Translation for "accommodations-" to spanish
Accommodations-
Translation examples
Et il sortit de la salle, sans avoir offert le vivre à ses visiteurs, et sans même se soucier de la manière dont ils allaient s’accommoder pour dormir.
Y abandonó la sala sin haber ofrecido alojamiento a sus visitantes y sin preocuparse en absoluto del lugar y el modo como iban a pasar la noche.
Les logements étant situés juste au-dessus de l’étable, ils bénéficiaient de la chaleur des bêtes, à condition de s’accommoder de leur odeur nauséabonde, ce que nous eûmes un peu plus de mal à faire.
Al estar los alojamientos situados en el primer piso, encima del establo, disfrutábamos del calor que subía de los animales, aunque lo que no era tan agradable era su olor.
acomodaciones
Une civilisation, ça s’épanouit par le biais d’ententes successives, d’accommodements, d’accrétions, non à coups de répudiations.
Las civilizaciones crecen mediante acuerdos y acomodaciones y acrecimientos, no por repudios.
En ces temps-là, la foi avait déjà de ces accommodements, mais ce n’est rien en comparaison d’aujourd’hui où les accommodements sont plus gratifiants que la foi elle-même, celle-ci ou n’importe quelle autre.
Ya la fe, entonces, tenía sus acomodos, pero nada comparable a los días de hoy, cuando la acomodación es más retributiva que la misma fe, esta o cualquier otra.
— Je pensais, dis-je, que c’était une simple question d’adaptation à la situation, mais je sais maintenant qu’il n’y a pas d’accommodation possible.
—Yo creía —dijo— que sólo era cuestión de acomodarse a la nueva situación, pero ahora sé que no hay acomodación posible.
Mais, si souvent qu’il en approchât, comme quiconque cherche à comparer le proche et le lointain, il ne parvenait jamais à saisir simultanément dans sa mémoire les images des deux sentiments ; chaque fois, comme sur un déclic, s’en interposait un troisième, comparable sur le plan physiologique à ces sensations musculaires à peine perceptibles qui accompagnent l’accommodation de l’œil.
Pero tan pronto como se aproximaba a ese punto le ocurría como a aquel que pretende comparar cosas que están cerca con cosas que están lejos: nunca conseguía atrapar las imágenes del recuerdo de las dos sensaciones juntas, sino que cada vez se producía una especie de quebranto en la sensación, como ocurre en la acomodación del ojo en la que las sensaciones musculares que la acompañan son apenas perceptibles.
La conjonction des ombres et des taches et les variations d’accommodation et d’orientation de ton regard produisent sans effort, lentement, des dizaines de formes naissantes, organisations fragiles que tu ne peux saisir qu’un instant, les arrêtant sur un nom : vigne, virus, ville, village, visage, avant qu’elles ne se disloquent et que tout ne recommence : l’apparition d’un geste, d’un mouvement, d’une silhouette, ébauche de signe vide que tu laisses grandir, hasard qui se précise : un œil qui te fixe, un homme qui dort, un remous, léger balancement de voiliers, bout d’arbre, rameau explosé, préservé, retrouvé, de l’intérieur duquel émerge en se précisant point par point l’amorce encore d’un visage, à peine différent de l’autre tout à l’heure, plus sombre peut-être, ou plus attentif, visage en suspens où tu cherches sans les voir les oreilles, les yeux, le cou, un front, ne retenant, ne retrouvant, pour les perdre aussitôt, que l’empreinte d’un sourire ambigu, l’ombre d’une narine que peut-être prolonge la trace – infamante ou glorieuse, qui sait ? – d’une cicatrice.
La conjunción de las sombras y de las manchas y las variaciones de acomodación y de orientación de tu mirada producen sin esfuerzo, lentamente, decenas de formas nacientes, organizaciones frágiles que sólo puedes captar por un instante, deteniéndolas bajo un nombre: viña, virus, villa, villorrio, viso, antes de que se disloquen y todo vuelva a comenzar: la aparición de un gesto, de un movimiento, de una silueta, conato de signo vacío que dejas crecer, azar que se concreta: un ojo que te fija, un hombre que duerme, un remolino, ligero balanceo de veleros, retoño de árbol, rama desintegrada, conservada, reencontrada, de cuyo interior emerge delimitándose punto por punto lo que todavía es el inicio de un rostro, apenas diferente del de hace un momento, más sombrío, quizá, o más atento, rostro en suspenso en el que buscas en vano las orejas, los ojos, el cuello, una frente, reteniendo, encontrando, para perderlas enseguida, nada más que la huella de una sonrisa ambigua, la sombra de un orificio nasal que quizá prolonga la huella —denigrante o gloriosa, quién sabe— de una cicatriz.
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