Translation for "à grands cris" to spanish
Translation examples
Les soldats témoignèrent à grands cris de leur bonne volonté.
Los soldados expresaron su entusiasmo con voces fuertes.
Les fers se croisèrent avec bruit, tandis qu’Alice, au comble de la terreur, appelait du secours à grands cris.
Los hierros se cruzaron ruidosamente, mientras que Alicia pedía socorro a grandes voces.
— L’énorme banquet annoncé à grands cris, commença Geralt, fut précédé de préparatifs pour le moins mouvementés.
—Al gran banquete tan ruidosamente anunciado —comenzó Geralt— le precedieron preparativos importantes.
Dashwanth se débattait et protestait à grands cris mais Abul Fazl l’entraîna jusqu’à l’empereur qui était plongé dans une partie de Pachisi Vivant.
Dashwanth se retorcía y protestaba ruidosamente, pero Abul Fazl lo arrastró hasta Akbar, que en ese momento jugaba al parchís humano.
Tous les passagers du Resham se réjouirent à grands cris, chacun à sa manière, et Luka, en touchant ses joues, constata à sa grande surprise qu’elles étaient mouillées de larmes.
A bordo de Resham, todos expresaron ruidosamente su regocijo de diversas maneras, y Luka, tocándose las mejillas, advirtió para su sorpresa que las tenía húmedas por las lágrimas.
Les collégiaux nous protégeaient de leur mieux en nous ordonnant de les rejoindre dans leurs lits, où nous pleurions et protestions à grands cris tandis qu’ils faisaient semblant d’abuser de nous en riant et en plaisantant.
Los colegiales nos protegían como mejor podían, ordenándonos que nos metiéramos en sus camas, donde llorábamos y protestábamos ruidosamente mientras ellos fingían abusar de nosotros, riendo e insultándonos.
lança à grands cris Hoffer, exalté.
—exclamó en voz alta Hoffer, exaltado—.
Certains discutaient bruyamment avec les clients qu'ils rameu-taient à grands cris.
Algunos regateaban en voz alta con los comerciantes que anunciaban sus mercaderías.
J’aurais voulu annoncer la nouvelle au monde entier à grands cris.
De haber sido posible, hubiera querido anunciárselo al mundo entero en voz alta.
Ils me pressaient, à grands cris, de venir à l’arrière et d’écouter tranquillement ce que le capitaine avait à nous dire.
Me instaron, en voz alta, a ir a popa y escuchar con tranquilidad lo que el capitán quería decir.
J’avais l’impression de ressembler aux personnages qui s’agitaient en silence sur l’écran : ils gesticulaient à grands cris sans jamais émettre un son.
Me sentía como los personajes de nuestra tele sin volumen: agitaban las manos y gritaban sin decir ni una palabra en voz alta.
Il trouva le prince Lefkin qui cherchait son chemin à tâtons dans le carré des officiers et réclamait à grands cris de la lumière.
Encontró al príncipe Lefkin abriéndose paso por la sala de oficiales, lanzando juramentos en voz alta por la falta de luz.
Les femmes espagnoles ne pleuraient pas : elles maudissaient l’état actuel du monde, tantôt à voix basse, en berçant les têtes de leurs enfants, tantôt à grands cris et les bras étendus.
Las mujeres españolas no lloraban, maldecían el estado del mundo, ora en voz baja, meciendo las cabezas de los niños, ora en voz alta, con los brazos abiertos.
Je n’avais pas publié grand-chose à cette époque de ma vie – six ou sept récits dans de petits magazines, une poignée d’articles et de recensions de livres – et ce n’était pas comme si les gens avaient réclamé à grands cris le privilège de m’entendre leur faire la lecture.
Yo todavía no había publicado mucho entonces -seis o siete cuentos en revistas de corta tirada, un puñado de artículos y de reseñas de libros-, y no se podía decir que la gente clamara por el privilegio de oírme leerles en voz alta.
Le garde de la ville avait dû copieusement arroser la Yule, car il avançait en titubant, balançait sa hallebarde contre les enseignes et annonçait à grands cris, quoique en bafouillant légèrement, qu’il était 10 heures du soir, alors qu’en réalité il était déjà minuit bien sonné.
El sereno local debía de haber trasegado lo suyo para celebrar el Yule, puesto que andaba dando tumbos, daba con la alabarda en los letreros de las tiendas y anunciaba en voz alta, se diría que incluso gritando, que eran las diez en el reloj, aunque en realidad era ya bastante más de la medianoche.
Le capitaine Guy hissa alors un mouchoir blanc à la pointe d’un aviron : mais les sauvages s’arrêtèrent tout net et se mirent soudainement à jacasser et à baragouiner très haut, poussant de temps en temps de grands cris parmi lesquels nous pouvions distinguer les mots : Anamoomoo !
El capitán Guy entonces alzó un pañuelo blanco en la punta de un remo, cuando los extranjeros se detuvieron de pronto y comenzaron en seguida a farfullar en voz alta, intercalando gritos aislados entre los cuales podíamos distinguir las palabras ¡Anamoo- moo! y ¡lama-lama!
Un fil rouge court depuis le blasphème lancé au ciel dans la Torah, les prophètes, le livre de Job, la Guemara et les récits hassidiques jusqu’au merveilleux et terrible poème d’Uri Zvi Greenberg : « Au bout du chemin se dresse Rabbi Levi Yitzhak de Berditchev réclamant à grands cris une réponse d’en haut. » Dans ce poème composé après la Shoah, Rabbi Levi Yitzhak se tourne vers Dieu et l’apostrophe peu ou prou en ces termes : « Où étais-tu ? Comment as-tu pu ? » Quelques décennies plus tard, Yehuda Amichaï s’écriait dans « Dieu miséricordieux » : « Si Dieu n’était pas plein de miséricorde, la miséricorde régnerait dans le monde, et pas seulement en Lui. » C’est Amichaï, et non un saint homme ou un sage, c’est le poète et non pas des rabbins ou des docteurs de la Loi qui, à mon sens, est le véritable héritier du judaïsme dans ce qu’il a de meilleur.
Desde ese enfrentamiento con el cielo que aparece en la Torá, en los Profetas, en el libro de Job, en el Talmud y en los cuentos jasídicos, sale un hilo que conduce directamente al maravilloso e impactante poema de Uri Zvi Greenberg: «Al final de los caminos está el rabí Levi Yitzhak de Berdichev exigiendo la respuesta del Altísimo», un poema escrito después de la Shoá, en el que el rabí Levi Yitzhak se dirige a Dios y le espeta, más o menos: «¿Dónde estabas?» o «¿Cómo has podido?». Yehuda Amijai escribe: «Dios está lleno de misericordia. Si Dios no estuviese lleno de misericordia, habría misericordia en el mundo y no solo en él». Él, Amijai, y no los santos ni los sabios, él y no los rabinos ni los maestros de la Halajá, él es para mí el auténtico heredero de la mejor cultura judía.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test