Translation for "abominer" to spanish
Translation examples
Il arrive chez lui avec la haine des gosses, de la femme, du foyer impeccable, des albums de famille, la détestation du bien-être… à deux doigts de tout envoyer balader, au bord de s’abominer lui-même.
Llega a casa odiando a los críos, a la mujer, el impecable hogar, los álbumes de familia, detestando el bienestar… a dos pasos de mandarlo todo a paseo, a punto de abominar de sí mismo.
Bien que le mot « libéral » continue d’être un gros mot que tout Latino-Américain politiquement correct a l’obligation d’abominer, il est sûr que, désormais, des idées et des attitudes fondamentalement libérales ont commencé à contaminer aussi bien la droite que la gauche dans le continent des illusions perdues.
Aunque la palabra liberal sigue siendo todavía una mala palabra a la que todo latinoamericano políticamente correcto tiene la obligación de abominar, lo cierto es que, de un tiempo a esta parte, ideas y actitudes básicamente liberales han comenzado también a contaminar tanto a la derecha como a la izquierda en el continente de las ilusiones perdidas.
y compris certains qui ont été commis par ce giton de Góngora, cet enfant de Babylone et de Sodome, dont les aïeux ne se sont jamais fatigués d’abominer le lard et de ferrer les chaussures à Cordoue.
incluidos algunos engendros de ese Góngora bu-jarra, babilón y sodomita, cuyos abuelos no se hartaron de aborrecer tocino y clavetear zapatos en Córdoba, donde tienen ejecutoria en el techo de la Iglesia Mayor.
une fois qu’elle s’avisa de monter chez lui, elle trouva sa chambre tapissée d’une quantité de vues de la ville de Parme qu’il avait fait venir de Milan ou de Parme même, pays qu’il aurait dû tenir en abomination.
Una vez que se le ocurrió subir, halló su habitación tapizada de vistas de Parma que había encargado a Milán, o a la propia Parma, la ciudad que debía detestar.
Je ne sais pas, en tout cas c’était la phrase d’un Slave… ah, les couples de tango où, soudain en pleine danse, mais comment !, chacun détourne le regard : détourner de la même façon le regard de – oui, de quoi ?… ta mère vit, je le sais, et elle veut aussi qu’on la cherche, toi seulement, ça aussi je le sais, elle ne répondra qu’à ton appel, à ta voix, je le sais… Faire attention à des vêtements oubliés aux portemanteaux des bars et des auberges : y oublier des choses, des châles, des chapeaux, des foulards, c’est l’une de ses spécialités… Elle ne va pas sombrer, même si elle est tentée de le faire – tentée de tourner mal, tentée depuis toujours de se laisser aller, du moins pendant un certain temps, je le sais… et personne ne va la tuer, même si, depuis que je la connais, elle est aussi attirée par ça : rencontrer quelqu’un qu’elle amènerait à l’assassiner… femme des tentatives dangereuses… en fait, il faudrait dire ça en anglais, comme le titre ou le refrain d’une chanson : “woman of dangerous tries”… ou “woman of dangerous trials” ?… les mots de deux syllabes sonnent mieux et se prêtent mieux à la chanson que ceux qui n’en ont qu’une… Comme j’en suis arrivé à abominer les romans policiers, et comme je déteste tous ces auteurs de romans policiers ! Écoute : une idée pour un roman policier d’une tout autre nature : au Congrès mondial des auteurs de romans policiers, une bombe déposée là tue tout le monde sans exception – et devine qui est l’assassin ?… C’est justement la nouvelle lune, tu auras des nuits étoilées à la campagne, et n’oublie pas les étoiles filantes, aucune, août, le mois des étoiles filantes… nager dans les torrents et les petites rivières, la Viosne, la Troesne, en remontant le courant, en le descendant, mais attention, il y a des endroits où la vase est profonde, un fond trompeur sous une eau limpide, toujours bien garder tes appuis, une fois, après un seul pas, je me suis enfoncé jusqu’au thorax dans la Troesne, ou était-ce l’Epte… les films dans les salles des fêtes des villages, peut-être aussi en plein air maintenant en été ?… Une chambre avec petit déjeuner à Lavilletertre, Monneville et Chaumont, pas si rustique que ça… Quand tu es en chemin, ne t’écarte devant personne, même pas de la largeur d’une main… personne ne va te toucher si tu n’en as pas envie, encore moins porter la main sur toi… personne ne te veut du mal… simplement regarde-les, avec les yeux, avec tes yeux, et tous, même le pire des pochtrons, même le salaud connu au-delà des frontières de la région, même l’idiot du village – surtout lui –, tous voudront être bons avec toi, aussi bons qu’ils le sont, oui !, ils auront envie de te faire du bien, comme ils ont depuis toujours eu envie de faire du bien à quelqu’un.
