Traduzione per "hermanas cuya" a francese
Esempi di traduzione.
Encargó a José que enviara los tres cuadros a su hermana, cuya dirección le dio sin pensar en copiársela para sí.
Il chargeait Joseph de faire parvenir les trois tableaux à sa soeur, dont il lui donnait l’adresse sans penser à la copier pour lui-même.
Fredrik empujando en silencio la silla de ruedas de su hermana, cuya cabeza se bamboleaba con cada bache del sendero.
Fredrik, silencieux, poussant le fauteuil de sa sœur dont la tête ballotte sur le sol inégal.
Minou se fijó en cómo se sonreían, todavía sorprendida por la relación entre su tía y su hermana, cuya existencia ni siquiera había sospechado.
Minou les regarda se sourire, encore étonnée de la relation entre sa tante et sa sœur dont elle n’avait pas soupçonné l’existence.
detestaba nuestro cuchitril en el que se ahogaban mis hermanas, cuya pobreza hacía huir a los pretendientes a pesar de la fama que tenían de mujeres de su casa y de la delicadeza de sus rasgos;
je détestais notre taudis où suffoquaient mes sœurs dont la pauvreté repoussait les prétendants malgré leur réputation d’excellentes ménagères et la finesse de leurs traits ;
En aquel momento escucha al pequeño Lassus hablar de la señora Revaux: era el nombre de la hermana cuya presencia le había valido tantas miserias.
A ce moment, il entend le petit Lassus parler de Mme Revaux : c’est le nom de cette sœur dont la présence lui a valu tant de misères.
Muy pocos hombres habrían tenido una actitud tan filial y caballerosa hacia su madre, tía y hermana, cuya dependencia del vicario había modelado la vida del señor Farebrother de manera más bien incómoda para él;
Peu d’hommes à sa place eussent été aussi respectueusement tendres, aussi chevaleresques, qu’il l’était vis-à-vis de sa mère, de sa tante et de sa sœur, dont la tyrannie avait été peu favorable à l’agrément de son existence ;
Y una parte de su cerebro, que no era parte de él, sino un observador frío e impersonal, le recordó que era imposible, inmoral, absurdo amar a quien podía ser más intima que una hermana, cuya vida había sido en otros tiempos parte de la suya y que volvería a volcarse en una sola personalidad.
Une partie de son cerveau qui n’était pas vraiment partie de lui, mais un observateur froid et détaché qui se tenait à l’écart, lui rappela qu’il savait qu’il ne pouvait pas l’aimer, qu’il était impossible, immoral et absurde d’aimer quelqu’un qui vous était plus proche qu’une sœur, dont la vie avait fait autrefois partie de la vôtre et se mêlerait un jour à la vôtre et à une troisième qui peut-être ignorait jusqu’à leur existence.
(Agustín fue el elegido. Tenía al menos otro hermano y una hermana, cuya educación no parece que figurara en los planes de sus progenitores.)[3] Hizo falta un año entero de desvelos por parte de su padre, ahorrando y estableciendo contactos con gente influyente, para obtener los fondos necesarios, y al cabo de ese tiempo Agustín pudo volver a Cartago.
(Augustin était le fils choisi : il avait au moins un frère et une sœur, dont l’éducation ne semble pas avoir préoccupé leurs parents)3. Au bout d’un an passé à économiser et à solliciter son entourage, Patricius parvint à rassembler la somme nécessaire pour envoyer Augustin à Carthage.
-Y precisamente porque te conozco -dijo el doctor, estrechando la mano de su hijo-, fue por lo que preferí obrar con prudencia. Y a propósito, suceda lo que suceda, apelo a tu afecto, por tu madre, por mí y por tu hermana, cuya situación sería sumamente enojosa si su nombre sonara unido a un escándalo provocado por Wilhelm Storitz.
– Et c’est précisément parce que je te connais, dit le docteur, en prenant la main du capitaine Haralan, c’est pour cela que j’ai préféré agir avec prudence… À ce propos, quoi qu’il puisse arriver, je fais appel à ton affection pour ta mère, pour moi, pour ta sœur, dont la situation serait très pénible, si son nom était prononcé, si ce Wilhelm Storitz faisait un éclat… »
– Se volvió hacia Holly y sonrió. Era la primera sonrisa que esbozaba en un buen rato -. Ésa es la razón de mi entusiasmo al saber que usted era su hermana, una hermana cuya existencia él desconoce. Porque, a lo mejor, usted sea capaz de hacer por él lo que no han podido hacer seis millones de dólares. El sentimiento de culpabilidad volvió a apoderarse de Holly, haciendo que se ruborizara.
(Elle se tourna vers Holly et sourit, pour la première fois depuis de longues minutes.) Voilà pourquoi j’étais tellement contente quand vous m’avez dit être sa sœur, une sœur dont il ignore l’existence. Peut-être réussirez-vous là où ont échoué les six millions de dollars. Le remords submergea à nouveau Holly, la faisant rougir.
La imaginaba una noche a la hora de la comida, golpeando la puerta de servicio de nuestro apartamento, con el pelo suelto sobre los hombros, como antes, vestida con el mismo vestido largo bordado que había usado en El príncipe estudiante: mi hermosa y vivaz hermana, cuya aparición en el escenario hacía que se me saltaran las lágrimas de orgullo, nuestra Lily Pons, nuestra Galli-Curci, nos era devuelta, encantadora como siempre y no corrompida: «Tenía que hacerlo —nos explicaba cuando los tres corríamos a abrazarla—, si no, no habría tenido sentido». En resumen, me costaba reconciliarme con el hecho de tener una hermana en las afueras. Yo, un universitario arrogante, un elitista que ya leía a Allen Tate sobre lo sublime, y los del profesor Leavis sobre Matthew Arnold mientras desayunaba un tazón de cereales. Los pasatiempos y los adornos de ella me parecían tan vulgares como los de millones y millones de familias norteamericanas.
Je me l’imaginais un soir, à l’heure du dîner, venant frapper à la porte de service de notre appartement, ses cheveux noirs de nouveau répandus sur les épaules, vêtue de la longue robe brodée qu’elle portait dans Le Prince étudiant, ma gracieuse, ma rieuse sœur dont l’apparition sur une scène faisait jaillir de mes yeux des larmes d’orgueil, notre Lily Pons, notre Galli-Curci, revenant vers nous plus ravissante que jamais et intacte : « Il fallait que je le fasse, expliquait-elle tandis que nous nous précipitions tous les trois pour l’embrasser, autrement cela n’aurait eu aucun sens. » En un mot, je n’arrivais pas facilement à me résigner à l’idée que j’avais une sœur en banlieue dont les occupations et le cadre de vie – vulgaires aux yeux d’un étudiant snob de seconde année, un élitiste qui lisait déjà les écrits d’Allen Tate sur le sublime, et les ouvrages du docteur Leavis sur Matthew Arnold à son petit déjeuner – ressemblaient plus ou moins à ceux de millions et de millions de familles américaines.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test