militancia comunista la que condujo a su captura por atender a un guerrillero herido en 1980 y luego a su exilio, tal como me había contado el Muñecón cuando le pedí alguna referencia del médico antes de ponerme en sus manos, pero pronto Mario Varela me sacó de mi error al decir que don Chente había sido un buen cuadro en la juventud del partido, «hasta que se casó con esa oligarca y desertó», dicho con tanto desprecio que el propio Muñecón hizo a un lado sus recuerdos celestinos y enfiló su verborrea en defensa de nuestro médico, quizá porque percibió una alusión indirecta, el amago de una nueva estocada, ya que él también había sido miembro del partido en su juventud, luego les había dicho adiós y ahora era compañero de viaje, como se les llamaba.
Sa mère lui a avoué qu’à vingt-cinq ans, condamnée par sa canaille de mari, qui a mis les voiles, à vivre entre les quatre murs de cet appartement destiné aux classes moyennes, et de nouveau à la merci de sa mère et de son père, chez qui la tristesse de voir leur fille unique élever seule son enfant n’est rien, absolument rien, comparée à l’euphorie triomphale que suscitent la possibilité de l’avoir encore auprès d’eux, sous leur influence, et surtout la preuve qu’ils avaient raison – ô combien ! – quand, quatre ans auparavant, à la veille d’un mariage organisé à la hâte, ils avaient prophétisé qu’aussi intenses soient-elles « ses “chaleurs” ne dureraient pas » et qu’avant deux ou trois ans, au maximum quatre, elle leur reviendrait, une main devant et une main derrière, sans avoir droit à rien, elle se sent vieille, usée, vide et, en un mot, morte, une morte vivante, c’est l’expression dont il se sert d’ailleurs quelques années plus tard pour l’évoquer dans son for intérieur, à chaque fois qu’il passe devant sa chambre à coucher au milieu de la matinée et la voit allongée parmi les oreillers, en peignoir, complètement immobile, le visage couvert de crème, deux morceaux de coton humide sur les yeux et deux ou trois flacons de pilules sur sa table de chevet, s’abandonnant à toutes sortes de traitements exécutés par une armée de femmes pleines d’attentions qu’elle désigne comme ses cosmétologue, masseuse, manucure, kinésithérapeute ou acupunctrice, peu importe, mais dont il sait bien, lui, que ce ne sont que des réanimatrices professionnelles, des personnes chargées, tels les pompiers ou les maîtres nageurs, de ramener à une vie par ailleurs assez précaire des gens qui ont déjà un pied dans la tombe. Sa grand-mère qui, en public, c’est-à-dire essentiellement en présence de son mari, n’ouvre la bouche que pour dire « oui » ou « bien » – et seulement lorsque celui-ci lui adresse la parole –, rire aux plaisanteries lestes des émissions comiques qu’elle regarde à la télévision ou enfourner des bouchées de nourriture qu’elle coupe préalablement en morceaux de plus en plus petits dans son assiette, lui avoue un jour que son mari vient de découvrir, caché dans un bas, l’argent qu’elle a économisé jour après jour et pièce par pièce pendant quatre ans, le détournant sans qu’il le remarque de la très modeste enveloppe qu’il daigne lui donner afin de pourvoir aux dépenses courantes de la maison, dans le but de s’acheter un rasoir capable d’en finir avec le duvet qui lui fait honte depuis qu’elle a combien, trente ans ?, et que son mari, naturellement, ne veut pas et n’a jamais voulu qu’elle élimine de son visage, car il sait que, bien que ce duvet ne lui plaise pas à lui non plus tant il la vieillit prématurément et lui donne un air masculin, il remplit une fonction quoi qu’il en soit vitale, peut-être la plus vitale de toutes, empêcher que puisse la trouver désirable un autre que lui qui, par ailleurs, ne la désire plus depuis des années, et qu’après l’avoir trouvé et l’avoir obligée à comparaître devant lui sur le lieu même du délit, comme on dit, il a compté les billets et les pièces de monnaie un par un puis a calculé le montant exact qu’elle lui avait volé selon lui, avant de la contraindre par la menace, y compris physique, à révéler l’usage qu’elle pensait faire de cet argent, puis l’a forcée à jeter jusqu’au dernier centime dans la gueule sombre de l’ incinérateur. Son grand-père qui, alors déjà, quand il a quatre ou cinq ans, a pour habitude de lui dire bonjour à sa manière immuable, c’est-à-dire en saisissant une grande mèche de cheveux sur le sommet de son crâne et en tirant fort dessus pendant qu’il lui demande à l’oreille : « Quand est-ce que tu vas te décider à couper cette tignasse de fille, hein, espèce de petite tapette ? », le surprend un jour en