No lo sé, en todo caso era la frase de un eslavo… ¡Ah!, las parejas de tango que, bailando, de repente, apartan la mirada, ¡y cómo!, el uno del otro: poder apartar así la mirada de…, sí, ¿de qué?... Tu madre vive, lo sé, y también quiere ser buscada, aunque únicamente por ti, eso lo sé yo también, solo responderá a tu llamada, a la voz de tu llamada, eso lo sé yo, mejor no se podría saber. Presta atención a las prendas de vestir olvidadas en los percheros de bares y albergues: dejarse olvidadas cosas en esos sitios es una de sus especialidades, chales, sombreros, pañuelos de cuello… No sucumbirá, a pesar de que está tentada a hacerlo, tentada a descuidarse, a abandonarse, desde siempre, o al menos durante un tiempo, lo sé…, y nadie la va asesinar, a pesar de que, cuando la conocí, estaba tentada incluso de eso: de encontrar a alguien de quien ella conseguiría que la matase… Mujer de intentos peligrosos…, en realidad, eso debería decirse en inglés, a modo de título y estribillo de una canción: “Woman of dangerous tries”… ¿o “woman of dangerous trials”?..., la verdad es que las palabras bisílabas son más sonoras y más cantables que las monosílabas… Dios mío, ¡cómo he llegado a detestar las novelas policíacas!, ¡y qué odiosa me resulta la totalidad de los autores de novelas policíacas! Escucha, idea para una novela policíaca completamente diferente: durante el gran congreso mundial de la asamblea general de los autores de novela policíaca ponen una bomba que los mata a todos, a todos sin excepción, y, adivina, ¿quién es el autor del hecho?... Justamente ahora hay luna llena, vas a vivir noches estrelladas en el campo, y no te me olvides de las estrellas fugaces, de ninguna, agosto, el mes de las estrellas fugaces… Para nadar: los arroyos y los ríos pequeños, Viosne, Troesne, río arriba, río abajo, pero cuidado, hay zonas profundas con lodo, aguas claras cubren un suelo engañoso, siempre me tienes que poder hacer pie, una vez me metí en el Troesne, ¿o era el Epte?, di un solo paso y me hundí hasta por encima de las costillas… Las películas en las salas de festejos de los pueblos, ahora en verano, ¿quizá también al aire libre? Habitación con desayuno en Lavilletertre, Monneville y Chaumont, para nada rústico… Por el camino, no te apartes de nadie, ni siquiera un palmo…, nadie te va a tocar, si tú no quieres, y, ni mucho menos, te va a maltratar…, nadie te querrá mal… Solo míralos a todos con los ojos, con tus ojos, y todos, también el borracho perdido, también el tío asqueroso conocido más allá de las fronteras de la región, también el idiota del pueblo —precisamente él— querrán ser buenos contigo, tan buenos como ellos, ¡sí!, son, desearán hacerte bien, como todos ellos desde siempre han deseado hacer el bien a alguien.
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