Translation for "many of banks" to french

Many of banks

• beaucoup de banques
• un grand nombre de banques

Translation examples

beaucoup de banques

97. Many central banks in Africa, especially in countries at the first stage of financial intermediation, do not exhibit this ideal view. The first priority, therefore, must be to reform and strengthen central banks, institutionally and financially.
97. Beaucoup de banques centrales africaines, en particulier celles des pays où l'intermédiation en est à ce premier niveau, ne réunissent pas les conditions énumérées plus haut. Il importe donc de commencer par les restructurer et les renforcer, à la fois sur le plan institutionnel et financier.

28. The severity of the crisis in the advanced economies of Europe was due to the following factors: (a) many European banks owned a surprisingly large share of the toxic assets; (b) the national regulatory and institutional structure of the financial sector in most European economies was poorly designed for dealing with financial market turmoil; (c) regional or pan-European institutions and regulatory systems were inadequately designed for the financial situation that developed; (d) European banks were more highly leveraged than United States banks; (e) in some cases European banks were overly reliant on international wholesale financing; (f) European banks had lent far more to emerging markets than United States banks and were thus much more exposed to the downturn in those economies, especially in European emerging markets, which were particularly vulnerable to a crisis owing to large current account deficits and extensive foreign-currency-denominated debts; (g) even in those economies that escaped the initial financial shocks, the regional trade linkages were quite large; (h) the design of the European monetary system essentially eliminated lender of last resort backing for national commercial banks and sovereign debt; (i) European policymakers were more reluctant to implement counter-cyclical macroeconomic policy; (j) several European economies had their own housing bubbles combined with weaker mortgage lending standards; and (k) Government assistance to the sectors most negatively affected was constrained by nationalistic competitive concerns.
La gravité de la crise dans les économies avancées d'Europe est due à plusieurs facteurs : 1) beaucoup de banques européennes détenaient un volume étonnamment élevé d'actifs toxiques; 2) la structure réglementaire et institutionnelle du secteur financier dans la plupart des économies européennes était mal préparée pour faire face aux troubles qui ont secoué le marché financier; 3) les institutions et les réglementations régionales ou paneuropéennes n'étaient pas conçues pour la situation financière qui s'est créée; 4) les banques européennes étaient plus fortement endettées que les banques des États-Unis; 5) dans certains cas, les banques européennes avaient trop misé sur un financement international de gros; 6) les banques européennes avaient prêté beaucoup plus (que les banques américaines) aux marchés émergents et se trouvaient donc plus exposées aux risques de dégradation de ces économies, surtout de celles des marchés européens émergents qui étaient particulièrement vulnérables à une crise en raison de leur lourd déficit courant et de l'ampleur de leurs dettes en devises; 7) même pour les économies qui ont échappé aux chocs financiers initiaux, les liens de dépendance commerciale avec la région étaient particulièrement importants; 8) le Système monétaire européen était conçu de telle manière qu'il éliminait pratiquement l'option du prêteur de dernier recours pour les banques commerciales nationales et la dette souveraine; 9) les responsables de la politique européenne étaient particulièrement réticents à mettre en œuvre une politique macroéconomique anticyclique; 10) plusieurs économies européennes avaient leur propre bulle immobilière combinée à des règles de prêt hypothécaire moins solides; et 11) l'aide de l'État aux secteurs les plus durement touchés se trouvait freinée par des soucis nationalistes de compétitivité.