train de créer ses précoces bandes dessinées sur des feuilles de papier Canson aussi grandes que des draps, s’assied en face de lui, au bord de la table basse du salon, croise les doigts puis garde les yeux fixés sur lui pendant les vingt minutes qui suivent et, telle une douche froide, lui raconte que si ça ne tenait qu’à lui il vendrait tout, l’usine qu’il a bâtie à partir de rien, malgré l’incrédulité et même les sarcasmes de son propre père, un immigrant employé des chemins de fer, et qui, en plus de nourrir une cinquantaine de personnes, lui permet à présent de jouir d’un train de vie que son grinçant paternel n’aurait cru accessible qu’à des gens nés avec une cuillère en argent dans la bouche et avec derrière eux des siècles et des siècles de richesse ;
Su madre le ha confesado que a los veinticinco años, condenada por el canalla de su padre, que se mandó mudar, a vivir entre las cuatro paredes de ese departamento de clase media, otra vez a merced de su madre y su padre, en quienes la tristeza de ver sola y con una criatura a cuestas a su única hija no es nada, absolutamente nada, comparada con la euforia triunfal que les producen el hecho de tenerla otra vez con ellos, bajo su influencia, y, sobre todo, la evidencia de cuánta razón tenían —toda la del mundo— cuando cuatro años antes, en vísperas de una boda concertada a las apuradas, le habían profetizado que por intensa que fuera «la calentura no duraría» y en dos o tres años, a lo sumo cuatro, ella volvería a ellos con una mano atrás y otra adelante y sin derecho a nada, se siente vieja, usada, vacía, en una palabra: muerta, una muerta en vida, que es la expresión con la que él de hecho la describe para sus adentros unos años más tarde, cada vez que pasa frente a su cuarto a media mañana y la ve tendida entre almohadas en salto de cama, completamente inmóvil, con la cara embadurnada de crema, los ojos tapados por dos algodones húmedos y dos o tres frascos de pastillas en la mesa de luz, entregada a toda clase de tratamientos que le prodiga un pequeño ejército de mujeres solícitas a las que ella llama cosmetóloga, masajista, manicura, fisioterapeuta, acupunturista, poco importa, pero que él ya sabe que no son sino reanimadoras profesionales, gente especializada, como los bomberos o los bañeros, en devolver a una vida por otro lado bastante precaria a personas que ya están con un pie del otro lado. Su abuela, que en público, es decir básicamente en presencia de su marido, no abre la boca más que para decir sí y bueno —y eso sólo cuando su marido le dirige la palabra—, reírse de alguno de los chistes subidos de tono de los programas cómicos que ve por televisión o meterse bocados de comida que corta antes en el plato cada vez más chiquitos, le confiesa una tarde que su marido acaba de descubrir, disimulado en una media, el dinero que ella ha estado ahorrando día tras día durante cuatro años en cantidades ínfimas, desviándolas, de modo que él no lo note, de la modestísima caja chica que él se digna darle para los gastos cotidianos de la casa, para comprarse la máquina depiladora que acabaría con el vello que la avergüenza desde hace cuánto, ¿treinta años?, y que él, como es natural, no quiere ni ha querido jamás que ella destierre de su cara, porque sabe que aunque a él tampoco le guste, a tal punto la avejenta prematuramente y la vuelve masculina, la función que cumple es de todos modos vital, quizá la más vital de todas, impedir que ella pueda resultar deseable para cualquiera que no sea él, que por otra parte lleva años sin desearla, y que después de descubrirlo y obligarla a comparecer ante él allí mismo, en el lugar de los hechos, como se dice, ha contado uno por uno monedas y billetes y luego de calcular la cantidad exacta que según él le ha robado, luego de arrancarle, bajo amenaza incluso de violencia física, el destino que pensaba darle al dinero, la ha obligado a echarlo todo, hasta el último centavo, a las fauces negruzcas del incinerador. Su abuelo, que ya entonces, a sus cuatro, cinco años, suele saludarlo a su manera inmortal, asiéndole un gran mechón de pelo de la coronilla y tironeando de él con fuerza mientras le pregunta al oído: «¿Cuándo te vas a cortar este pelo de nena, me querés decir, mariconcito?», lo sorprende un día dibujando sus historietas precoces en unas hojas canson grandes como sábanas y sentándosele enfrente, en el borde de la mesa baja del living, entrelaza los dedos de las manos, donde deja clavada la mirada a lo largo de los veinte minutos que siguen, y le cuenta a boca de jarro que si fuera por él vendería todo, la fábrica que levantó desde cero, él solo, contra la incredulidad y hasta el sarcasmo de su propio padre, inmigrante ferroviario, y que ahora, además de dar de comer a medio centenar de empleados, le permite a él gozar de un tren de vida que el sarcástico de su padre sólo habría creído posible en gente nacida en cuna de oro y respaldada por siglos y siglos de riqueza, todo, el departamento más que holgado en el que vive con su esposa y el que le presta —contra su voluntad, porque a él le gustaría verla aprender la lección, es decir verla empezar todo de nuevo pero realmente sola— a su hija descarriada, el departamento en el centro de Mar del Plata, los terrenos en las sierras de Alta Gracia y Ascochinga, la casita de Fortín Tiburcio, los tres autos, vendería todo lo que tiene y desaparecería del mapa de un día para el otro, sin dejar rastros, y se dedicaría a vivir por fin la vida, su propia vida, no la de los demás, y en los demás lo incluye naturalmente también a él, con ese pelito de nena, aun cuando es evidente que esa vida que llama suya, su abuelo no tiene la más mínima idea de cómo sería ni cómo querría vivirla, pero que sabe que es un cobarde, que nunca lo hará, que no le dará el cuero, y que por eso, porque el resplandor de esa otra vida, aunque imposible, nunca se apagará del todo y seguirá recordándole todo lo que desea y no hace, está condenado a una amargura sin remedio, condenado a envenenarse y a envenenar la vida de los que lo rodean, él incluido, naturalmente, él y su pelo rubio de mariquita y su traje de Superman y sus dibujitos y esos crayones infames que dos por tres deja olvidados en el piso y después alguien aplasta sin darse cuenta y terminan hechos polvo en la alfombra, manchándola para siempre.
— Mais tu vois toujours ton acupuncteur ?
—Ah, ¿sigues yendo al acupuntor?
 Pas un pharmacien, pas un acupuncteur, pas un hypnotiseur, mais un médecin !
–Ni al farmacéutico, ni al hipnotista ni al acupuntor, sino a tu médico de cabecera!
Hong est acupuncteur et son cabinet se trouve sur Kansas Street.
Hong es acupuntor y su consulta está en Kansas Street.
Elle posait de bonnes questions, comme un acupuncteur connaît les endroits précis où il faut piquer les aiguilles.
Hacía preguntas atinadas, igual que un acupuntor sabe los lugares concretos donde hay que introducir las agujas.
J’étais sous antibiotiques à cause d’une angine, et d’après mon acupunctrice ils peuvent perturber l’action de la pilule. C’est elle qui a deviné que j’étais enceinte.
Me tomé un antibiótico para una infección de garganta, y mi acupuntora dice que puede que anulase el efecto de la píldora. La posibilidad de que estuviese embarazada se le ha ocurrido a ella. A mí no, desde luego.
Ces traces des plis et des charnières du fœtus, profondément marquées dans la chair de l’individu, sont ce que les acupuncteurs nomment les méridiens, qui laissent les physiologistes occidentaux déroutés et perplexes.
Esas marcas de los pliegues y de los ejes del feto, son lo que los acupuntores llaman meridianos, que dejan perplejos y desorientados a los fisiólogos occidentales.
Le plus important était que Joe Plussaj, nonobstant sa gentillesse le jour où il avait pris rendez-vous pour lui chez l’acupuncteur, allait penser que Ralph était fou.
El más grave era que Joe Wyzer, por comprensivo que se hubiera mostrado el día en que había conseguido a Ralph hora con el acupuntor, creería que estaba loco.
L’acupuncteur lui avait enfoncé douze aiguilles dans le corps à quinze reprises, cent quatre-vingts aiguilles en tout, dont aucune n’avait produit le moindre effet.
El acupuntor le clavó doce agujas en quince oportunidades distintas, hasta un total de ciento ochenta agujas, a cual más ineficaz que la anterior.
Puis Rhoda, la seconde femme de son père, avait fait son entrée en scène, prête à essayer tout à la fois le conseiller de l’école, l’acupuncteur et le psy spécialisé dans la gestion de la colère.
Luego Rhoda, la nueva esposa del padre, entró en escena y lo intentó con el orientador del instituto, con un acupuntor y con clases de control de la ira.
Dans les bois qui bordaient un lotissement défunt, dans un jardin public qui retournait ataviquement à l’état sauvage, en lévitation au-dessus du bassin aux carpes dans le jardin d’un acupuncteur.
En los bosques que bordeaban la subdivisión muerta, en un parque público, buscando lo autóctono de acuerdo con sus antiguas inclinaciones, levitando sobre unos koi, esas enormes carpas, en el estanque del jardín trasero de un acupuntor.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test